
L’ancien secrétaire général d’Attayar, Ghazi Chaouachi était présent, ce vendredi 26 mars 2021, sur le plateau de la chaîne Attessia pour revenir sur plusieurs questions dont sa démission d’Attayar et sa position par rapport aux développements de la scène nationale.
Dans un premier temps, Ghazi Chaouachi est revenu sur les raisons de sa démission assurant qu’il avait réussi sa mission à la tête du parti sauf qu’il s’est retiré lorsqu’il s’est senti incapable d’imposer l’ordre et la rigueur nécessaires. « Il est clair que la rigueur est absente au sein de tous les partis ». Par ailleurs, il a tenu à préciser que son retrait n’était pas définitif, soulignant qu’il y avait des discussions en cours et que l’éventualité de son retour à la tête d’Attayar n’était pas à écarter.
Par ailleurs, il a affirmé que son parti se range du côté du président de la République et s’érige contre les partis au pouvoir ainsi que certains partis de l’opposition, dont principalement le PDL conduit par sa présidente Abir Moussi. « Abir Moussi veut détruire l’image du Parlement et de l’expérience démocratique. D’ailleurs, elle est contre la démocratie lorsqu’elle appelle à exclure radicalement le parti islamiste. Elle n’a pas d’autre programme. C’est son droit de s’opposer aux islamistes, mais elle ne peut les exclure de cette manière. Il faut passer par les méthodes démocratiques, chose qu’elle ne reconnaît pas ».
Ghazi Chaouachi a, également, précisé qu’il est l’allié du mouvement Echaâb et se range du côté de l’UGTT. « Tout parti qui se respecte doit avoir un positionnement clair, il ne peut rester en tant qu’observateur. Aujourd’hui, le positionnement d’Attayar est bien clair ».
Revenant sur la position du gouvernement actuel dans le cadre du dialogue national prévu, il a considéré que ce gouvernement est fini et qu’il n’a plus sa place puisqu’il a échoué, tout comme le chef du gouvernement Hichem Mechichi, ayant trahi, selon lui, le président de la République qui l’a désigné.
Dans ce contexte, il a estimé que les partis au pouvoir, doivent retirer la confiance à Hichem Mechichi et former un nouveau gouvernement n’ayant aucune suspicion de corruption. « Ce nouveau gouvernement pourra prêter serment devant le président de la République et assurer ses fonctions. Cette démarche est facile et ne prendra pas beaucoup de temps. La majorité au pouvoir doit assumer ses responsabilités et gouverner réellement, c’est l’essence même de la démocratie », a-t-il conclu.
S.H
En ecartant ces traîtres de qalb tounes ce n'est pas pour corruption mais pour avoir plus de fauteuil au sein du gouvernement ,vous n'ê
https://www.tunisiefocus.com/politique/samia-hab-hab-finira-par-etre-ejectee-elle-et-son-parti-de-la-scene-politique-249712/
Que voulez-vous: c'est la malédiction des partis de gauche - et elle continue encore à frapper....
Qui arrêtera ce sort injuste ?
- déstabiliser Attayar
- démissionner pour rejoindre ensuite la secte Ennahdha.
En un mot: la crapule Chaouachi est un traître.
Le faux-cul abbou, ex-cpr, a été le plus fidèle complice des chameliers traitres.
Le mandat de la troika est là pour nous le prouver.
N'oubliez pas que le cpr et l'ensemble des autres rebuts, ont pleinement contribué à la rédaction de la plus merdique constitution de l'univers.
Leur seul but était celui de s'éterniser au pouvoir.
Rien que cela suffit pour qu'ils soient surclassés en tête du hit-parade de ceux qui avaient fermement contribué au chaos actuel.
Il ne faut pas avoir la mémoire courte.
Salutations.
"... que ceux qui pleurent sur moi, pleurent d'abord sur eux...".
Il savait, tout le monde savait qu'on menait un malade à une condamnation certain.
Bouvier fut guillotiné.
On ne prit pas le temps, ni les moyens de le soigner.
Ce fut une erreur judiciaire.
Une faute. Un crime ! qui venait grossir ses propres crimes.
Crimes de malade.
Cette affaire vaudrait comme parabole.
Chacun y verra ce qu'il peut.
Ou ce qu'il veut.
Notre malade, ici, est le pays.
Les criminels sont connus.
On veut condamner celle qui préconise de soigner le malade.
Les donneurs de leçons choisissent son suicide.
Son exécution.
* cf Le juge et l'assassin de Bertrand Tavernier
Tavernier vient de tirer sa révérence à 89 ans.
Sa mémoire demeure en mon c'?ur.
Sa quête artistique, culturelle, adossée à un attachement forcené à la justice resteront comme emblème de son passage. J'y souscris pleinement.
Fils de résistant qui choisit le combat lorsque beaucoup de ses compatriotes s'accomodaient avec l'ennemi.
Quelle initiative grandiose que de venir nous donner son verdict !
En fait, à la lecture de ce digest, on relève l'autosatisfaction d'avoir réussi alors même qu'il admet n'avoir pas su gérer l'organisation qui lui a confié sa direction.
'? moins que, ce qui est probable, il y était parvenu par un coup de force et qu'au bout du compte il fut éjecté.
Sans parachute, visiblement, car l'atterrissage semble avoir raté.
Pour un donneur de leçons en démocratie, cela paraît un peu tiré par les cheveux.
Son "positionnement clair" ne consiste qu'à se rendre et légitimer des actes et une stratégie anti-democratiques en acceptant de ne rien faire.
Ou, seulement, attaquer le PDL et surtout sa présidente.
Décidément, Abir réussit à réunir, rassembler presque toute "la classe politicienne" contre elle.
On devine assez pourquoi tous ces petits arrivistes ne la supportent pas.
Elle était populiste. Le niveau du diagnostic ressortit de la conceptualité la plus élevée.
L'auteur se classant hors cadre.
Ici, la prétention est tout autre.
Puisqu'on ne parvient pas à se hisser au niveau du rival, même l'adversaire, on le disqualifie.
Et, par les temps qui courent, déclarer quelqu'un peu ou pas assez démocrate, c'est déjà le flinguer.
Alors, notre sure vise plus loin, il définit Abir Moussi.
Il la déclare antidémocrate.
Le coup était à tenter.
Mais ce fut un coup de pétard mouillé.
Celui qui détruit la Tunisie et l'image du parlement, vous le savez très bien, c'est RG qui ne respecte ni foi ni loi. Vous accusez injustement Abir Moussi en faisant un clin d'oeil à Ennahdha, afin d'assurer votre avenir personnel au détriment de la Tunisie.
Vous êtes nul !

