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Sihem Nemsia : la Tunisie a honoré ses engagements financiers au titre du premier semestre de 2024
02/07/2024 | 12:41
1 min
Sihem Nemsia : la Tunisie a honoré ses engagements financiers au titre du premier semestre de 2024

 

La ministre des Finances, Sihem Nemsia a affirmé que la Tunisie avait honoré ses engagements financiers au titre du premier semestre de 2024. Il s’agit d’une dette d’un montant global de 11,6 milliards de dinars.

Dans une allocution prononcée le 2 juillet 2024 durant une plénière de l’Assemblée des Représentants du Peuple, Sihem Nemsia a indiqué que la Tunisie a remboursé 54% du service de sa dette extérieure à fin juin 2024, soit 6,6 milliards de dinars d'un montant global égal à 12,3 milliards de dinars.

La ministre a, aussi, expliqué que la Tunisie a remboursé l'emprunt obligataire en euros égal à 850 millions d'euros durant le mois de février, de plusieurs tranches du prêt contracté auprès du Fonds Monétaire International correspondant à 305 millions de dollars et d'une tranche du prêt contracté auprès de la Afreximbank égale à 35 millions de dinars.

La ministre a confirmé le remboursement d'une partie du prêt contracté auprès de l'Arabie Saoudite et d'un montant égal à cinquante millions de dollars et d'une partie du prêt contracté auprès du Fonds Arabe correspondant à 35 millions de dollars.

 

S.G

02/07/2024 | 12:41
1 min
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Commentaires
Ahmed
A quel prix?
a posté le 03-07-2024 à 13:00
A quel prix?des ménages endettés, des banques qui n'ont jamais autant fait de profit en prêtant sans risque à un Etat mal géré? une fiscalité qui pompe le contribuable?
Au fond aucune réforme n'a été faite.
Aloulou
Aministie Fiscale
a posté le 03-07-2024 à 08:59
Une partie de ce financement de la dette ete pompee par les revenus de l'aministie fiscale cloturee le 30 juin. Cette fois, les recouvrements ont depasses les attentes du Ministere. Le peuple a droit de connaitre ces chiffres reels. Aucune publication.
Adib
Pauvre pays
a posté le 03-07-2024 à 08:50
Ce que Madame la Ministre a oublié de préciser est le montant des prêts dont la Tunisie a bénéficié en 2024. Est-ce que la Tunisie est arrivée au point d'emprunter afin de payer les anciens crédits? Il est du devoir de ce régime de nous dire avec quel argent lesdites échéances ont été honorées. Ces nouvelles dettes seront payées par nos enfants et peut-être par nos petits enfants, ni les lecteurs de cet article, ni Madame Nemsia ni saied ne seront de ce monde lorsque ces dettes seront enfin payées. Quel pays allons-nous léguer à nos enfants?
Samir
Rembourssements
a posté le 03-07-2024 à 07:10
Félicitation pour le rembourssement. Maintenant il faut aller plus loins pour réformer l état et réduire les charges..... en premier réduire les fonctionnaires et les rendre plus efficaces. En second réduire les autres charges et le train de vie de l état. En dernier réformer les sociétés dont l état détient le capital pour les rendre rentable et efficaces.
Bta
Quelle dette?
a posté le 02-07-2024 à 16:56
Quelle dette, c'est le contribuable et les banques qui ont payé . TMM 8%, investissements presque néants, où sont les projets ,? Elle racle à tous les fonds de tiroirs pour un budget de l'état en hausse. Augmenter le smig et les retraites c'est politique pour compenser le pouvoir d'achat du peuple qui est dans la grande misère.
Aucune stratégie aucun objectif , combien tiendra notre pays en raccommodant avec les bouts de chandelles.
le financier
je crois que je deteste cette incompetente
a posté le 02-07-2024 à 13:56
Elle ne fait que dire ce que nous savons deja , que le marché c deja a savoir que la premiere tranche de remboursement ne posé pas de pb .
C est la derniere tranche sans parler du budget pour lequel il manque 10 a 13 milliards de dinars soit 4milliards de usd ( c est peu mais bcp pour la tunisie ).
Le probleme c est qu ils ont accordé une hausse du smig et retraite qui n est pas financable , sans parler de la politique budgétaire expansionniste, qui repose sur l'augmentation du taux de pression budgétaire de 20% en 2011 à 25,1%, en 2024 et la politique monétaire prudente représentée par une augmentation successive du taux directeur pour atteindre 8%, contre 3,5% en 2011, le recours de l'Etat à plusieurs reprises à l'endettement auprès des banques tunisiennes, a causé une pression sur les entreprises et les a privé des liquidités nécessaires, d'où un affaiblissement de l'investissement privé et une contraction de la croissance économique , c est les investissement d aujourd hui qui font la croissance de demain et comme l etat n a pas ou peu investit depuis 5ans la croissance de demain ne peut se faire que par la reduction du cout de nos achat énergétique, la baisse eu nombre de fonctionnaire ( c est peut etre ce que commence a faire KS ) la creation d usine ( l appel de la chine iran russie ) . La guerre serait aussi une bonne solution ;-)
Mahmoud
tu feras un bon Ministre des Finances
a posté le à 14:36
As'slema,

j'aurais eu le pouvoir de décision, je t'aurais nomme Ministre des Finances

et je te promet, Wallah, je n'écrirai aucun message sur ton action ou ton travail

Mahmoud
Lucky Luke
Baraka Allahou fik
a posté le 02-07-2024 à 12:59
Et l'économie dans tous ça !? Où sont les projets, les investissements, la croissance ! Les Tunisiens n'ont rien vu, que de la misère !

Sorry, next !
MH
Ministre de la dette
a posté le à 13:21
Elle n'est pas ministre de l'économie. Tout ce qu'elle sait faire, c'est s'occuper de la dette. La question que je me pose est de savoir si nous sommes obligés de la croire. Comment pouvons-nous vérifier ce qu'elle dit ?
Lucky Luke
Et alors..
a posté le à 13:53
Elle est responsable entre autres de la mobilisation des fonds et de l'octroi de financements pour le budget de l'état. Les investissements en dépendent ainsi que tous les indicateurs économiques. L'ex ministre de l'économie, du même nom que notre président, et ce n'est un secret pour personne, affichait publiquement son opposition à la ligne imposé par le grand maître, quant aux pourparlers avec le FMI. Il a attendu pendant une année ou presque son limogeage et était ministre de l'économie pour la forme. C'est ainsi que tournent les affaires en Tunisie, un vrai travail d'équipe. Normalement c'est cette ministre là, la Nemesis, qui aurait dû taper sur la table.. mais bon, disons que le courage n'est pas monnaie courante chez nos dirigeants made in ena, ifid et autres établissements d'initiation à l'administration publique, ses rouages ou comment profiter discrètement du système sans être inquiété !
veritas
un cercle vicieux
a posté le 02-07-2024 à 12:50
vivre pour payer les dettes c'est le pire scénario qui peut arriver a un individu durant toute sa vie '?'merci qui '?'? Au nom de la haine et de la vengeance sur tout ce qui bouge et même plus '?'