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Afek Tounes annonce la date de son congrès national électif

Le conseil national d’Afek Tounes a décidé, aujourd’hui, 4 décembre 2016, la date de la tenue du congrès national.
Le porte-parole du parti, Walid Sfar, a affirmé, dans une déclaration accordée à Shems Fm, que le congrès national de son parti aura lieu les 24, 25 et 26 mars 2017. Et d’ajouter que le conseil national a décidé l’élargissement du bureau politique du parti, en y intégrant l’élue, Hajer Ben Cheikh Ahmed ainsi que la secrétaire d’Etat chargée des Affaires de la Jeunesse, Faten Kallel. Par ailleurs, M. Sfar a annoncé que Zeineb Farhat vient d’être désignée en tant que vice-président du conseil national.
S.H
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Commentaires (2)
CommenterFaite nous révé un peut
| 05-12-2016 05:54
Les orfelins de NIDA vous demande d'étre créatifs,inventifs,et surtout ne jamais renier votre engagement comme certaines clique d'arrivistes qui ont retourner leur vestes à la première occasion.
2017, L'ANNEE DES COUPS D'ETATS
| 05-12-2016 01:25
L'hiver approche à grands pas et me voilà de nouveau appréciant ma vétuste demeure coloniale du Bardo.
La nuit tombe un peu plus tôt que d'habitude et derrière les persiennes, j'observe des femmes en hijab se hâtant dans le froid humide vers leurs demeures, couffins à la main.
Il y a quelque chose de misérable dans la silhouette d'une femme en hijab.
Les dites femmes ont un aspect naturellement courbé, presque épuisé tandis que leur manière de regarder à droite et à gauche avant de traverser une des rues sombres du Bardo leur donne un aspect de souffrance et de peine.
Le hijab donne à ces pauvres créatures des aspects de femmes blessées par des obus, un peu comme des femmes blessées par la guerre que leur mène le tenace sous-développement dont parlait Bourguiba. Le hijab est le bandage de fortune des peuples blessés et meurtris par une religion ayant à son actif les sévices et la mort de millions d'êtres humains.
Il s'agit du symbole universel de la recolonisation des peuples Arabes par un Israël qui s'étend de jour en jour sur un monde Arabe tenu en transe par une religion transformée en carcan par les tribus cruelles d'Arabie et leur Maitres colonialistes odieux et fourbes de l'empire de Londres.
La femme de Bourguiba vêtue a l'européenne était une femme fière, marchant d'un air sur et la tête haute. Elle projetait d'emblée une image d'éducation et d'intellect avancé en plus d'une démarche féminine qui éveillait toujours le petit cochon qui dors en l'esprit de l'orphelin de Bourguiba et du flic de Ben Ali que je suis.
La femme en hijab a un aspect peu féminin et si pauvre que l'on a même envie de lui faire l'aumône.
Ma vétuste demeure du Bardo est d'autant plus agréable que l'hiver si installe. Le froid humide et pénétrant qui s'y répand me remplit de souvenirs.
C'est le même froid que j'ai connu lors de mes années au Collage Sadiki quand j'excellais dans l'art de connaitre par c'ur les poèmes de Verlaine et de Rimbaud en les recopiant dans le noir, penché sur une table basse et a la lumière d'une bougie.
Les années du Collège Sadiki représentent des années de gloire pour moi, même si mes chaussures étaient courbées a l'avant et munies de bouches d'aération créées par l'usure, et même si je n'avais comme protection contre les courant d'air qu'un burnous râpé ayant appartenu à mon grand-père.
Le sentiment d'un pays sur la voie de l'indépendance car il bénéficie d'un leader astucieux et brillant, aide à contourner la faim et la pauvreté.
C'est le sentiment général qui a animé le peuple Cubain pendant cinquante années. La vraie dignité d'un peuple fait que toutes les misères du monde deviennent agréables. L'homme digne et ayant une Nation libre n'a jamais ni faim ni froid.
C'est en début de soirée et tard dans la nuit que je deviens intellectuellement productif et plus éveillé. Il y a une certaine concentration que je puise dans la nuit et lorsque je limite l'éclairage de toute ma demeure à la simple lumière d'une lampe de bureau dont l'ampoule scintille parfois comme si elle voulait rendre l'âme après des années de loyaux services.
Sur mon bureau, les photos en noir et blanc de Bourguiba et de Ben Ali me rappellent que la Nation Tunisienne fut bâtie par des hommes au patriotisme et au courage exemplaires. Les deux hommes semblent me regarder comme s'ils allaient enjamber leurs cadres en bois et venir vers moi.
Mon Browning 9mm offert par Bourguiba se trouve dans le tiroir à gauche de mon bureau. Il est enveloppé du même chiffon jaune et transmet une odeur agréable de poudre et d'huile pour armes. Les balles sont cuivrées et comportent de petites égratignures. Cette arme symbolise pour moi la Nation Tunisienne. Une Nation qui tôt ou tard devra se défendre contre ses traitres et ses envahisseurs. Les nations doivent être libérées par le sang et défendues par le sang.
Et à propos de sang versé, beaucoup d'entre vous pensent aujourd'hui que Tayip Erdogan est un homme invincible, surtout après le coup d'état militaire fomenté contre lui par l'armée Turque. Un coup d'état qui comme vous le savez, fut suivi par une contre-insurrection populaire caractérisée par des scènes pénibles de violence et de vendetta.
Ce que beaucoup d'entre vous ignorent est que les coups d'états suivis de répression sont en général suivis de nouveaux coup d'états qui eux ont tendance à réussir, car les militaires planifiant leur prise de pouvoir souvent ne répètent pas les mêmes erreurs.
