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La réforme de l'enseignement au cœur d'une réunion entre Essid et Jalloul
16/01/2016 | 15:30
1 min
La réforme de l'enseignement au cœur d'une réunion entre Essid et Jalloul

 

Lors de sa réunion ce samedi 16 janvier 2016 au palais de la Kasbah avec Néji Jalloul, ministre de l’Education nationale, le chef du gouvernement, Habib Essid a indiqué que la réforme de l’enseignement devrait faire l’objet du plus large consensus possible, afin que celle-ci porte les fruits escomptés.

 

La réunion a traité, entre autres, de l’avancement des travaux de maintenance et d’entretien dans les écoles, notamment celles situées dans les régions intérieures. Il était aussi question de discuter des méthodes adéquates pour créer des écoles de formation pour les instituteurs et les professeurs.

 

De son côté, Néji Jalloul a présenté au chef du gouvernement un aperçu sur les premières étapes de la réforme de l’enseignement, lui expliquant à cet égard le rôle « important » que pourrait avoir un conseil de l’éducation.  

 

E.Z.

16/01/2016 | 15:30
1 min
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Commentaires (6)

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kr
| 17-01-2016 17:08
Feu md mzali a entame un projet d arabisation et ce fut un echec total nous savons que les langues latines sont le vecteur des connaissances scientifiques qu on le veuille ou non et un vecteur de developpement nos politiciens doivent prendre garde de ne pas provoquer la derive du pays quant a l essor du pays sur le plan technologique

DHEJ
| 17-01-2016 14:49
Ca sonne comme une convocation du chef pour rappel à l'ordre, alors quel ordre?


Par un Jalloul qui a déjà semé le désordre!

Napoleon
| 17-01-2016 11:05
1) « Tablette (de l'anglais tablet, plaque) est le nom donné à une famille d'ordinateurs portables dépourvus de clavier à touches et munis d'un écran tactile ». Donc, je ne pense pas que M Jelloul confond tablier et tablette. 2) Sûrement, le guide Ghannouchi a tapé sur les doigts d'Essid et lui a demandé de rappeler à l'ordre Jelloul qui, lors d'une interview, a repris la citation de Kateb Yassine qui qualifie la langue française de « butin de guerre » alors que notre Gourou national qualifie la langue française de « pollution ». 3) Je lance solennellement, pour les vrais nationalistes tunisiens, un appel à la vigilance car la face cachée de la réforme de l'enseignement vise à abrutir le tunisien en arabisant tout azimut. Et, ce que je ne comprends pas, les nahdaouis de mon entourage envoient leurs enfants poursuivre leurs études en France et ils veulent priver les enfants du peuple d'un outil d'enrichissement culturel et scientifique. 4) Je pronostique : M Naji Jelloul aura le même sort que Mohsen Marzouk, il abandonnerait son poste de ministre dans un premier temps, pour être le chef du Nida et, dans un second temps, pour le chômage technique.

3ABROUD
| 16-01-2016 19:58
L'enseignement secondaire vit le désordre, au niveau du contrôle continu, et de la validation des efforts. Après le retrait des parents et de l'admin, l'enseignant se trouve seul en face de jeunes ado, véritables fourre-tout de problèmes. Allez voir les établissements après 16 h ! C'est le désert ! Après 17 h, c'est le Grand Désert où il n'y a même pas des chats. C'est déjà observé, de Bizerte à Bengo. Le Ministre lance des idées et des opinions sans suite. L'étude, le rattrapage, le tablier qu'il confond avec tablette, les 25 %, les clubs,... forment le cafouillage total et un ensemble inextricable. La réforme est un effort cumulé tout au long des années. C'est aussi un travail collectif où toutes les sensibilités politiques sont endroit de participer. Rien n'est laissé au hasard ! Tout doit être minutieusement préparé. L'esprit de la recherche scientifique en histoire ancienne où l'on soulève des problématiques provisoires et que l'on abandonne doit être laissé de coté. D'autre part, une réforme sérieuse suscite des crédits (matériel et ressources humaines) que la communauté doit être capable de supporter en ces moments de disette.

DHEJ
| 16-01-2016 19:54
Ou lire non pas entre les lignes mais plutot derrière!

citoyen
| 16-01-2016 18:55
la considération des résultats de la consultation faite l'année dernière à ce sujet.
Qu'en est il de ces résultats ? aucun retour d'information pour le citoyen pourtant au départ impliqué de près.