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La Banque mondiale accorde à la Tunisie un prêt de 250 millions de dollars

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Le Groupe de la Banque mondiale a annoncé, mardi 29 avril 2014, qu'un prêt de 250 millions de dollars vient d'être accordé à la Tunisie pour appuyer un important programme de réformes économiques et sociales.
Ce prêt, le deuxième d’une série de trois prêts à l’appui des politiques de développement (DPL), sera consacré à l’appui des politiques de développement pour la gouvernance, les opportunités et l’emploi. Il a pour objectif de jeter les bases d’une économie compétitive pour offrir davantage d’emplois qualifiés aux Tunisiens et aider à financer la stabilisation macroéconomique.
«Ce prêt démontre la volonté de la Banque mondiale d’aider la Tunisie à créer des conditions propices aux changements sociaux et économiques pour lesquels les Tunisiens sont descendus dans la rue», note Simon Gray, Directeur des opérations pour le Maghreb. «Si elles sont poursuivies, ces réformes ne permettront pas seulement de répondre aux problèmes immédiats, elles contribueront aussi à la croissance et à la création d’emplois à moyen terme.»
Ce prêt vise à financer les réformes urgentes à mettre en œuvre pour stimuler l’investissement, surtout dans le secteur privé, afin d’enrayer le ralentissement économique accusé après la révolution. Les objectifs spécifiques sont de promouvoir l’investissement privé et créer un environnement plus compétitif, de restructurer le secteur financier, d’améliorer la qualité des services sociaux par la promotion de la responsabilisation et d’accroître la transparence des politiques et des finances publiques.
Dans le cadre du programme de réformes soutenu par le DPL, le gouvernement tunisien a pris des mesures pour libéraliser le secteur critique des télécommunications, qui est considéré comme l’un des moteurs de la croissance et l’une des chevilles ouvrières de la reprise économique. Les réformes dans ce secteur contribueront à offrir des services de télécommunications plus abordables, plus compétitifs et plus accessibles à la population et aux entreprises du pays.
Le programme a également appuyé des réformes importantes dans la gouvernance des banques publiques pour faciliter leur restructuration et stabiliser le secteur bancaire, tout en améliorant l’accès des entreprises tunisiennes au crédit. Les réformes appuyées par le DPL permettront aux citoyens de participer systématiquement à l’évaluation des services publics dans l’ensemble du pays.
Dans le cadre d'une Tunisie nouvelle, de larges consultations ont été menées avec un éventail de représentants de l’Administration, de la société civile et du secteur privé tunisiens dans le cadre de l’élaboration du DPL. Cette opération s’inscrit dans une volonté d’assistance à la transition en Tunisie, menée en coordination avec d’autres grands partenaires de développement tels que la Banque de développement africaine (BAD) et l’Union européenne (UE).
Notons que, parallèlement à cet appui budgétaire, le Groupe de la Banque mondiale finance dix projets en Tunisie, d’un montant total de 435 millions de dollars. Au début du mois, le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, avait annoncé que l’institution lancerait en 2014 un programme d’appui de 1,2 milliard de dollars à la Tunisie, soit quatre fois plus que le montant accordé au pays avant la révolution et deux fois plus que celui octroyé depuis.
Ce prêt, le deuxième d’une série de trois prêts à l’appui des politiques de développement (DPL), sera consacré à l’appui des politiques de développement pour la gouvernance, les opportunités et l’emploi. Il a pour objectif de jeter les bases d’une économie compétitive pour offrir davantage d’emplois qualifiés aux Tunisiens et aider à financer la stabilisation macroéconomique.
«Ce prêt démontre la volonté de la Banque mondiale d’aider la Tunisie à créer des conditions propices aux changements sociaux et économiques pour lesquels les Tunisiens sont descendus dans la rue», note Simon Gray, Directeur des opérations pour le Maghreb. «Si elles sont poursuivies, ces réformes ne permettront pas seulement de répondre aux problèmes immédiats, elles contribueront aussi à la croissance et à la création d’emplois à moyen terme.»
Ce prêt vise à financer les réformes urgentes à mettre en œuvre pour stimuler l’investissement, surtout dans le secteur privé, afin d’enrayer le ralentissement économique accusé après la révolution. Les objectifs spécifiques sont de promouvoir l’investissement privé et créer un environnement plus compétitif, de restructurer le secteur financier, d’améliorer la qualité des services sociaux par la promotion de la responsabilisation et d’accroître la transparence des politiques et des finances publiques.
Dans le cadre du programme de réformes soutenu par le DPL, le gouvernement tunisien a pris des mesures pour libéraliser le secteur critique des télécommunications, qui est considéré comme l’un des moteurs de la croissance et l’une des chevilles ouvrières de la reprise économique. Les réformes dans ce secteur contribueront à offrir des services de télécommunications plus abordables, plus compétitifs et plus accessibles à la population et aux entreprises du pays.
Le programme a également appuyé des réformes importantes dans la gouvernance des banques publiques pour faciliter leur restructuration et stabiliser le secteur bancaire, tout en améliorant l’accès des entreprises tunisiennes au crédit. Les réformes appuyées par le DPL permettront aux citoyens de participer systématiquement à l’évaluation des services publics dans l’ensemble du pays.
Dans le cadre d'une Tunisie nouvelle, de larges consultations ont été menées avec un éventail de représentants de l’Administration, de la société civile et du secteur privé tunisiens dans le cadre de l’élaboration du DPL. Cette opération s’inscrit dans une volonté d’assistance à la transition en Tunisie, menée en coordination avec d’autres grands partenaires de développement tels que la Banque de développement africaine (BAD) et l’Union européenne (UE).
Notons que, parallèlement à cet appui budgétaire, le Groupe de la Banque mondiale finance dix projets en Tunisie, d’un montant total de 435 millions de dollars. Au début du mois, le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, avait annoncé que l’institution lancerait en 2014 un programme d’appui de 1,2 milliard de dollars à la Tunisie, soit quatre fois plus que le montant accordé au pays avant la révolution et deux fois plus que celui octroyé depuis.
D’après communiqué
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