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Le nouveau ministre du Commerce en visite à Bir El Kasâa

Ridha Lahwel, le nouveau ministre du Commerce et de l’Artisanat, a effectué, ce samedi 7 février 2015, sa première visite de terrain. Ainsi, il s’est rendu, de bon matin, au marché de gros de Bir El Kasâa pour s’enquérir des prix et inspecter le ravitaillement du marché en fruit et légumes.
Dans une déclaration à Mosaïque Fm, M. Lahwel a assuré que son ministère prendra les dispositions nécessaires pour lutter contre les augmentations illégales des prix et les pratiques de monopole, se disant prêt à procéder même à la fermeture des commerces contrevenants.
Outre le couffin de la ménagère, d’autres priorités existent, indique le ministre. « Il fallait revoir la législation actuelle, notamment au niveau du Code de la concurrence et de la loi sur la conformité des produits » dit-il, soulignant, dans le même contexte, la nécessité de booster les exportations afin d’équilibrer la balance commerciale.
M. Lahwel a déclaré, par ailleurs, qu’il s’est réuni avec les différentes parties prenantes pour les persuader de la nécessité de baisser les prix de certains produits.
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Commentaires (6)
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Une visite signe d'impuissance et d'ignorance
DHEJ
| 07-02-2015 20:12
Qui riment avec incompétence!
Combien de ministre ont-ils visité ce marché de gros pour le meme objectif?
Baisser les prix!
Des prix qui flambent sous le cumul des énergies potentielles et cinétiques que notre nouveau ministre doit ignorer...
Alors un conseil, si tu veux baisser les prix il faut remonter à l'amont et à l'amont ce n'est plus tes prérogatives mais plutot du ministre de l'agriculture...
Combien de ministre ont-ils visité ce marché de gros pour le meme objectif?
Baisser les prix!
Des prix qui flambent sous le cumul des énergies potentielles et cinétiques que notre nouveau ministre doit ignorer...
Alors un conseil, si tu veux baisser les prix il faut remonter à l'amont et à l'amont ce n'est plus tes prérogatives mais plutot du ministre de l'agriculture...
LA GOULETTE
VIVE BEN ALI
| 07-02-2015 18:17
monsieur le ministre allez faire un tour au port la goulette un jour ou il ya un bateau qui vient de Marseille ou de gêne et demander aux immergés combinent ils se sont fait raquetter par le douanier via le 7ammel, moi personnellement sa me coute 40 dinar a chaque retour en tunisie
LES TUNISIENS : LES COPROPHAGES DE L'HISTOIRE
JOHN WAYNE
| 07-02-2015 16:17
La scène est immonde.
Elle montre une poignée de gueux gluants dont BCE, agglutinés autour de John McCain, l'homme qui a juré de détruire le monde Arabe en utilisant l'arme de destruction massive qu'Israël utilise depuis des décennies : L'islam.
Il n'y a pas d'Islam modéré dans le monde Arabe mis à part celui des bourgeois Tunisiens du Protectorat Français. Cette communauté traitresse et épicurienne qui entre deux fêtes religieuses parfumées de desserts et de mets succulents, tirait la chasse d'eau pour le résident général après qu'il se soit soulagé de ses repas riches en saucisson et en vin rouge Tunisien dans un des ancien palais du Bey.
Mais Il y avait en ce temps-là l'autre Islam Tunisien : celui des hordes en guenilles de l'intérieur qui épanchait une ignorance et un sous-développement profond et dont les caractéristiques étaient ce côté farouche, violent, superstitieux, et fataliste des bedouins de la steppe Tunisienne.
L'Islam Tunisien était donc partagé en une couche arriérée et imprégnée de reflexes préhistoriques, et celle qui vendait son pays pour des terrains a La Marsa et des boutiques dans les souks de Tunis.
L'histoire est comme une sangsue tenace et pervertie. Elle se colle aux peuples traitres et expose dans le présent et l'avenir leurs tares et leurs faiblesses.
Connaitre le passé d'un peuple équivaut à prévoir ses réflexes face au défis de l'avenir.
La Tunisie n'était qu'un marécage de sous-développement dont le seul espoir était cette jeune élite dont le bouillonnement intellectuel secouait des établissements comme le Collège Sadiki.
