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Hédi Majdoub : Nous suivons de près l'affaire de l'enlèvement de Khelifa Soltani

Le ministre de l’Intérieur, Hédi Majdoub a indiqué que les forces de sécurité suivent de très près tout développement dans l’affaire du kidnapping du jeune berger, Khelifa Soltani, frère du martyr Mabrouk Soltani.
Le jeune homme a été enlevé, aujourd’hui vendredi 2 juin 2017, par quatre terroristes armés au mont Mghila dans la délégation de Jelma du gouvernorat de Sidi Bouzid.
Le ministre a ajouté, dans une déclaration accordée à Shems Fm, que la zone où a eu lieu l’enlèvement, fait l’objet d’une vaste opération de ratissage.
Le berger Mabrouk Soltani avait été kidnappé en novembre 2015 par des terroristes dans la même zone avant de l’égorger et remettre sa tête à son ami pour la ramener à sa famille.
S.H
Commentaires (4)
CommenterEn Tunisie nous de possibilités de captation des interférences de communications.
| 03-06-2017 21:16
Autrement la majorité des commanditaires des assassinats seraient détectés et appréhendés.
Alors "Si Hédi", tu suis encore? Ah j'oubliais, tu "suis" de près les fattaras.
| 03-06-2017 16:58
Son corps a été retrouvé par les riverains, juste au moment où tu disais "on est entrain de suivre", ce qui suppose que des éléments sécuritaires auraient du être à sa recherche...
Quel pied de nez à l'Etat! Béji Caid essebsi doit être tout retourné ; il recevait le pauvre Khelifa au palais le 15 nov 2015, le rassurant, et lui disant surement que "cela ne se reproduira plus" et le voilà...égorgé...Pendant ce temps là Mejdoub MOBILISE l'appareil de l'Etat pour fermer les cafés et arrêter les fattars...Cela ne vous rappelle pas juin 2015, quand la police s'occupait de fermer les cafés à Monastir, entre autre, et à tabasser les gens et...3 jours après un horrible attentats islamiste d'un type "jeûneur" de la région??
Quel pied de nez à l'Etat! Béji Caid essebsi doit être tout retourné ; il recevait le pauvre Khelifa au palais le 15 nov 2015, le rassurant, et lui disant surement que "cela ne se reproduira plus" et le voilà...égorgé...Pendant ce temps là Mejdoub MOBILISE l'appareil de l'Etat pour fermer les cafés et arrêter les fattars...Cela ne vous rappelle pas juin 2015, quand la police s'occupait de fermer les cafés à Monastir, entre autre, et à tabasser les gens et...3 jours après un horrible attentats islamiste d'un type "jeûneur" de la région??
on ne peut pas vivre dans les montagnes tunisiennes sans support logistique de l'extérieur
| 03-06-2017 13:11
Jusqu'à quand nos montagnes vont héberger des terroristes.Ils ne pouvaient pas vivre de zgougou (fruit du pin d'alep) et de ballout (fruit du chêne)depuis janvier 2011.Ils n'ont pas d'eau puisque les quelques sources des montagnes de Kasserine (Djebels Chambi, Selloum, Mghilla) sont bien connues et gardées par l'armée pour que les terroristes n'y viennent pas pour se désaltérer.Donc, ils ont certainement le soutien logistique de quelques personnes vivant parmi la population des douars et villages situés autour de ces montagnes. Ces personnes elles-mêmes servent de relai pour des personnes takfiristes ou autres vivant dans toutes les villes tunisiennes et surtout le grand Tunis.Ces personnes sont connues par le ministère de l'intérieur au temps de Ben Ali et sont dans le fichier des personnes dangereuses à moins que ce fichier ait été détruit après la révolution.Les terroristes pullulent encore en Tunisie.
C'est prémédité pour dissiper les attentions. ATTENTION ils sont dangereux.
| 03-06-2017 13:05
Nahdha est apparemment en mauvaise posture.
Donc, redoublons de vigilance, puisqu'on connaît leur comportement inhumain et sauvage dans leurs moments critiques.
Rappelez-vous que c'était des situations similaires lorsque nahdha était sur les point d'être épinglé ; malgré les évidences des agissements et malgré les évidences des délits dans d'autres cas.
Donc, redoublons de vigilance, puisqu'on connaît leur comportement inhumain et sauvage dans leurs moments critiques.
Rappelez-vous que c'était des situations similaires lorsque nahdha était sur les point d'être épinglé ; malgré les évidences des agissements et malgré les évidences des délits dans d'autres cas.