
Une vidéo a circulé sur TikTok depuis le 21 octobre 2024, affirmant que les autorités tunisiennes auraient décidé d’infliger une peine de six mois de prison à toute personne qui « porte atteinte aux bonnes mœurs » sur les réseaux sociaux, en particulier sur l'application TikTok.
Selon cette vidéo, cette mesure viserait à combattre les vidéos jugées indécentes en raison de l'augmentation de contenus qualifiés d’ « immoraux ». L’extrait prétend également que le gouvernement envisage de bloquer ces plateformes via le ministère des Technologies de la communication, afin de protéger les jeunes utilisateurs, notamment les enfants et les adolescents.
Nous avons d'abord vérifié le Journal officiel de la République tunisienne (Jort) pour identifier si une loi récente ou une réglementation mentionnait cette nouvelle mesure. Cependant, aucune législation ou décret allant dans ce sens n’ont été publiés récemment.
Nous avons ensuite pris contact avec le ministère des Technologies de la communication pour vérifier la véracité de cette affirmation. Le ministère a formellement démenti l'existence d'une telle mesure, confirmant que cette information est fausse.
Ce n'est pas la première fois qu’une rumeur concernant le blocage de TikTok circule en Tunisie. Des informations similaires avaient déjà été diffusées auparavant, et elles avaient également été démenties à ce moment-là par BN Check.
Il n'existe aucune base légale ou décision officielle soutenant la rumeur d'une peine de six mois de prison pour atteinte aux bonnes mœurs en ligne, ni de plan pour bloquer TikTok par les autorités tunisiennes.
R.A.

Les réseaux sociaux nous ont découvert les horreurs, ils ont touché le fond.
J'espère qu'ils mettent un frein à ces comportements voyous.
Ces réseaux sociaux sont une honte en Tunisie
Je suis une femme, je ne peux pas admettre qu'une femme si fragile si belle soit elle sorte des obscénités horrible de sa bouche. Ce n'est pas beau c'est horrible
Comment parlent elles !!!! Je ma vie je n'ai entendu des obscénités pareils
Ma génération c'était interdit même devant ma mère.