
Le dirigeant au sein d’Attayar, Mohamed Larbi Jelassi est revenu, ce vendredi 22 juillet 2022, dans une déclaration accordée à Business News, sur les agressions policières subies par les manifestants contre le référendum à l’avenue Habib Bourguiba.
Mohamed Larbi Jelassi a assuré qu’un important dispositif sécuritaire avait été mis en place face à des manifestants pacifiques qui ne cherchaient aucune confrontation. « Les forces de l’ordre ont commencé les provocations verbales qui ont été suivies d’agressions physiques, puis d’arrestations aléatoires. Samia Abbou a été frappée à coups de matraque. Ma collègue Amel Saïdi et moi-même étions aspergés de gaz lacrymogène. Le président du SNJT, Mehdi Jlassi a été violenté et transporté en ambulance. Tout ce monde ne cherchait pas d’altercations avec les sécuritaires. Nous voulions juste faire parvenir notre voix et protester contre ce processus et ce référendum », indique M. Jelassi.
Il ajoute dans le même contexte, que le boycott du référendum demeure l’unique alternative possible face au référendum du 25-juillet. « Nous allons poursuivre le militantisme. Concernant les agressions de cet après-midi nous faisons porter l’entière responsabilité à Kaïs Saïed et à Taoufik Charfeddine, puisque les agents ne font qu’appliquer les ordres de leurs supérieurs hiérarchiques. Nous allons, également, engager des poursuites en justice contre les parties impliquées ».
S.H

Au début, tout se passait dans les règles, puis des manifestants hystériques ont volontairement cherché à forcer les barrières et provoquer les sécuritaires contrairement aux déclarations mensongères de Mr Jelassi.
Les sécuritaires ont au maximum fait preuve de retenue et de sang froid mais la patience a des limites.
Ce cinéma présenté par Jelassi, le grand traître Hamma, Abbou et toute cette bande de racaille pour se donner une image de malheureux victimes.
Manifester et exprimer son opinion est un droit légitime incontournable, mais faîtes le dans le calme, le respect et le comportement civique adéquat.
Et cessz de pleurnicher comme des nanas abandonnées.