C'est justement cette élite que l'on retrouvera plus tard dans les Ministères et au Palais de Carthage car par son intégrité elle sut bâtir et ne pas vendre.
Et c'est cette même élite qui sera attaquée par les sionistes de ce bas monde. Ces diplomates et envoyés Américains comme le Sieur Burns qui au lendemain d'une révolution immonde par sa bassesse diront :
« Nous ne voulons plus d'élite au pouvoir en Tunisie. »
Je suis le seul au monde à vous voir mis en garde quant à la traitrise de BCE.
Même Mezri Haddad, ce grand Patriote et intellectuel ulcéré par tant de trahison, s'est résigné à mettre ses faibles espoirs en cet ancien clown de Wassila.
La Tunisie a aujourd'hui un gouvernement virtuel comme en Irak.
Elle est affaiblie, ruinée, et déshonorée.
Elle ne possède comme maigre espoir que cette faction Nationaliste qui se cache en son armée, en sa Garde Nationale, mais surtout en ses anciens hauts cadres du Ministère de l'Intérieur.
Nous ne cesserons de vous guetter et de vous épier.
Nous sommes l'armée de l'ombre, celle en qui le sang de Farhat Hached circule encore.
Et au moment opportun nous agirons Peuple de traitres.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Elle montre une poignée de gueux gluants dont BCE, agglutinés autour de John McCain, l'homme qui a juré de détruire le monde Arabe en utilisant l'arme de destruction massive qu'Israël utilise depuis des décennies : L'islam.
Il n'y a pas d'Islam modéré dans le monde Arabe mis à part celui des bourgeois Tunisiens du Protectorat Français. Cette communauté traitresse et épicurienne qui entre deux fêtes religieuses parfumées de desserts et de mets succulents, tirait la chasse d'eau pour le résident général après qu'il se soit soulagé de ses repas riches en saucisson et en vin rouge Tunisien dans un des ancien palais du Bey.
Mais Il y avait en ce temps-là l'autre Islam Tunisien : celui des hordes en guenilles de l'intérieur qui épanchait une ignorance et un sous-développement profond et dont les caractéristiques étaient ce côté farouche, violent, superstitieux, et fataliste des bedouins de la steppe Tunisienne.
L'Islam Tunisien était donc partagé en une couche arriérée et imprégnée de reflexes préhistoriques, et celle qui vendait son pays pour des terrains a La Marsa et des boutiques dans les souks de Tunis.
L'histoire est comme une sangsue tenace et pervertie. Elle se colle aux peuples traitres et expose dans le présent et l'avenir leurs tares et leurs faiblesses.
Connaitre le passé d'un peuple équivaut à prévoir ses réflexes face au défis de l'avenir.
La Tunisie n'était qu'un marécage de sous-développement dont le seul espoir était cette jeune élite dont le bouillonnement intellectuel secouait des établissements comme le Collège Sadiki.
C'est justement cette élite que l'on retrouvera plus tard dans les Ministères et au Palais de Carthage car par son intégrité elle sut bâtir et ne pas vendre.
Et c'est cette même élite qui sera attaquée par les sionistes de ce bas monde. Ces diplomates et envoyés Américains comme le Sieur Burns qui au lendemain d'une révolution immonde par sa bassesse diront :
« Nous ne voulons plus d'élite au pouvoir en Tunisie. »
Je suis le seul au monde à vous voir mis en garde quant à la traitrise de BCE.
Même Mezri Haddad, ce grand Patriote et intellectuel ulcéré par tant de trahison, s'est résigné à mettre ses faibles espoirs en cet ancien clown de Wassila.
La Tunisie a aujourd'hui un gouvernement virtuel comme en Irak.
Elle est affaiblie, ruinée, et déshonorée.
Elle ne possède comme maigre espoir que cette faction Nationaliste qui se cache en son armée, en sa Garde Nationale, mais surtout en ses anciens hauts cadres du Ministère de l'Intérieur.
Nous ne cesserons de vous guetter et de vous épier.
Nous sommes l'armée de l'ombre, celle en qui le sang de Farhat Hached circule encore.
Et au moment opportun nous agirons Peuple de traitres.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
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