Noureddine Bhiri, ministre de la Justice, a annoncé lors d’une conférence de presse tenue au Premier ministère que Mohamed Bakhti a été libéré, précisant que la Chambre des mises en accusations près la Cour d’Appel de Tunis a décidé de le libérer mais qu’après sa décision, son état de santé avait empiré et il a dû être transféré au Centre d'assistance médicale d'urgence (CAMU) de Montfleury.
Concernant le décès de Béchir Golli, le ministre a affirmé qu’il avait reçu l’assistance médicale nécessaire à l’intérieur et à l’extérieur du pénitencier. Il a insisté sur le fait que plusieurs membres de la famille, autorités judiciaires, représentants du cabinet du ministre de la Justice et représentants du ministère de la Justice transitionnelle ainsi que son avocat ont essayé de convaincre le défunt de mettre fin à sa grève de la faim, de le rassurer quant à la tenue d’un procès équitable, lui indiquant qu’il était impossible de libérer un détenu en seulement 8 jours, mais en vain.
Noureddine Bhiri, ministre de la Justice, a annoncé lors d’une conférence de presse tenue au Premier ministère que Mohamed Bakhti a été libéré, précisant que la Chambre des mises en accusations près la Cour d’Appel de Tunis a décidé de le libérer mais qu’après sa décision, son état de santé avait empiré et il a dû être transféré au Centre d'assistance médicale d'urgence (CAMU) de Montfleury.
Concernant le décès de Béchir Golli, le ministre a affirmé qu’il avait reçu l’assistance médicale nécessaire à l’intérieur et à l’extérieur du pénitencier. Il a insisté sur le fait que plusieurs membres de la famille, autorités judiciaires, représentants du cabinet du ministre de la Justice et représentants du ministère de la Justice transitionnelle ainsi que son avocat ont essayé de convaincre le défunt de mettre fin à sa grève de la faim, de le rassurer quant à la tenue d’un procès équitable, lui indiquant qu’il était impossible de libérer un détenu en seulement 8 jours, mais en vain.