Maintenant, il revient pour dire ce qu'aucun débile sur cette terre ne pourra oser le prétendre.
Lui aussi, il veut donner l'impression que la Tunisie est une république bananière, jusqu'à pouvoir cacher des assassins devant l'ensemble des forces de sécurité, de l'armée, de la Justice, des médias et même des services de renseignements tunisiens.
A suivre Mongi le Chimique, les policiers qui assistèrent sur terrain à la première heure du crime, gardent le secret pour eux. Les juges d'instruction qui menèrent les interrogatoires de la première heure, s'unissent et coopèrent entre eux, pour que la vérité de l'assassinat de Chokri Belaïd ne soit dévoilée à personne. Les journalistes qui étaient sur les lieux à l'heure de l'assassinat pour cueillir des témoignages à chaud, n'en veulent pas donner les noms des assassins. Les Services de renseignements tunisiens, sont aussi dans la soupe de ce secret prétendu. N'en parlons pas du Président Béji Caïd Essebsi, qui a promis à maintes reprises dans sa campagne électorale, de dévoiler le meurtre de Belaïd et de Brahmi, mais une fois au Palais de Carthage, il a mis ce secret dans les tiroirs de son bureau, sans qu'aucun de ses conseillers, même pas Ben Tischa le bavard, ne veuillent révéler le nom des assassins de Belaïd, ni de Brahmi. Tout cela, pour plaire à Ennahdha.
Oui, oui et encore oui ! pour plaire à Ennahdha !!!
Mon Dieu, comment de tels débiles ont-ils été catapultés jusqu'aux sièges de l'ARP !!!