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Khemaïs El Mejri : L'échec du gouvernement de technocrates fait partie de la comédie politique d'Ennahdha

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L'agence "Quds Press International News" a publié en date du 19 février 2013, un article rapportant l'analyse du cheikh salafiste tunisien, Khemaïs El Mejri, à propos de l'échec de l'initiative de Hamadi Jebali, chef du gouvernement démissionnaire.
Le salafiste a estimé que "l'échec de l'idée de former un gouvernement de technocrates, proposée le soir même du jour de l'assassinat du leader du Pari des Nationalistes Démocrates, Chokri Belaïd, était tout à fait prévisible, car cela fait partie d'une comédie politique préméditée et confectionnée par les leaders d'Ennahdha, afin d'absorber la colère populaire et en vue de limiter les répercussions de l'assassinat, sur Ennahdha et sa gouvernance".
M. Mejri s'est expliqué: "Ce n'était pas une proposition sérieuse dès le départ, cela faisait partie intégrante de tout un plan ficelé, dont les protagonistes sont Jebali et les autres dirigeants d'Ennahdha, pour atteindre plusieurs objectifs, à savoir rassembler tous les islamistes sous son égide sous prétexte de s'unir contre les ennemis de la religion, absorber la colère populaire et déjouer le plan post-assassinat, car Ennahdha était la vraie cible par cet assassinat". Il a affirmé que "le choix de gouvernement de technocrates était la revendication de Chokri Belaïd et se présentait comme la seule issue. En outre, Le parti Ennahdha avait besoin d'embellir son image aux yeux du peuple qui commençait à le fuir".
M. Mejri a, par ailleurs, déclaré que "le concept de gouvernement de technocrates a, par la même occasion, divisé l'opposition qui était très unie suite à l'assassinat de Belaïd. L'initiative a fait surgir des conflits internes au sein de certains partis", a-t-il ajouté.
Le salafiste a estimé que "l'échec de l'idée de former un gouvernement de technocrates, proposée le soir même du jour de l'assassinat du leader du Pari des Nationalistes Démocrates, Chokri Belaïd, était tout à fait prévisible, car cela fait partie d'une comédie politique préméditée et confectionnée par les leaders d'Ennahdha, afin d'absorber la colère populaire et en vue de limiter les répercussions de l'assassinat, sur Ennahdha et sa gouvernance".
M. Mejri s'est expliqué: "Ce n'était pas une proposition sérieuse dès le départ, cela faisait partie intégrante de tout un plan ficelé, dont les protagonistes sont Jebali et les autres dirigeants d'Ennahdha, pour atteindre plusieurs objectifs, à savoir rassembler tous les islamistes sous son égide sous prétexte de s'unir contre les ennemis de la religion, absorber la colère populaire et déjouer le plan post-assassinat, car Ennahdha était la vraie cible par cet assassinat". Il a affirmé que "le choix de gouvernement de technocrates était la revendication de Chokri Belaïd et se présentait comme la seule issue. En outre, Le parti Ennahdha avait besoin d'embellir son image aux yeux du peuple qui commençait à le fuir".
M. Mejri a, par ailleurs, déclaré que "le concept de gouvernement de technocrates a, par la même occasion, divisé l'opposition qui était très unie suite à l'assassinat de Belaïd. L'initiative a fait surgir des conflits internes au sein de certains partis", a-t-il ajouté.
D.M
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