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Béji Caïd Essebsi préside la commémoration du 60ème anniversaire du ministère des Affaires étrangères

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a présidé ce lundi 16 mai 2016, la commémoration du 60ème anniversaire de la création du ministère des Affaires étrangères, au palais de Carthage, en présence du chef du gouvernement, de ses membres et du corps diplomatique ainsi que des anciens ambassadeurs tunisiens à l’étranger et ministres des Affaires étrangères.
Le président a exprimé, à cette occasion, l’importance d’avoir invité les anciens diplomates et tous ceux qui ont représenté la Tunisie à l’étranger, afin d’établir une communication enrichissante entre les générations pour servir au mieux les intérêts du pays.
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Commentaires (2)
CommenterTous les outrages, et bien d'autres encore...
| 18-05-2016 10:39
BN, beaucoup plus gêné que BCE, cache vertueusement que dans le lot des invités, il y avait une identité très remarquable : Abdelwaheb Abdallah, le ministre probablement le plus honni des épris de liberté, comme les journalistes, Abdelwaheb Abdallah lui-même, messieurs-dames, reçu à Carthage par BCE, et accueilli avec moultes bises par le flic de service sur le parking du Palais ! Il a l''cuménisme un peu trop permissif, BCE, et la mémoire un peu trop faible ! Si les choses continuent à aller aussi bien, on verra bientôt ZABA reçu à bras ouverts dans ce malheureux Palais de Carthage ! Après MMM et son accueil de Recoba et de Dghij, on pensait pourtant qu'il avait connu tous les outrages'Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?
Pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?
| 17-05-2016 16:24
60e anniversaire du MAE ! Et le 60e anniversaire des Travaux Publics, devenus Equipement, il compte pour beurre ? Et la Sanré publique, qui résiste aux assauts des Jallouli, Mzoughi & Co ? Et l'Éducation nationale, qui n'a plus de l'éducation que le nom ? Et' Il vaut mieux que j'arrête ici cette énumération, qui pourrait ressembler à un faire-part funèbre' Ne valait-il pas mieux regrouper tous ces raouts en un seul, pour célébrer le 60e du premier gouvernement tunisien, et tesbah ala khir, rendez-vous au 70e ? « Carthage » a encore bien du pain sur la planche et, vraisemblablement, bien du temps à perdre en salamalecs et surtout beaucoup, beaucoup de beaux dinars à dépenser en petits fours, alors qu'ils auraient été plus utiles aulleurs !!! C'est incroyable'