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Tunisie âEUR" Quand « Injaz » forge le futur des jeunes tunisiens
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L’association INJAZ, créée en 2010 par l’homme d’affaires, Mohammed Sakher El Materi, s’est fixé comme objectif principal, le développement de l’initiative et de l’esprit d’entreprendre chez les jeunes tunisiens.
Fidèle, donc, à ces objectifs l’association, a organisé, mardi 29 juin 2010 au siège de l’IACE, la première édition de la compétition nationale se rapportant au premier module baptisé : « Création de l’Entreprise », lancé en novembre 2009 par Injaz Tunisie, pour accompagner les jeunes tunisiens dans la création et la gestion de petites « Start up » dotées de réelles opportunités d’évolution.
Au départ, ils étaient quelque 1000 jeunes tunisiens, tous des collégiens et des lycéens, qui ont été appelés à élaborer des études de faisabilité et un business plan. Ils étaient sensibilisés aux exigences de l’entreprise moderne et bénéficiaient de l’expertise et de l’assistance de cadres supérieurs volontaires, à raison de deux heures par semaines. Enfin, la sélection n’a gardé que 7 groupes qui ont essayé de défendre leurs « rêves » devant un jury composé de Mme Zeineb Mamlouk Ben Ammar, professeur universitaire et présidente du jury, et de MM. Mohammed Ben Sedrine, Hafedh Hamdi, Majdi Hassen, membres. M. El Materi, ayant été retenu à la dernière minute par une affaire urgente, n’a pas pu assister à l’exploit de ses poussins.
Bien qu’il s’agisse d’une simulation, le jury n’était pas « clément » avec les jeunes entrepreneurs, des questions, didactiques et pédagogiques leur ont été posées passant en revue toutes les étapes de la création de leurs mini- entreprises. Elles étaient de toutes les couleurs touchant aussi bien au fond qu’à la forme, sans oublier d’inciter les jeunes à rectifier le tir et à colmater les brèches dans leurs projets. Les jeunes promoteurs, quant à eux, ont bel et bien défendu leurs créations.
A la fin, deux projets, sur les sept avancés, ont été retenus : le premier, qui représentera la Tunisie dans la compétition régionale qui se déroulera à Marrakech les 24,25 et 26 octobre 2010, est celui concocté par une jeune équipe appartenant au centre sectoriel de formation SIPE 1, et qui concerne la fabrication et la commercialisation d’un détecteur de panne. Le second a été mis au point par des jeunes collégiens du collège pilote El Menzah 5, qui ont eu l’ingéniosité de créer un support ordinateur portable.
Bon à signaler, les décisions du jury ont été prises sur la base de cinq critères : un rapport remis au jury 15 jours avant la compétition, la présentation power point de l’entreprise, l’équipe, l’activité et, finalement, les aspects financiers.
Assurément, Injaz a de quoi être fière. L’opportunité qu’elle a offerte à ces jeunes talents, appelés à devenir, à leur tour, des entrepreneurs, sera gravée à jamais dans leur mémoire. L’on se rappelle tous de ce qu’avait indiqué l’instigateur de ce projet, M. El Materi, lors de la création de cette association : « c’est un enjeu aussi bien pour nos jeunes que pour l’entreprise et notre pays ». Et c’est là tout le défi : développer l’esprit d’entreprise auprès des jeunes et leur apprendre, non seulement à parler de leurs rêves et de leurs pensées, mais surtout à les concrétiser. Et c’est dans cette philosophie que « Injaz », qui signifie littérairement exploit, s’alimente et nourrit, à son tour, les ambitions des jeunes de ce pays.
Fidèle, donc, à ces objectifs l’association, a organisé, mardi 29 juin 2010 au siège de l’IACE, la première édition de la compétition nationale se rapportant au premier module baptisé : « Création de l’Entreprise », lancé en novembre 2009 par Injaz Tunisie, pour accompagner les jeunes tunisiens dans la création et la gestion de petites « Start up » dotées de réelles opportunités d’évolution.
Au départ, ils étaient quelque 1000 jeunes tunisiens, tous des collégiens et des lycéens, qui ont été appelés à élaborer des études de faisabilité et un business plan. Ils étaient sensibilisés aux exigences de l’entreprise moderne et bénéficiaient de l’expertise et de l’assistance de cadres supérieurs volontaires, à raison de deux heures par semaines. Enfin, la sélection n’a gardé que 7 groupes qui ont essayé de défendre leurs « rêves » devant un jury composé de Mme Zeineb Mamlouk Ben Ammar, professeur universitaire et présidente du jury, et de MM. Mohammed Ben Sedrine, Hafedh Hamdi, Majdi Hassen, membres. M. El Materi, ayant été retenu à la dernière minute par une affaire urgente, n’a pas pu assister à l’exploit de ses poussins.
Bien qu’il s’agisse d’une simulation, le jury n’était pas « clément » avec les jeunes entrepreneurs, des questions, didactiques et pédagogiques leur ont été posées passant en revue toutes les étapes de la création de leurs mini- entreprises. Elles étaient de toutes les couleurs touchant aussi bien au fond qu’à la forme, sans oublier d’inciter les jeunes à rectifier le tir et à colmater les brèches dans leurs projets. Les jeunes promoteurs, quant à eux, ont bel et bien défendu leurs créations.
A la fin, deux projets, sur les sept avancés, ont été retenus : le premier, qui représentera la Tunisie dans la compétition régionale qui se déroulera à Marrakech les 24,25 et 26 octobre 2010, est celui concocté par une jeune équipe appartenant au centre sectoriel de formation SIPE 1, et qui concerne la fabrication et la commercialisation d’un détecteur de panne. Le second a été mis au point par des jeunes collégiens du collège pilote El Menzah 5, qui ont eu l’ingéniosité de créer un support ordinateur portable.
Bon à signaler, les décisions du jury ont été prises sur la base de cinq critères : un rapport remis au jury 15 jours avant la compétition, la présentation power point de l’entreprise, l’équipe, l’activité et, finalement, les aspects financiers.
Assurément, Injaz a de quoi être fière. L’opportunité qu’elle a offerte à ces jeunes talents, appelés à devenir, à leur tour, des entrepreneurs, sera gravée à jamais dans leur mémoire. L’on se rappelle tous de ce qu’avait indiqué l’instigateur de ce projet, M. El Materi, lors de la création de cette association : « c’est un enjeu aussi bien pour nos jeunes que pour l’entreprise et notre pays ». Et c’est là tout le défi : développer l’esprit d’entreprise auprès des jeunes et leur apprendre, non seulement à parler de leurs rêves et de leurs pensées, mais surtout à les concrétiser. Et c’est dans cette philosophie que « Injaz », qui signifie littérairement exploit, s’alimente et nourrit, à son tour, les ambitions des jeunes de ce pays.
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