
À l’occasion de la célébration de la Journée arabe de l'alphabétisation, correspondant au 8 janvier de chaque année, le ministre des Affaires sociales, Malek Ezzahi est revenu sur les accomplissements en la matière.
M. Ezzahi a indiqué que le taux d’analphabétisme est passé de 19,1% en 2014 à 17,7% en 2019. Cependant, ce taux comprend certaines disparités.
Ainsi, le ministre a révélé que ce taux passe à 25% chez les femmes et à 50% pour les femmes rurales.
60% de ceux qui abandonnent tôt leurs études sont des jeunes filles du milieu rural. Ainsi, le taux d’analphabétisme dépasse les 50% pour certaines délégations du nord-ouest et le centre-ouest du pays, comme pour El Alâa, Sidi Omar Bouhajla, Thala et Hassi El Ferid.
« Des chiffres qui poussent à une plus grande coordination entre toutes les parties prenantes pour réduire ce phénomène », a-t-il affirmé.
I.N.
*Photo d’illustration
Et ensuite ça se plaint que c'est la faute aux juifs, aux riches, au subsahariens, aux businessmen....que des arguments à la hauteurs de leur puissant intellect lol.
Il avait considérablement diminué, passant de 84 % en 1956 à 35 % en 1990, et qui commença à se dégrader avec les ennuis de santé de BOURGUIBA, dont "l'ignare" Mzali fut le chef de file.
Les gouvernements qui suivirent la mise à l'écart, le père de la NATION, ne réussirent pas à redresser la barre. pas les choses.
Professeurs en grève, surenrechissement permanent des ânes bâtés logés à la tête des syndicats, recrudescence de la violence en milieu scolaire, manque de respect envers les enseignants, etc..
Autrefois fierté tunisienne, l'école publique traverse une crise liée au passage d'une bande d'idiots au pouvoir, ayant timidement débuté à partir du mi-mandat de ZABA et qui explosa exponentiellement avec l'arrivée des gardiens d'étables et d'écuries, la maudite année 2011.
Un constat qui sonne comme un échec de la politique générale d'un pays qui avait misé sur l'éducation et a fait de l'école un véritable ascenseur social.
Bourguiba, le seul, l'unique et l'irremplaçable, qui avait fait de l'éducation une priorité nationale, doit se retourner dans sa tombe.
Inverser la tendance fera partie d'un des plus grands défis des prochains gouvernements.
Elle a deux soeurs plus jeunes, aucune des trois n'a suivi un cursus scolaire normal, régulier.
En ce qui concerne ma femme, de l'âge de 7 ans à ses 12 ans, elle gardait les moutons dans la montagne. Un jour, un instituteur est allé voir son père lui disant qu'il avait une fille, n'est ce pas? Je ne la vois pas à l'école. De ce jour, elle est allée en classe, à tiers temps, dirons nous. Travailler dans les champs était plus important. Pendant ce temps le père buvait le café... Vers 18 ans, elle s'est soudain acharnée à étudier, et miracle, elle eu le bac.
Sa soeur, la 2ème fille, a tout raté, pour la même raison. Elle allait en classe quand il pleuvait trop pour traîner.
La 3ème marchait bien à l'ecole, mais le jour de ses 18 ans, elle a tout laissé tomber pour se marier, à 6 mois du bac! A l'exception de ma femme, personne dans la famille n'a tenté de la raisonner.
Puis la mère de ma femme a refait 3 enfants avec un autre homme. Le plus âgé a 19 ans et passe le plus clair de son temps en prison. Violence, vols, deal... il ne sait même pas écrire son nom.
Le 2ieme s'est acharné, il est cuistot à Tunis. Bravo, gamin!
Et le 3ème est une fille, elle a 16 ans, très jolie. Elle attend donc de se marier et je ne sais si connaît le chemin de l'école. Apparemment pas, et personne n'est là pour la raisonner.
Donc c'est culturel, ils sont pauvres, et ce n'est pas de leur faute, bien sûr !
Apres, ils vont vouloir émigrer en Europe, pour vivre mieux... ne rêvez pas, vous n'avez aucune chance. Ou très peu, et avec beaucoup de travail.
Il y a une inadéquation terrible entre ces gens et le monde moderne.
Triste constat.
Les inqualifiables ont détruit l'héritage Bourguiba pour appliquer les directives de leur maîtres us de l'aipac qui souhaitent des populations sans niveau éducatif pour les manipuler aussi facilement.
Vive l'analphabétisme !!!

