
La chambre des mises en accusation a décidé, mercredi 30 août 2023, de renvoyer l’affaire de Noureddine Bhiri au juge d’instruction qui a décidé de clôturer l’instruction, assure Saida Akermi sur sa page Facebook.
Saida Akermi a ajouté que “le juge d’instruction a traduit Noureddine Bhiri devant la justice conformément aux dispositions de l’article 72 du Code pénal pour un statut Facebook inexistant”.
L’article 72 du Code pénal dispose : “Est puni de mort, l'auteur de l'attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement, d'inciter les gens à s'armer les uns contre les autres ou à provoquer le désordre, le meurtre ou le pillage sur le territoire tunisien”.
Rappelons qu’au lendemain de son arrestation, au mois de février, les avocats de Noureddine Bhiri ont affirmé qu’il a été traduit devant le juge d’instruction du 33e bureau près le Tribunal de première instance de Tunis pour un statut Facebook ou une déclaration pouvant suggérer une incitation à la lutte contre le coup d’Etat. Ils ont souligné qu’aucune trace dudit statut n’a été trouvée sur sa page. Noureddine Bhiri avait subi, au moment de son arrestation, plusieurs blessures.
S.H


Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram ahlou
Bienvenue aux insultes des islamistes , des traîtres et des corrompus j'ai les reins solide quand on est jaloux des personnes on l'insulte, on l'agresse verbalement pour qu'il disparaisse de ce forum surtout quand quelqu'un est vu par cent quarante huit mille vues pour son interview à Paris sur 216 TV Facebook le 13 février 2022 avec Mr le journaliste ridha Kerouida
Ce n'est plus crédible de nous présenter ces sornettes, ces de dénégations sans argument, et faire pleurer dans les chaumières sur Bhiri blessé lors de son arrestation.
Bhiri à commis un crime contre la justice. Il avait demis, rayé des cadres des dizaines de juges sans que cela fasse hurler nos contemoteyrs et moralistes.
Il est un apparatchik de premier rang d'un parti sur qui pèse la responsabilité de meurtres de deux opposants po'ituqye, au moins.
Pas des opposants arrêtes, jugés, mais deux hommes flingués par des assassins à la solde de Ennahdha.
On va encore nous faire le numéro de dossier vide, absence de preuves, que Bhiri et ses frères sont des citoyens tranquilles, des politiciens démocrates.
Démocrates de la gâchette.
Parfois ils m'étonnent.
Bhiri est de toute évidence responsable de la situation catastrophique de la justice tunisienne.
Sans rentrer dans les détails des conflits d'intérêt du cabinet de son épouse a un moment.