
Le président du conseil de la Choura, Abdelkarim Harouni a déclaré qu’on ne peut pas affirmer que le gouvernement actuel a échoué dans sa mission. Ce gouvernement a été créé par le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, suite à sa nomination par le président de la République, Kaïs Saïed. Cette nomination s’est accompagnée par des nominations forcées au niveau de plusieurs ministères. « Ennahdha estime que le problème réside en la nature de ce gouvernement ! », a-t-il ajouté.
En effet, invité à l'émission Midi Show sur les ondes de Mosaïque FM le 6 juillet 2021, Abdelkarim Harouni a considéré qu’il est temps de passer du gouvernement du président de la République à un gouvernement du peuple. Il a expliqué qu’un gouvernement traduisant une coalition politique bénéficierait de plus de stabilité politique. « Ceci permet un traitement plus facile des problématiques du pays et des propositions de loi. », a poursuivi le politicien. De plus, ce type de gouvernement sera soumis à une évaluation permanente et il prendra en compte plusieurs enjeux tels que les élections. Or, un ministre indépendant ou technocrate n’est pas soumis à beaucoup de contraintes. Dans le pire des scénarios, il se contente de démissionner et de reprendre ses activités antérieures.
Par la suite, le président du conseil de la Choura a affirmé qu’il faut trouver une issue à la crise politique afin de pouvoir correctement lutter contre la propagation du Coronavirus. La résolution de la crise permettra, également, de résoudre la crise économique que traverse le pays. Or, « pour résoudre la crise qui a débuté à Carthage, il nous faut une solution au niveau de la Kasbah ! », a déclaré Abdelkarim Harouni.
Par ailleurs, Abdelkarim Harouni a considéré que la crise politique actuelle est un cumul de plusieurs éléments. A ce sujet, il a cité le blocage du remaniement ministériel de la part du président de la République. « Cette initiative visait à améliorer le rendement du gouvernement. », a-t-il souligné. Abdelkarim Harouni a, aussi, évoqué le blocage du dialogue national et de l’instauration de la cour constitutionnelle. Il a considéré que Kaïs Saïed en est le premier responsable.
M. Harouni a estimé que l’amélioration de la relation entre les trois présidences est une étape indispensable pour la réussite du dialogue politique. « Nous devons entamer un dialogue avec le président de la République et expliquer que le problème n’est pas d’ordre personnel ! », a-t-il déclaré.
De plus, le dialogue politique doit traiter les véritables problématiques. « Nous ne devons pas commettre la même erreur que celle du gouvernement Chahed. », a précisé Abdelkrim Harouni. Le président du conseil de la Choura a considéré que le débat doit porter sur la composition du gouvernement, ses objectifs et sa vision et non pas sur la personne nommée à sa tête.
Pour ce qui est de Hichem Mechichi, Abdelkarim Harouni a souligné l’absence de conditions de réussite de son gouvernement. « Nous nous attendons à une réaction positive de sa part concernant cette initiative ! Hichem Mechichi est conscient de la gravité de la situation et de l’importance de trouver une issue à la crise ! », a-t-il continué.
M. Harouni a affirmé que le mouvement Ennahdha veut constituer un nouveau gouvernement présidé par Hichem Mechichi. « Nous allons nous concerter avec la ceinture soutenant le gouvernement. Si Hichem Mechichi n’est pas d’accord, le dialogue politique nous permettra de trouver une alternative », a expliqué le président du conseil de la Choura.
D’un autre côté, Abdelkarim Harouni a considéré que le rendement du ministère de la Santé n’était pas à la hauteur. La prise de décisions et de mesures de confinement ont souvent été retardées parce que le gouvernement agit en tant que gouvernement de technocrates, selon lui. Il a, aussi, expliqué que l’instauration d’un confinement ou d’un couvre-feu est une décision à caractère politique et non administratif.
Abdelkarim Harouni a affirmé que le mouvement Ennahdha ne demande pas la destitution de Hichem Mechichi ou sa démission. Afin d’opérer un remaniement ministériel, le président du conseil de la Choura a cité deux scénarios possibles. En premier lieu, il a évoqué l’interprétation du président de la République de l'article 89 de la constitution Tunisienne. « Le chef du gouvernement a la possibilité d’opérer un remaniement sans passer par un vote du parlement ou de prestation de serment ! », a-t-il précisé. En second lieu, Abdelkarim Harouni a expliqué que Hichem Mechichi pourrait opérer un remaniement de la même façon que ceux qui ont précédé. Il devra, ainsi, le soumettre au vote de confiance du parlement et les nouveaux ministres devront prêter serment devant le président de la République.
