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Anis Amri abattu en Italie
23/12/2016 | 10:59
1 min
Anis Amri abattu en Italie

 

Anis Amri, auteur présumé de l’attentat de Berlin, a été tué, le 23 décembre 2016, lors d’un échange de tirs par la police italienne à Milan, selon l’agence Reuters. Selon des médias italiens, Anis Amri aurait été arrêté à bord d'une voiture lors d'un contrôle de routine, contrôle durant lequel il aurait sorti une arme. Le ministre italien de l'Intérieur, Marco Minniti, a annoncé une conférence de presse dans la matinée.

 

Anis Amri est soupçonné par la police allemande d’avoir été au volant du camion qui a foncé sur un marché de Noël à Berlin le 19 décembre.

 

M.A

23/12/2016 | 10:59
1 min
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Commentaires (96)

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Tunisienne
| 25-12-2016 12:14

Merci pour ton touchant clin-d'oeil cher ami !

Je te souhaite de très bonnes fêtes avec Princesse !


Grosses bises



Tunisienne
| 25-12-2016 12:10

C'est cette race des «nez crochus et oreilles décollées», vous savez ?

Celle que la race des arabo-tuniso-aryens (dont vous êtes l'illustre représentant) combat farouchement !



Pfff... Jusqu'où certains peuvent-ils aller dans l'indécence ?!


Gg
| 25-12-2016 10:44
Tu ne te rends même pas compte où t'entraîne ta névrose religieuse!
Un jour tu adores ton prophete Adolf, qui a brûlé des millions de juifs au nom de la race inférieure.
Et voilà que tu nous fais le coup de l'absence de race juive!
Il faut choisir, sombre crétin, race ou pas race?
Bon, je te l'accorde volontiers, les biologistes sont unanimes aujourd'hui à constater qu'il n'existe pas de races humaines, mais toi tu utilises le concept sans n'en rien comprendre, au gré des élans de ta haine... tu es parvenu au panthéon de l'inculture et de la bêtise!

Gg
| 24-12-2016 22:54
Je vois des anges, dans les nuages, qu'un étron tente d'empester de sa puanteur.
En vain, les anges sont trop haut, trop loin...
Les anges: Tunisienne, Samia, Zohra... et l'étron: chater.

Abel Chater
| 24-12-2016 20:35
@Tunisienne
Les juifs ont une race ???
Tu te moques de nous ou quoi ?
Où as-tu jamais de ta vie, vue une race qui sort de l'Orient d'un physique oriental, cousin des Arabes et identique à tous les autres Orientaux des lieux, dont le physique des Palestiniens juifs en témoigne, pour revenir après des milliers d'années d'un physique européen nordique et sudiste, jusqu'à Noir africain éthiopiens Falashas?
As-tu jamais vue ou entendu les bâtards parler d'une race ?
Qu'est-ce que tu racontes donc, sans que ton nez crochu ne devienne bleuâtre ?

SAMIA
| 24-12-2016 15:38
Ma vocabulaire ne vous plaît pas..mais celle de chater vous fait un bon kif surtout quand ils nous traité de puces à écraser,singes,homo...les islamistes sont et resteront des hypocrites criminels !!
Ds mes prochaines attributions,j'utiliserai la vocabulaire des penseurs de l'ère du califat :Ebnou sina,Rawendi, Errazi,El maarri,Ebnou rochd,Ennawawi.
. . Et des centaines d'autres écrivains et Philosophes...si leur vocabulaire ne vous plaît zappez si non dites les dégagez !!!hhhh

Turlututu
| 24-12-2016 15:26
Bonjour Tunisienne,

Je me contente de défricher le terrain d'une réflexion toute simple que je partage sur BN.
Vos remarques sont justes. En effet, à chaque religion son histoire et son cheminement en propre et c'est aussi pour cette raison qu'elle se nomme distinctement. Mon propos était d'ordre général et une mise en relief rapide de quelques points.
Il est juste aussi que le Dieu de l'islam n'est pas celui du christianisme et que l'identité tunisienne peut être renforcée en allant chercher ailleurs, dans le champ de la connaissance par exemple et dont n'est pas exclue l'histoire préislamique de la Tunisie riche d'enseignements. Une Tunisie multiculturelle aux racines phénicienne, romaine et chrétienne. Une mise en lumière de cette période de l'histoire que les islamistes souhaiterait faire passer sous silence ou effacer (Palmyre en Syrie et ailleurs).
Entretenir la mémoire du passé historique non pas pour réfuter le présent mais plutôt pour cultiver l'ouverture, la tolérance, une meilleure connaissance de l'Occident pour jeter les passerelles de l'amitié et mettre l'accent sur des points de rapprochement.
Voilà, les pistes pour sortir de l'impasse actuelle sont heureusement infinies.

