
« Bien qu’il ne soit guère digne de remerciements, Kaïs Saïed peut être remercié d’une seule chose : ses efforts pour humilier et rabaisser ses fidèles parmi les partis ». C’est ce qu’a écrit le dirigeant nahdhaoui, Rafik Abdessalem samedi 21 mai 2022 sur sa page Facebook en réaction à la création, par le président de la République, de la commission consultative pour la nouvelle république.
Le dirigeant islamiste faisait, en effet, allusion à l’exclusion des partis politiques de ladite commission, y compris ceux qui ont largement soutenu de façon presque inconditionnelle le locataire de Carthage et son entreprise juilletiste ; le mouvement Echaâb entre autres.
Rafik Abdessalem a indiqué qu’en dépit de leur acharnement « pour s’emparer d’une part du butin », ces partis se sont vus refoulés aux portes de Carthage, car, selon ses dires, Kaïs Saïed considère que « leur rôle s’arrête à analyse le ‘coup d’Etat’ et laver les assiettes des hôtes privilégiés » du palais.
« Kaïs Saïed leur a ôté la toute dernière feuille de mûrier avec laquelle ils cachaient leur nudité. Il ne leur reste que la douleur et s’en vouloir pour ce qu’ils s’étaient eux-mêmes infligés de leur plein gré », a-t-il avancé non sans jouissance.
Le président de la République, Kaïs Saïed, a officialisé, vendredi 20 mai 2022, la création de la commission nationale consultative pour une nouvelle République. Le décret présidentiel publié à l’occasion n’a pas manqué de faire réagir la scène politique. Plusieurs personnalités ont critiqué les noms assignés, notamment la désignation du bâtonnier des avocats, Brahim Bouderbala, à la tête comité consultatif des affaires économiques et sociales.
L’annonce a fait réagir plusieurs des partis qui s’opposent à Kaïs Saïed. Ses soutiens ont, eux, gardé le silence.
Selon le décret présidentiel paru dans le Jort de vendredi, la commission est répartie en trois structures : un comité consultatif des affaires économiques et sociales composé de représentants de l’UGTT, de l’Utica, de l’Utap, de l’UNFT et de la LTDH, un comité consultatif des affaires juridiques composé des doyens des facultés de droit, des sciences juridiques et politiques et présidé par le membre le plus âgé et un comité du dialogue national composé des membres des deux comités précédents et présidé par le président coordinateur de la commission nationale consultative, le doyen Sadok Belaïd.
Elle aura pour mission de présenter – à la demande du président de la République – un projet de constitution pour une nouvelle République dans le respect des principes et objectifs de l’article 22 du décret 117, et des résultats de la consultation nationale, initiée par le locataire de Carthage.
N.J.

soit il a déjà le texte au fond de son tiroir (probable, on n est jamais si bien servi que par soi-même) soit il a une foi incommensurable dans le génie de ses contemporains '?
Ennahdha devrait faire sa propre auto critique avant de critiquer les autres partis.
Un article presque chaque jours autour de cet idiot insignifiant.
Pourquoi pas, l'amour est aveugle.
Et kais said n'a pas fait une formation chez Ennahda pour apprendre à partager pour ces intérêt avant les intérêts de l'état et c'est ça la différence...
- de leur acharnement « pour s'emparer d'une part du butin »
Il a été beaucoup plus intelligent et beaucoup plus rusé !
J'entends par tous : tous les politiciens sans exception, tous les journalistes sans exception y compris Business news bien sûr !
Je crois que ce proverbe peut vous être appliqué à tous :
le chien aboie et la caravane passe !
NB: j'espère que mon message ne sera pas censuré.
Et qu'en est il de sa compétence à gérer une nation où la pauvreté frappe a toute les portes et l'inflation a 2 chiffres qui arrivent tel une vague pour tout balayer...?
Depuis son accession nommez moi quelques chose qu'il a fait pour le pays où pour le peuple ?
'? part s'enfermer dans sa tour d'ivoire et de médiatisé ses quelques sorties pour insulter ces opposants, qu'a t'il fait?
On a besoin de personnes qui soient intègre et qui ne soient pas aveuglés par la haine et la vengeance d'une partie du peuple comme l'es celui que vous défendez.
De plus, pour les nostalgiques, Ben Ali est mort quelques années après sa fuite, d'un cancer.
Et donc cette situation que nous avons vécu ou que nous vivons est une situation par laquelle on l'aurait tout de même subi.
Ma question est faut il changer une république pour faire fonctionner un pays? Quand on est compétent, intégre et intelligent on s'est apporté des solutions aux problèmes existants sans faire table de rase de ce qui existe. Car ceci est un vrai danger économique.
Changement de république ou pas, ses détracteurs seront toujours bel et bien là. Et l'opposition d'aujourd'hui deviendra l'opposition de demain. Rien ne changera. Et personne ne sait ce qu'il a en tête. Et c'est cela le plus inquiétant. Il vit dans le secret et la psychose que tout le monde est corrompu à part lui.
Il y a un problème profond en Tunisie qui dépasse également la politique. Un peuple qui se perds dans ses valeurs, dans la défense de sa culture, dans sa moral et surtout qui ne fait rien pour se construire par eux même et évolué de façon positive pour créer une dynamique économique. Ils je pensent qu'à fuir. Ils ne savent pas faire face et ne connaissent pas le challenge de faire quelque chose de positif en Tunisie. Une culture du "c'est mieux ailleurs et c'est foutu ici" est encré parmi les diplômés et parmi tant d'autre.
Pour construire il faut tenter. On ne choisi pas la facilité de fuir a l'étranger dans l'espoir de trouver un travail ou plutôt une liberté qu'il n'ont pas forcément en Tunisie ....
Un proverbe Tunisien dit : Yeklou fi El 9out ou Yestenou fi El Mout.
Le peuple doit changer avant que le reste change....
Certainement il a quelque chose a réglé avec sa cousine
Hilton gate
Sûre quelque chose de ORFI
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. ...il faut savoir quitter la table...........tu es rien.....
N'ayant plus trouvé de sujets pour attaquer KS, il tente de provoquer les partis qui appuyaient le Président.
Peine perdue ya Chlaka.
Tu n'as plus de pouvoir pour influencer ou pour acheter les partis.
Un parti que tu ne pourras jamais acheté, c'est celui du peuple.