
Le président de la République, Kaïs Saïed, a signé ce dimanche 16 août 2020, la loi n° 27/2020 relative aux dispositions exceptionnelles de recrutement dans le secteur public, confirme à Business News une source à Carthage.
Le projet concerne le recrutement systématique des chômeurs titulaires de diplômes supérieurs qui ont passé une période de chômage de dix ans au moins et qui sont enregistrés auprès des bureaux d’emploi.
Ces recrutements sont censés se faire progressivement sur une période de quatre ans et concerneront également les personnes ayant atteint l’âge de 35 ans sans avoir cumulé les dix années de chômage.
La commission parlementaire de la jeunesse, des affaires culturelles, de l'éducation et de la recherche scientifique avait présenté en juin le projet de loi n°27-2020 relatif aux dispositions exceptionnelles pour le recrutement dans le secteur public.
Le président de la commission avait alors indiqué que la plupart des blocs parlementaires ont contribué à la formulation de ce projet, soulignant que la question du recrutement des chômeurs fait l’objet d’un large consensus parmi les élus, quelle que soit leur famille politique.
Il a ajouté que des discussions se sont tenues avec des représentants du gouvernement, notamment le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le ministère de la Formation professionnelle et de l'Emploi et le ministère d'État auprès du chef du gouvernement en charge de la Fonction publique, de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption ainsi que des organisations et associations actives dans ce domaine.
Le député et dirigeant Attayar, Nabil Hajji, s’est insurgé à l’ARP, contre le projet de loi n°27-2020 présenté après examen de la commission de la jeunesse. Nabil Hajji, qui a bien souligné que le projet initialement déposé auprès de la commission parlementaire de la jeunesse, des affaires culturelles, de l'éducation et de la recherche scientifique ne ressemble ni de près ni de loin à celui qu’elle a rendu pour vote à l’ARP, a estimé que le projet totalement modifié par ladite commission est illusoire et surtout malhonnête.
« Ils ont vendu du rêve aux chômeurs, ils disent que la loi entrera en vigueur à la date de sa parution dans le Jort, or dans son rapport, la commission note qu’elle le sera à partir de la prochaine année financière. On leur a dit que tous les chômeurs qui ont passé plus de dix ans au chômage seront recrutés, la commission vient dire que les recrutements se feront dans la limite de la capacité annuelle des administrations. On parle de recrutement systématique, donc les chômeurs de plus de dix ans pensent qu’ils seront automatiquement pris, or le rapport de la commission dit que cette loi n’annule pas la formule des concours mais ajoute une formule exceptionnelle complémentaire… Le plus dangereux est quand, dans une loi, on ne donne pas la définition des termes et on laisse planer sciemment l’ambiguïté ce qui finira par créer des conflits au sein même de la classe des chômeurs » a poursuivi le député, lors de la plénière du 29 juillet.
« Que veut dire les chômeurs qui ont passé plus de dix ans au chômage ? Et celui qui a ouvert son petit commerce ? Et ceux qui ont travaillé un an sur les dix ? Selon la loi, ils ne sont pas concernés mais on leur a dit que oui ! Qui est plus méritant ? Celui qui s’est démené pour travailler ou celui qui n’a pas bougé ? Mais non ! Ici il n’y a pas de mérite qui compte, juste l’âge ! » a-t-il ajouté.
M.B.Z



Et puis durant cette période est-ce qu'il y a eu un autre choix pour le prétendant ? Et comment savoir qu'il était vacant ? Ou gérait un bien, un commerce familial ou même propre à lui; ou carrément à l'étranger et à Paris par exemple s'il est de nahdha. Il y a énormément de possibilités pour que cette offrande ne lui soit pas allouée, alors que d'autres peinent en étant dans des sociétés privées en faillite et qui ne perçoivent aucun salaire depuis pratiquement un semestre; si ce n'est grâceà l'entraide ( ou l'aumône) qu'ils survivent.
Non ! C'est trop injuste !
N'en parlons pas des recrutés lors troika et dont leurs salaires sont des pourboires et des sommes superflues à leurs rentrées provenant de leurs projets individuels ou familiaux.