Bon week-end.

Tunisienne
| 24-12-2016 14:19


Bonjour Turlututu,


Votre analyse est très intéressante, mais j'aimerais y apporter quelques petites précisions :

- Toutes les religions entendent jouer ce rôle de créateur de sens (de la vie et de la mort) sans lequel le commun des mortels trouverait insoutenable le caractère éphémère, cruel et (pour certains) absurde de la vie;

- Toutes les religions monothéistes ne sont pas à mettre dans le même sac en ce qu'elles ne véhiculent pas exactement les mêmes valeurs, n'ont pas eu les mêmes démarches d'écriture des Livres sacrés et, surtout, n'ont pas le même Dieu (par exemple, en des aspects fondamentaux, le Dieu de l'Islam n'est pas le Dieu du Christianisme);

- Le Judaïsme est un cas particulier lié à des faits historiques anciens et récents et constituant certainement le ciment par lequel les juifs continuent à entretenir la Nation indissociable de la religion et de la «race stigmatisée»;

- Pendant longtemps, les représentants du Christianisme ont accaparé le pouvoir politique, jusqu'à ce que les individus fassent leur «révolution» philosophique, intellectuelle et sociétale et se détachent de cette emprise...


Pour le reste, je suis globalement d'accord avec vous, même si je ne suis pas sûre qu'il faille chercher et trouver nos ancrages dans le pré-Islam.



Bon week-end !


El Chapo
| 24-12-2016 13:02
Houwa 7achékoum wou 7acha kdarkome tounsi

Tunisienne
| 24-12-2016 12:52

Bonjour Forza,

La laïcité n'est pas la dénégation de la religion. Elle ramène la religion à des proportions "raisonnables" (qui ne dominent pas le fait social et politique) et permet des mécanismes qui assurent un meilleur vivre-ensemble pacifique dans la différence, sans que la religion ne soit totalement exclue de la sphère publique. De même que l'Islam qualifie notre culture et contribue à forger notre identité, la chrétienté qualifie le monde occidental sans que cela n'implique des niveaux égaux de ferveur ou de pratique religieuses. Certes dans nos cultures, la pratique religieuse reste un marqueur social fort, ce qui n'est pas un problème en soi, mais est préjudiciable dans la mesure où ça ne permet pas aux sociétés de se détacher de tous les carcans de la religion (et les lectures religieuses dominantes aujourd'hui ne font rien pour minimiser l'emprise de ces carcans, bien au contraire !).

Par ailleurs, le débat est engagé par rapport à l'islamisme et non à l'Islam. Et l'islamisme, c'est le projet sociopolitique surenchérisseur (dont on voit les ravages aujourd'hui) de mettre la religion à toutes les sauces et de bloquer conséquemment la réflexion personnelle et le libre-arbitre, d'embrumer les esprits et de freiner la créativité, d'empêcher l'exercice spontané de la bonne intelligence envers autrui et de surdéterminer les individus par la religion. Aucun exercice de réinterprétation favorable à la vie contemporaine n'est donc possible en l'état actuel des choses. Ce qui donne, entre autres choses, des "machayekh" vociférant tous les jours leur haine envers l'Occident et incitant explicitement à la haine (pendant que, politiquement, ils sont les meilleurs amis de cet Occident !), alors qu'un cheick musulman serein et soucieux du bien-être de ses concitoyens irait puiser dans les valeurs les plus positives et constructives de l'Islam et inciter au travail, l'effort, le non-repli identitaire et sur soi... Il jouerait vraiment son rôle de créateur de sens et de cohésion sociale (et non d'uniformité sociale !) pour les individus, en dehors de l'instinct de destruction.


Si nous voulons vraiment aider les jeunes, remplissons leurs vies et leurs âmes par la bienveillance, la tolérance, le savoir, l'ambition et la curiosité créatrices, la conviction que c'est dans le travail et le progrès que les arabo-musulmans recouvriront leur dignité et auront un réel pouvoir de négociation, et non dans l'abrutissement, l'encouragement de l'ignorance et de l'obscurantisme, le rejet des autres et les théories du complot, les futilités qui ramènent à des siècles en arrière, les déchirements religieux et le renforcement du sentiment de frustration, d'impuissance et de désespoir.