
Le député et membre d’Ennahdha, Mohamed Goumani a annoncé, dans la soirée de samedi 25 septembre 2021, sa démission de son poste à la tête du Comité de gestion de la crise politique créé au sein du mouvement islamiste au lendemain du 25-Juillet.
Dans un statut publié sur sa page Facebook, il a indiqué que cette initiative n'avait plus lieu d'être compte tenu du contexte actuel imputant son échec au président de la République, Kaïs Saïed, « qui a fermé toutes les portes du dialogue ».
Mohamed Goumani a, dans ce sens, rappelé que le mouvement Ennahdha avait fait preuve d’ouverture et s’était engagé à soutenir toute initiative présidentielle qui respecte la Constitution, pour ainsi ôter toute responsabilité au parti dans la crise politique.
Plus tôt dans la matinée de samedi, 113 membres, dirigeants et députés d’Ennahdha – dont Abdellatif Mekki et Samir Dilou – ont claqué la porte du mouvement islamiste en signe de protestation contre la centralisation des décisions au sein du cercle rapproché de Rached Ghannouchi et le rejet catégorique de toute réforme du parti.
N.J.
Ces fourbes pensent avoir affaire à un demeuré.
Mais baba Kaissoune n'est pas dupe.
Il l'a dit et redit à maintes reprises : Aucun retour en arrière !!!!!!!
Maintenant il y en a assez.
Toutefois ces dix années auraient dû moindres, mais l'obstination de nahdha à été fatale pour la Tunisie, puisque la caricaturale révolution leur a non seulement fait perdre la tête mais croyait qu'il pouvaient s'enrichir facilement avec la politique et qu'il s'agit pour eux d'une aubaine pour dissimuler leur ignorance et leur manque de formation, sous prétexte qu'ils sont en chômage et qu'ils n'ont pas la possibilité de s'intégrer sans la société que par l'octroi d'un poste sans la fonction publique ; et pourtant ils ont eu des compensations fantoches pour avoir énormément d'argent et obliger la Tunisie à s'endetter qui était financièrement ruinée et ce pour que nahdha parvient à s'assurer un populisme truqué et avoir des votants fantoches.

