
L'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) a, déjà, retenu la candidature de Ayachi Zammel parmi les trois candidats à la présidentielle du 6 octobre. Toutefois, ce dernier est poursuivi en justice et a même été condamné hier à vingt mois de prison pour falsification de parrainages. Une situation très peu commode qui laisse poser plusieurs interrogations.
D'ailleurs, même au sein de l'Isie, les membres n'arrivent toujours pas à trancher cette question. Dans une déclaration à l’Agence Tunis Afrique Presse (TAP), le porte-parole de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Mohamed Tlili Mnasri a déclaré que les procédures en justice et le processus électoral sont distincts. Il a expliqué que l'arrestation du candidat à la présidentielle de 2024 et sa condamnation en première instance sont survenues après la publication de la liste finale des candidats à l’élection présidentielle de 2024 dans le Journal officiel.
En effet, M. Tlili Mansri a déclaré que les décisions de justice qui pourraient être rendues pendant la période électorale seront traitées lors de la période de proclamation des résultats du scrutin.
Ces mêmes propos avaient été détaillés par le membre de l'instance Aymen Boughattas, lors de son intervention, ce soir du jeudi 19 septembre 2024, sur le plateau de la chaîne Al Wataniya 1. M. Boughattas a indiqué, dans ce sens, que le conseil de l'instance examinera la situation de Ayachi Zammel après le scrutin.
S'il est admis pour l'Isie que la candidature de Ayachi Zammel est définitive sur le plan administratif et que les électeurs auront le choix entre trois candidats, c'est l'avenir de cette candidature qui demeure incertain. Autrement dit, même s'il était élu président, Ayachi Zammel pourrait quand même ne pas accéder à Carthage.
S.H
Si l'ISIE decide d'invalider le vote du peuple, nous seront la risé du monde.
Si Zamel l'emporte bouasker et toute sa clique en prison pour un tres long moment
si l'ISIE zappe Zamel avant les elections ils seront obligés de reimprimer les bulletins et d'inclure les autres candidat validés par le TA
Ils sont dans la merde et temps mieux!
L'ISIE a donc un plan B en cas de victoire de Zemmel. Sa victoire sera déclarée nulle sur la base que sa candidature est invalide.
Bonne chance alors à l'ISIE pour convaincre l'opinion nationale et international que le gagant d'un scrutain universel directe n'est pas un président légitime.
Entre les votes blancs....
Entre les votes nuls...
Entre les votes pour AZ....
Entre les votes pour M....
Que restera t'il à KS ?....
15/20 % des votants ?.....
Il risque de se retrouver derrière AZ au premier tour !.. .
L'ISIE interviendra pour annuler le résultat de AZ... et KS remportera les élections falsifiées avec 80% ....
Bienvenue dans la mascarade électorale du Saïedistan !.....
Il restera accrocher à son trône...
L'ISIE viendra au secours de son maître en rendant invalide l'élection de AZ..
C'est joué d'avance... les dés sont pipés !....
Toutes les excuses seront bonnes pour le mettre hors jeu...
KS sera réélu avec 15% de voix ?
NON !.....
Les 85% restants sortiront dans la rue, à mon avis c'est le seul langage qu'il comprendra :
"...ce que le peuple veut...."
(DEHORS !)
Et pour "améliorer son cas" Bouasker n'a pas obei aux ordres du Tribunal Administratif...ce qui lui aurait rendu "service", vu que les votes se seraient dilués ; Bouasker ne sait même pas calculer et aucune stratégie ; il panique après s'être rendu compte de ses erreurs, et fait du n'importe quoi maintenant, au grand jour.
Bref, ton Maître, Dictateur instable à deux sous de son état, te dira bientôt "You are fired".
Ayachi Zammal remportera toute élection démocratique. Ils ont commis une première faute monumentale : ils ont laissé son nom sur le bulletin de vote ne doutant guère que destouriens, islamistes et autres puissent voter pour lui. Deuxième erreur fatale: le refus des candidatures de Znaidi, Mekki et Daimi et les reports de voix énorme de ses candidats sur l'unique candidature sérieuse qui reste celle de Ayachi Zammal. Le régime et son isie aux ordres paniquent, ils ont les sondages interdits. Ils cherchent une solution celle du report est envisagée comme le montre le communiqué étrange sur la page du parlement hier.
Sauf qu'il n'y a pas pire que d'organiser des élections dans de pareilles conditions scandaleuses. Sans aucun respect aux électeurs et à leur volonté ! Du vol !
Continuez à jouer avec le feu, un jour ou l'autre, vous allez finir par vous brûler !
Et gardez vos examens et vos analyses et interprétations pour vous ! On ne vous fait pas confiance, vous en n'êtes pas dignes ! Des hors-la-loi malhonnêtes, c'est ce que vous êtes finalement !
L'isie annule les résultats.
Part la suite, ils doivent trouver une bonne cachette !!!

