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Tunisie - Congrès du CPR : Abbou brigue le poste de SG et Marzouki sera le candidat à la présidentielle de 2013

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Le secrétaire général du parti du Congrès pour la République (CPR), Mohamed Abbou, a déclaré, jeudi 16 août 2012, à l'agence TAP, qu'il sera candidat au poste de secrétaire général du parti, lors de son 2ème congrès qui aura lieu du 24 au 26 août 2012.
Il a ajouté qu'il n'y aura de pression sur quiconque qui veut se présenter aux postes de secrétaire général ou de membre du bureau politique, soulignant que la porte est ouverte à tous les candidats conformément au règlement intérieur du parti.
A ce propos, des informations circulent concernant une candidature possible du directeur du cabinet du président de la République, Imed Daymi, au poste de secrétaire général du CPR, mais l'information n'a pas été confirmée.
Mohamed Abbou a, d'autre part, indiqué qu'un débat est en cours actuellement autour de l'extension des prérogatives du conseil national du parti notamment en lui octroyant la possibilité du droit de retirer la confiance à tout membre auteur de violations et de transgressions. Il a ajouté qu'il est, aussi, attendu qu'on élargisse à plus de cent membres la composition du conseil national qui en compte aujourd'hui 60.
Le 2ème congrès du CPR se déroulera au palais des congrès à Tunis et discutera, selon les informations fournies par Abbou, trois motions relatives au "modèle de développement", à "la législation" et à "la politique générale".
Concernant le candidat du CPR pour l'élection présidentielle de 2013, Mohamed Abbou a indiqué que ce sera de nouveau Moncef Marzouki qui bénéficie toujours, selon lui, d'une certaine «popularité». Il a affirmé que Marzouki a démontré qu'il était «consensuel et la Tunisie a besoin, durant cette période, d'une personne de ce genre».
Il a, d'autre part, attiré l'attention sur le fait que l'absence de concordance entre les décisions du parti avec celles du président de la République provisoire sur certaines questions, notamment la candidature de Chedly Ayari au poste de gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, prouve que l'institution de la présidence de la République est indépendante du parti et qu'elle est engagée à travers une ligne consensuelle avec la présidence du gouvernement et celle de l'Assemblée nationale constituante. Il a affirmé, en parallèle, que «pareilles décisions engagent la présidence de la République, mais pas le CPR».
D’après TAP
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