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Tunisie - Le syndicat et la section de la communication de l’UGTT indignés par les propos de Marzouki et Ben Hmidane

Le syndicat général de la communication ainsi que la section de la communication relevant de l’UGTT ont publié, ce mercredi 15 octobre 2014, un communiqué dans lequel ils expriment leur stupéfaction face à l’inimité des récentes déclarations du candidat à la présidence Moncef Marzouki envers les journalistes et notamment les agents de la télévision nationale. Ils ont été, aussi choqués par le qualificatif «d’idiots» utilisé par le membre du CPR et ancien ministre Slim Ben Hmidane à l’encontre des agents de la Radio nationale. Pour eux, avec ces déclarations, M. Marzouki et M. Ben Hmidane ravive les attaques contre les journalistes et médias, qui avaient commencé avec le sit-in de la Honte devant les locaux de la télé.
Le syndicat général de la communication ainsi que la section de la communication relevant de l’UGTT ont condamné cette attaque méthodique qui veut taire les médias et les contrôler aux services de certains agendas politiques. Ils font porter la responsabilité de la sécurité de toutes les équipes médiatiques et à leur tête ceux de la Télévision nationale au président actuel à cause de ses incitations à la haine citées ci-dessus. Ils appellent le CPR à ne pas impliquer les journalistes et médias dans leurs campagnes électorales. Les deux parties ont affirmé être prêtes à défendre farouchement toutes les institutions médiatiques et tous les journalistes en usant de tous les moyens légaux, notamment le boycott de tous ceux qui usent de la diffamation des journalistes sujet de leur campagne électorale.
Le syndicat général de la communication ainsi que la section de la communication relevant de l’UGTT appellent tous les partis politiques et les organisations nationales à s’unir pour défendre les acquis de la révolution, notamment la liberté d’expression et l’indépendance des institutions médiatiques publiques, et à contrer les tentatives de certains partis politiques de dominer ces institutions.
On rappelle que le président du Syndicat national des journalistes tunisiens Néji Bghouri avait réagi, hier, dans un communiqué aux propos de Marzouki, s’indignant, qualifiant le discours de «choquant» et exigeant des excuses de sa part.
Le syndicat général de la communication ainsi que la section de la communication relevant de l’UGTT ont condamné cette attaque méthodique qui veut taire les médias et les contrôler aux services de certains agendas politiques. Ils font porter la responsabilité de la sécurité de toutes les équipes médiatiques et à leur tête ceux de la Télévision nationale au président actuel à cause de ses incitations à la haine citées ci-dessus. Ils appellent le CPR à ne pas impliquer les journalistes et médias dans leurs campagnes électorales. Les deux parties ont affirmé être prêtes à défendre farouchement toutes les institutions médiatiques et tous les journalistes en usant de tous les moyens légaux, notamment le boycott de tous ceux qui usent de la diffamation des journalistes sujet de leur campagne électorale.
Le syndicat général de la communication ainsi que la section de la communication relevant de l’UGTT appellent tous les partis politiques et les organisations nationales à s’unir pour défendre les acquis de la révolution, notamment la liberté d’expression et l’indépendance des institutions médiatiques publiques, et à contrer les tentatives de certains partis politiques de dominer ces institutions.
On rappelle que le président du Syndicat national des journalistes tunisiens Néji Bghouri avait réagi, hier, dans un communiqué aux propos de Marzouki, s’indignant, qualifiant le discours de «choquant» et exigeant des excuses de sa part.
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