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Tunisie - L'OECT pointe du doigt les insuffisances de la loi de finances 2014

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Dans un communiqué de l'Ordre des experts comptables de Tunisie (OECT), en date du 3 décembre 2013, plusieurs critiques ont été apportées au projet de la loi de finances 2014.
En effet, il est stipulé, dans ce communiqué, que "l'OECT exprime sa profonde préoccupation quant à la détérioration de la situation économique et financière du pays, avec notamment le manque notoire d'investissements et les baisses successives des notations souveraines, outre la chute vertigineuse du dinars et la dégringolade du pouvoir d'achat".
L'OECT, dans ce communiqué, exprime son engagement à défendre les intérêts du pays et rappelle la précarité de la situation et les risques encourus. Dans le même ordre d’idées, et suite à l'étude du projet de la loi de finances 2014, "l'OECT dénonce l'insertion de certains articles qui feront augmenter les charges fiscales pour les citoyens et les entreprises opérant dans le secteur formel, et ce concomitant, avec l'annulation de plusieurs avantages fiscaux".
L'OECT note, également dans cette loi de finances 2014, un manque manifeste de mesures pratiques urgentes, susceptibles de limiter le commerce illicite, qui menace jusqu'à la pérennité de l'économie nationale. En outre, l'OECT pointe du doigt le défaut de mesures ponctuelles entrant dans le cadre de la réforme fiscale et de la lutte contre les fraudeurs.
Par ailleurs, l'OECT dénonce l'intégration de mesures qui compliqueraient davantage le système fiscal au lieu d'en simplifier les procédures.
Ainsi, l'OECT appelle les autorités à prendre en considération les remarques et recommandations relatives à cette loi de finances, élaborées par les soins de l'Ordre et figurant sur son site officiel.
En effet, il est stipulé, dans ce communiqué, que "l'OECT exprime sa profonde préoccupation quant à la détérioration de la situation économique et financière du pays, avec notamment le manque notoire d'investissements et les baisses successives des notations souveraines, outre la chute vertigineuse du dinars et la dégringolade du pouvoir d'achat".
L'OECT, dans ce communiqué, exprime son engagement à défendre les intérêts du pays et rappelle la précarité de la situation et les risques encourus. Dans le même ordre d’idées, et suite à l'étude du projet de la loi de finances 2014, "l'OECT dénonce l'insertion de certains articles qui feront augmenter les charges fiscales pour les citoyens et les entreprises opérant dans le secteur formel, et ce concomitant, avec l'annulation de plusieurs avantages fiscaux".
L'OECT note, également dans cette loi de finances 2014, un manque manifeste de mesures pratiques urgentes, susceptibles de limiter le commerce illicite, qui menace jusqu'à la pérennité de l'économie nationale. En outre, l'OECT pointe du doigt le défaut de mesures ponctuelles entrant dans le cadre de la réforme fiscale et de la lutte contre les fraudeurs.
Par ailleurs, l'OECT dénonce l'intégration de mesures qui compliqueraient davantage le système fiscal au lieu d'en simplifier les procédures.
Ainsi, l'OECT appelle les autorités à prendre en considération les remarques et recommandations relatives à cette loi de finances, élaborées par les soins de l'Ordre et figurant sur son site officiel.
D.M
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