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Kébili : Décès d'une femme enceinte, le mari porte plainte
08/01/2016 | 16:47
1 min
Kébili : Décès d'une femme enceinte, le mari porte plainte

 

Une femme enceinte est décédée à l’hôpital régional de Kébili après son accouchement. Selon son époux, elle est décédée d’une hémorragie interne. « Elle a accouché à minuit. Le lendemain en se réveillant de l’anesthésie, elle était affaiblie. En fait, elle avait une hémorragie. Le médecin qui l’a opérée ne l’a pas contrôlé après sa sortie du bloc », a-t-il déclaré sur Shems Fm, vendredi 8 janvier 2016.

 

Le mari accuse le médecin traitant de négligence. Il dit avoir saisi la justice et déposé plainte auprès du ministère de la Santé. De son côté le directeur régional de la santé à Kébili indique qu’une enquête a été déjà ouverte pour déterminer les responsabilités dans la présente affaire, assurant que tout le personnel était là : « L’obstétricien, la sage-femme et le médecin anesthésiste », a-t-il précisé.

 

Rappelons qu’une femme enceinte était décédée il y a moins d’un mois à Tataouine, à cause de l’absence d’obstétricien. D’autres décès ont également été enregistrés pour le même motif.

 

E.Z.

08/01/2016 | 16:47
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Commentaires (16)

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Gg
| 09-01-2016 17:23
"je me demande s'il n'y a pas plusieurs cabales derrière tout cela, à savoir d'une part l'appât du gain pour driver les malades du public vers le privé ..."

Je ne me le demande pas, j'en suis certain. Car systématiquement ma famille est orientée de l'hôpital public vers le privé.
Je sais que ma famille est bavarde, bien trop, les médecins savent tout de suite que le gendre français va payer.
C'est dégueulasse, et en plus, impossible d'avoir une facture! Nous allons donc payer l'impôt en France sur les frais de santé de ma famille tunisienne!
Vraiment cela dépasse l'imagination.
Le clou de la fête a eu lieu cet été, lorsque ma femme est allée se faire soigner à l'hôpital de Teboursouk. Le médecin lui avait dit : "Je vais te faire une lettre pour ton médécin en France", et lorsque quelques jours plus tard, juste avant de revenir en France, ma femme est allée chercher sa lettre, le médecin lui a dit : "oui oui, viens à mon cabinet privé, ce sera 120D".
Alors j'ai refusé de payer et suggéré à ma femme d'envoyer son médecin de Teboursouk se faire f...

ourwa
| 09-01-2016 14:56
" ...assurant que tout le personnel était là : « L'obstétricien, la sage-femme..." sic
Est-ce un gage de compétence? C'est bien là, le malheur...Le ministre a bien fait l'effort -après quelques morts de patients pour négligence- de doter quelques hôpitaux de "spécialistes", encore faut-il que ces médecins spécialistes soient compétents et aient un quelconque sens du devoir, ce qui n'est pas le cas dans cette affaire. Nos médecins travaillent comme travaillent nos gouvernants, par dessus la jambe, en bâclant...Et dire que certains s'enorgueillissent de la "qualité" de nos médecins !...Aujourd'hui, aller se faire soigner dans un hôpital tunisien est acte suicidaire...

Monia
| 09-01-2016 14:51
totalement d'accord sur toute la ligne avec vous, d'autant plus que je me demande s'il n'y a pas plusieurs cabales derrière tout cela, à savoir d'une part l'appât du gain pour driver les malades du public vers le privé et d'autre part le régionalisme exacerbé en Tunisie. Le vrai remède réside bien en effet à faire appel à des recrutements étrangers et qu'après cela que les "rebelles" ne viennent pas se plaindre auprès de leur cellule syndicale favorite.

anouar
| 09-01-2016 12:19
vive laila
vive said
au secours Mr Essid
sinon bientôt les hopitaux seront vides.

Letranger
| 09-01-2016 10:02
Mais elle est évidente :
1) Mettre en état les hopitaux publics urbi et orbi
2) les équiper avec le matériel nécessaire au bon fonctionnement de toutes les spécialités
3) Fournir le personnel médical nécessaire, dont parait-il la Tunisie regorge
4) Assurer la permanence médicale dont parlait Monsieur le Ministre
5) Trouver le flouze pour financer tout ça.

Et si les médecins, chirurgiens, professeurs,infirmiers Tunisiens trouvent qu'ils "valent mieux que ça"
"importer" ce personnel de Syrie ou d'ailleurs, ce n'est pas ce qui manque.
Eventuellement faire revenir au Pays la diaspora médicale dont tout le monde s'accorde à dire qu' elle est la cheville de la médecine occidentale. mourrait.

kartib
| 08-01-2016 22:30
un politique étranger avait dit "ne demandez pas à l'état ce qu'il peut faire pour vous mais demandez plutôt ce que vous pouvez faire pour l'état" un ministre n'a pas de baguette magique. plutôt que de dénigrer et critiquer proposez des solutions et agissons.

#Dallagi
| 08-01-2016 20:53
Je connais Dr Dellagi, c'est une dame remarquable. Ce Aidi *** Il devient dangereux. C'est sa fameuse Leila ***.
Vraiment il faut lancer une pétition nationale pour le faire démettre par Si Essid.

Dallagi
| 08-01-2016 20:39
"La lutte contre l'hépatite virale C, malgré son importance, ne constitue pas la priorité, alors que le ministère lui a réservé, dans le plan quinquennal de développement, 164 millions de dinars (MD)."
Pour avoir défendu ses idées Dr Dallagi vient d'être limogée du poste de Directrice Générale. Il est fou de pouvoir ce type!

#DHEJ
| 08-01-2016 20:33
Au fait c'est qui? Elle devient hystérique dés qu'on la contredit. Elle est antipathique. Elle ne connait pas ses dossiers. je ne comprends pas comment elle peut le faire devenir Président de la République. Les mauvaises langues disent qu'à New York il y a un an, bref des ragots malsains

Mort vivant
| 08-01-2016 20:03
Allah Yarhamaha wi Essaber ahlha.
Patience la Leila du ministère va sortir sur les médias pour nous expliquer que tout va bien. Puis la horde de facebookers payés par le ministère va appeler Aidi à diriger le pays. Aidi futur président, Aidi homme d'état, Aidi celui qui va sauver le pays...
On va commencer par les cuisines des hôpitaux?