Lors de l’émission « Face-à-face », diffusée hier jeudi sur la chaîne TV, France 24, Sihem Badi du CPR a répondu aux accusations dont lui a fait part le journaliste du plateau quant à l’implication du CPR dans les incitations aux violences à El Faouar.
Mme Badi a considéré les actes commis à El Faouar dont les incendies des postes de police et de la Garde nationale comme étant un droit à manifester tout en qualifiant ceux qui dénoncent ces violences « d’informateurs » (qawadas).
Sihem Badi a fait montre, également, de régionalisme en appelant à faire bénéficier, d’abord, les habitants de la région de leurs richesses et non pas les « offrir à d’autres régions ».
Sihem Badi a tellement voulu accaparer la parole que même l’animateur de l’émission l’a priée d’être « démocrate » et de respecter son vis-à-vis, Marwane Felfel de Nidaa Tounès.
L’ancienne ministre de la Femme a ainsi exprimé, dans un discours démagogique et avec sa « verve révolutionnaire » sa haine envers ceux qu’elle considère comme « incarnant la contre-révolution ».
Il suffit de lire leurs commentaires garnis par les insultes et les moqueries de "Ommek Lâazouza" lorsqu'elle se chamaille avec ses voisins, pour bien comprendre leur origine. Un langage ordurier qui n'illustre que le niveau du fond des oueds, dont ils nous viennent après avoir réussi leurs études par le biais de fausses-copies.
Que ces résidus de la dictature et ces divinisateurs des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali sachent, qu'ils peuvent apprendre à écrire, mais la culture, ils ne pourront jamais l'acquérir sans se cultiver chez les "Oulèds el-Assl" et "Ouleds el-Famila".
Insulter et dénigrer une femme, parce qu'elle dit son avis en toute liberté, n'émane que de leur propre caractère criminel envers leurs propres épouses.
Nos femmes tunisiennes, telles que Salma Elloumi Rekik, Samia Abbou, Sihème Ben Sédrine, Maya Jéribi, Sihem Badi et encore beaucoup d'autres, s'avèrent à elles-seules plus efficaces que l'ensemble des occupants des cafés fumeurs de «chichas». Nos femmes travaillent et avancent avec le pays et les hommes les dénigrent d'un langage plus fémininement que le langage des femmes elles-mêmes.
BRAVO Sihem Badi, nous en avons encore besoin de beaucoup de femmes de ta trempe.
Nonobstant le fait que votre "commentaire" ne mérite aucune considération...à part peut-être, le mépris et/ou la commisération que l'on manifeste d'ordinaire à l'endroit de ceux qui prennent leurs désirs pour des réalités...
Je ne renie pas un iota ni la moindre parcelle de ce que j'aurais pu dire ou faire et ne reconnais rien de la panoplie de fantasmes que vous m'attribuez et que vous avancez de façon péremptoire...
MPP
l exploitation, la mariginalisation,
l oppression des regions de
l interieur et du Sud par les regionaliste qui ont tenu le pouvoir et qui le tienne encore.. Ce qui poussera les tunisiens de l interieur et du sud a songer a se separer de ceux qui n ont pas compris que la Tunisie d aujourd hui n est plus celle de la dictature regionaliste d antan.
Dans peu de temps tu comprendra que Ben Ali était le meilleur.
Résultat des courses: Il valait mieux ne pas ramener sa science et rester calme en écoutant Léon, J. Wayne, Nazou et quelques autres.
Tu as été utilisé. Il y a quatre années quand on te disait que çà n'était pas une révolution, tu piquais une gueulante et traitait les gens de Azlem. D'ailleurs ce mot serait-il oublié par les gueux qui en avaient usé à volonté.
On te donne le prochain chapitre avant que tu ne te mette à l'évidence: Regretter Ben Ali. Alors soit tu nous crois, soit tu attendra encore deux ans environ avant de nous croire. Et dans ce cas ne dis pas que tu n'as pas contribué à la chute du pays.
Léon.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.