Ce qui veut dire que la Turquie pourrait vivre un deuxième coup d'état qui lui pourrait voir les chars de l'armée Turque prendre possession du pays et un Erdogan assassiné ou en fuite.
Et sachant que les coups d'état sont contagieux, un coup d'état triomphal en Turquie pourrait être suivi d'un 7 Novembre bis en Tunisie.
Un 7 Novembre dont un pays plongé dans le fanatisme religieux, la mendicité, et la bassesse la plus totale aurait grandement besoin.
JOHN WAYNE
La nuit tombe un peu plus tôt que d'habitude et derrière les persiennes, j'observe des femmes en hijab se hâtant dans le froid humide vers leurs demeures, couffins à la main.
Il y a quelque chose de misérable dans la silhouette d'une femme en hijab.
Les dites femmes ont un aspect naturellement courbé, presque épuisé tandis que leur manière de regarder à droite et à gauche avant de traverser une des rues sombres du Bardo leur donne un aspect de souffrance et de peine.
Le hijab donne à ces pauvres créatures des aspects de femmes blessées par des obus, un peu comme des femmes blessées par la guerre que leur mène le tenace sous-développement dont parlait Bourguiba. Le hijab est le bandage de fortune des peuples blessés et meurtris par une religion ayant à son actif les sévices et la mort de millions d'êtres humains.
Il s'agit du symbole universel de la recolonisation des peuples Arabes par un Israël qui s'étend de jour en jour sur un monde Arabe tenu en transe par une religion transformée en carcan par les tribus cruelles d'Arabie et leur Maitres colonialistes odieux et fourbes de l'empire de Londres.
La femme de Bourguiba vêtue a l'européenne était une femme fière, marchant d'un air sur et la tête haute. Elle projetait d'emblée une image d'éducation et d'intellect avancé en plus d'une démarche féminine qui éveillait toujours le petit cochon qui dors en l'esprit de l'orphelin de Bourguiba et du flic de Ben Ali que je suis.
La femme en hijab a un aspect peu féminin et si pauvre que l'on a même envie de lui faire l'aumône.
Ma vétuste demeure du Bardo est d'autant plus agréable que l'hiver si installe. Le froid humide et pénétrant qui s'y répand me remplit de souvenirs.
C'est le même froid que j'ai connu lors de mes années au Collage Sadiki quand j'excellais dans l'art de connaitre par c'ur les poèmes de Verlaine et de Rimbaud en les recopiant dans le noir, penché sur une table basse et a la lumière d'une bougie.
Les années du Collège Sadiki représentent des années de gloire pour moi, même si mes chaussures étaient courbées a l'avant et munies de bouches d'aération créées par l'usure, et même si je n'avais comme protection contre les courant d'air qu'un burnous râpé ayant appartenu à mon grand-père.
Le sentiment d'un pays sur la voie de l'indépendance car il bénéficie d'un leader astucieux et brillant, aide à contourner la faim et la pauvreté.
C'est le sentiment général qui a animé le peuple Cubain pendant cinquante années. La vraie dignité d'un peuple fait que toutes les misères du monde deviennent agréables. L'homme digne et ayant une Nation libre n'a jamais ni faim ni froid.
C'est en début de soirée et tard dans la nuit que je deviens intellectuellement productif et plus éveillé. Il y a une certaine concentration que je puise dans la nuit et lorsque je limite l'éclairage de toute ma demeure à la simple lumière d'une lampe de bureau dont l'ampoule scintille parfois comme si elle voulait rendre l'âme après des années de loyaux services.
Sur mon bureau, les photos en noir et blanc de Bourguiba et de Ben Ali me rappellent que la Nation Tunisienne fut bâtie par des hommes au patriotisme et au courage exemplaires. Les deux hommes semblent me regarder comme s'ils allaient enjamber leurs cadres en bois et venir vers moi.
Mon Browning 9mm offert par Bourguiba se trouve dans le tiroir à gauche de mon bureau. Il est enveloppé du même chiffon jaune et transmet une odeur agréable de poudre et d'huile pour armes. Les balles sont cuivrées et comportent de petites égratignures. Cette arme symbolise pour moi la Nation Tunisienne. Une Nation qui tôt ou tard devra se défendre contre ses traitres et ses envahisseurs. Les nations doivent être libérées par le sang et défendues par le sang.
Et à propos de sang versé, beaucoup d'entre vous pensent aujourd'hui que Tayip Erdogan est un homme invincible, surtout après le coup d'état militaire fomenté contre lui par l'armée Turque. Un coup d'état qui comme vous le savez, fut suivi par une contre-insurrection populaire caractérisée par des scènes pénibles de violence et de vendetta.
Ce que beaucoup d'entre vous ignorent est que les coups d'états suivis de répression sont en général suivis de nouveaux coup d'états qui eux ont tendance à réussir, car les militaires planifiant leur prise de pouvoir souvent ne répètent pas les mêmes erreurs.
Ce qui veut dire que la Turquie pourrait vivre un deuxième coup d'état qui lui pourrait voir les chars de l'armée Turque prendre possession du pays et un Erdogan assassiné ou en fuite.
Et sachant que les coups d'état sont contagieux, un coup d'état triomphal en Turquie pourrait être suivi d'un 7 Novembre bis en Tunisie.
Un 7 Novembre dont un pays plongé dans le fanatisme religieux, la mendicité, et la bassesse la plus totale aurait grandement besoin.
JOHN WAYNE