Enfin, Abdelkrim Harouni a souligné l’importance du dialogue politique en Tunisie. Il a, également, appelé le président de la République à respecter l’Assemblée des Représentants du Peuple et à entamer un dialogue avec les partis politiques et les composantes du paysage politique.
« Nous sommes prêts à discuter avec tous les partis et les indépendants excepté les opportunistes », a déclaré Abdelkarim Harouni sans citer de noms. « Nous avons entamé les échanges avec nos partenaires et nous allons élargir le cercle des débats. », a-t-il précisé.
Pour ce qui est de la situation économique, Abdelkarim Harouni a affirmé que le mouvement Ennahdha optera pour des réformes après les échanges et débats avec les experts et les partenaires nationaux. « Nous avons deux grandes opportunités ! » a souligné le leader du mouvement. Il a, ainsi, évoqué la possibilité de collaborer avec le FMI. Il faut proposer des réformes possibles et résultant des débats. « La loi de finances de l’année 2022 représente, aussi, une grande opportunité. Elle doit être élaborée selon une vision politique avec des choix stratégiques ! », a-t-il conclu.
S.G

Et dire qu'avec 58 députés au parlement, ils font la pluie et le beau temps Ils fond et défont les gouvernements et sabotent l'action du président.
Voilà où mène le régime bâtard et immonde qu'ils ont imposé au pays.
- Ennahdha a réussi à tuer Belaid et Brahim,
- Ennahdha a réussi à egorger nos soldats dans les montagnes de l'ouest tunisien,
- Ennahdha à ensauvager le peuple tunisien,
- Ennahdha a réussi à faire de la corruption un mode de vie en Tunisie,
- Ennahdha a réussi à endoctriner l'obscurantisme dans nos mosquées.
Réussîtes:
- néant
- nothing
- lâchei
Comment 100 malfrats sont capables de malmener tout un peuple ?
Alors que l'arp se compose de 217 élus ?
117 , en s'unissant, ne peuvent contrer cette racaille ?
" Un gouvernement de peuple " a-t-il déclaré ?
Oui et mille fois oui, consultez le peuple et laissez lui le soin de décider.
Les pseudo democrates et " progressistes " traitres prêts à de vendre piaffent d' impatience!
Pourquoi parceque les khouamjias tiennent les Tunisiens pour Des immatures et leur font avaler leur salade démocratie islamiste bil kmaa,
Comme les oies!
Ya ness fikou ! Il faut se reveiller! Il faut que nos dirigants fassent leur PREUVE
Il faut qu il soient dûement élus après une campagne électorale qui il mettromt en valeur leur compétence! Le peuple doit CHOISIR!
Idem pour la presidentielle!
Lea khouamjias essaient de détourner l ' attention du referendum qui permettra de changer la loi électorale et eliminer cette constitution qui constipe Le pays
Les khouamjias sont une catastrophe!
En commençant par les défunts : Bourguiba (fin de règne), Ben Ali et Béji Caied Essebsi BCE (le deuxième plus grand traitre de la révolution, il a pactisé avec le premier traitre Kherriji (Ghannouchi) en aout 2013, dans l'hôtel chic de Paris : le Bristol, dans la suite de Riahi, rencontre organisée par Nabil Karoui qui est co-fondateur de Nidaa Tounes. BCE a permis le retour des RCDists, dont Abir Moussi et a tout fait pour favoriser son fils Hafedh)
En passant par Ghannouchi (cheikh bac moins trois'?') et Abir Moussi (comme tout RCDist, une opportuniste primaire)
En continuant par Nabil Karoui et Makhlouf, etc
En interne, aucun des partis politiques associés à cette racaille, ne fonctionne de façon démocratique.
Pour balayer cette racaille et la faire dégager par la petite porte, il suffit d'adopter un scrutin législatif plurinominal, majoritaire, à trois tours.
Donc il faut changer le code électoral.
Espérons qu'un référendum pour un amendement de la constitution le permettra.
Mes sincères salutations aux citoyens honnêtes de toute sensibilité.
N. B. : KS, sans parti politique, avec des prérogatives très limitées, qu'il respecte, ne fait pas partie de la racaille.
Il parait que ce camp des imbéciles nahdaouis préparent en bonne et due forme le sacrifice de l'aid Elkhebir et jeter Mechichi de la grande porte....
C'est leur manière d'exister et de survivre... comme on l'a toujours dit.... le plus important pour eux s'accrocher au pouvoir par n'importe qui .... tout le reste ne compte pas pour eux....
une bande des mounafikhines qui sont passés par la même école de la catastrophe Ghannouchi....
Inchallah votre dissolution est très proche.....
Ils ont mené le pays a la banqueroute et ils osent encore ouvrir leur bec.