Mon cher Settoute,
Merci pour vos compliments, et les complements d'analyse et d'information que vous apportez a ma contribution. Je ne suis qu'une simple observatrice, essayant toujours de regarder de loin, pour q'un instant, un instant seulement, je puisse toucher au luxe de m'extraire a ces eternels mouvements.
Quelque part, au fond de moi, je ne me resouds pas a croire qu'on puisse arriver a une guerre mondiale. Et je m'accroche a la possibilite que les bonnes volontes arrivent toujours a stopper ce "Tsunami" a temps.
La Tunisie, n'est, peut-etre, qu'un grain de sable, comme vous dites, aussi bien dans des deserts tellement beaux mais steriles, que sur des rivages ou viennent se fracasser les "lames" de l'Ocean [1].
J'ai plonge, ce matin, dans ce mouvement perpetuel; Le bruit des vagues etant propice a l'imagination. Mais voila que, plus realiste, vous etes venu me secouer avec un Tsunami, si alarmement...
Je ne vous en veux pas, pourtant!
[1] Je reprends cette image du poeme de Francois Coppe, de meme titre que mon commentaire precedent - accessible au: http://www.poetica.fr/poeme-1774/francois-coppee-rythme-des-vagues/