
L'ancien président de l'Ordre national des avocats de Tunisie et candidat aux législatives anticipées du 17 décembre 2022, Brahim Bouderbala a assuré qu'il avait déposé sa demande de candidature et les 400 parrainages nécessaires bien avant la fin des délais réglementaires et non-pas lors de délais supplémentaires annoncés par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
Invité le 10 novembre 2022 à l'émission "Fi 90 Dkika" animée par Khouloud Mabrouk et diffusée sur les ondes de la radio IFM, Brahim Bouderbala a assuré qu'il ne pensait pas actuellement à la présidence du parlement, mais au déroulement de la campagne électorale. Il a expliqué que les habitants de sa région l'avaient appelé à se présenter aux législatives. Il a été contacté le lendemain par les membres de l'initiative « Pour que le peuple triomphe » afin de candidater aux élections du 17 décembre 2022.
Brahim Bouderbala a considéré que les affirmations d'Amine Mahfoudh au sujet de l'instauration d'une dictature n'étaient qu'une simple opinion. Il a insisté sur l'échec du régime politique adopté dans le cadre de la constitution de 2014. Il a, aussi, évoqué la dégradation des pratiques politiques, notamment au sein du parlement. Il a considéré que la nouvelle constitution de 2022 attribuait plusieurs prérogatives au prochain parlement.
« Je pense que ni la personnalité de Kaïs Saïed, ni sa formation, ni son âge ne lui permettent de devenir un dictateur... Les médias sont libres. Les manifestations ont lieu sans interdiction... Il n'y a pas d'atteinte à la liberté de manifester ou à la liberté d'expression... Je ne pense pas que nous avançons vers une dictature... Le parlement et le Conseil national des régions et des districts doivent fonctionner correctement », a-t-il poursuivi.
Brahim Bouderbala a qualifié la réaction de Amine Mahfoudh et de Sadok Belaïd d'émotive. Il a expliqué que ceci résultait de la substitution du projet de constitution présenté par la Commission nationale consultative pour une nouvelle République par une autre version. Il a affirmé que le président de la République avait repris plusieurs propositions mentionnées dans le projet de la commission.
Brahim Bouderbala a considéré que le chef de l'Etat, Kaïs Saïed remporterait des élections présidentielles anticipées en raison du soutien du peuple et de son discours honnête. Il a considéré que les Tunisiens avaient énormément confiance en la personne de Kaïs Saïed. Il a affirmé que le référendum du 25 juillet 2022 était une véritable réussite. Il a, aussi, évoqué les 700 mille parrainages collectés par les candidats et a conclu que ce chiffre refléterait une volonté populaire de garantir la réussite du processus entamé depuis l'annonce des mesures exceptionnelles.
S.G

Ce Bouderbella, "Allah iderblou", ne fait que tuer tout espoir d'amélioration en Tunisie. On ne peut changer l'odeur de l'oignon par l'odeur de l'ail, tout en prétendant qu'il s'agisse-là d'un nouveau parfum.
C'est pourquoi je commence effectivement à penser que la bêtise ne fait qu'augmenter avec l'âge chez les gens de la société BenouHilèl, qui n'en sont déjà pas très bien pourvus !
Ca peut être un simple theme de Doctorat en médecine. De toute façon en Tunisie tout diplômé en médecine peut saisir n'importe quel sujet pour arracher le titre de Doctorat !
Il prend les tunisiens pour des cons, remarquer, il a raison, l'imbecile de Carthage nous prend pour des cons et y'a l'air que ça plaise à une partie du peuple alors, pourquoi pas lui.