Et puis, et le plus essentiel, et sur quoi tablent les demandeurs d'emploi de kamour et autres de "bastana" ( jardinage pour la forme), à savoir le lieu de recrutement doit-il être impérativement à Tunis, et ce pour que des habitants, ailleurs qu'à Tunis, on leur impose (indirectement) que le lieu de travail soit donc à Tunis, et ce faute de décentralisation " volontairement" envisagée pour soi-disant appliquer un ridicule populisme .
Or, et ce qui est dans la plupart des cas, d'après des petites enquêtes, ceci (;cette migration inutile) pourrrait constituer une contrariété, et non pas une faveur. Toutefois, ceci fut pareil pour les sudistes de la région Est, qui ont été recrutés lors troika par centaines de milliers; mais c'était surtout pour la cause du populisme des élections et afin de donner des voix de vote à nahdha.
Soit une contrariété pour le logement, quoique la plupart pensent que de vivre à Tunis est meilleur; sagissant d'un tabou avéré dans la plupart des cas néfaste saimuf pour quelques-uns qui sont contraints soit par leur travail ou leurs obligations familiales, logiques, connues depuis belle lurette , et qui perdure depuis des décennies, de même que l'éloignement familial engendrant des dépenses superflus surtout pour ceux dont les rentrées sont limitées.
Cette tactique de rapprochement familial a été trop utilisée avec les sudistes du RCD, et maintenant les mêmes sudistes l'utilisent, depuis 2012, la même méthode avec nahdha ; trop fréquente et trop usitée par les enseignants.
Par voie de conséquence, ces recrutements, pareils à ceux effectués par troika, ne sont nullement un cadeau, et sont ainsi anarchiques et puis surtout néfastes pour l'économie tunisienne ; ainsi il aurait été préférable de les inclure en jardinage ( bastana) et ce au lieu d'obliger les gens à opter pour la capitale obligatoirement malgré eux, des fois, et ce rien que pour prétendre que le gouvernement a réalisé des recrutements, sans oublier et de surcroit que ces recrutements nécessitent des émoluments dont le pauvre état tunisien ne peut les honorer qu'en s'endettant indéfiniment auprès des banques mondiales.
Soit l'embrasement d'un marécage de produit inflammable qu'on veut éteindre par le souffle du vent ; ce qui est contradictoire et impossible.
Il faut des experts en économie, et non ce tâtonnement et cet agissement au pif et au petit bonheur la chance ! Comme ceux qui existaient les années 60 et 70.
Toujours penser à atténuer le fléau de l'exode rural et à la décentralisation de quatre ou cinq villes et non seulement la capitale.
Pourtant la solution de la Tunisie est évidente et qu'il s'agit de construire de nouveaux villages économiques (dans des lieux bien étudiés sans toucher à l'écologie ), ayant toutes les commodités de A à Z, ou d'agrandir et de développer ceux existants tout en tenant compte tant de l'industrie, que de l'agriculture (le bio fait ravage actuellement) et des sociétés agroalimentaires appropriées.
Et puis durant cette période estce quil y a eu un autre coix por le prétendant.
Et puis et le plus essentiel et sur quoi tablent les demandeurs de kamour et ailutres bastana, le lieu de recrutement doit-il être à Tunis impérativement piur des habitants ailleurs qu'à Tunis et quon leur impose le lieu de travail à Tunis slqui est dans la plupart des cas, meme pour xceux qui ont été recrutés lors troika par centaines de milliers, une contrariété pour le logement, leloignement familial ou les depenses siperflus.
Cette tactique de rapprochement familial a été trop utilisée avec les sudistes du RCD, et maintenaient les memes sudistes utilisent, et ont utilisé depuis 2012, la meme methode avec nahdha.
Par viirne de conséquence, ces recrutements pareils à ceux egfectues par troika, sont ainsi anarchiques et surtout néfastes pour l'économie tunisienne; et de les inclure en jardinage ( bastana) serait meilleur.
L'administration est devenue en Tunisie la maison du bon Dieu, et les programmes pour le développement econoniqie sont restés dans les tiroirs de toutes les études réalisées depuis les annees soixante-dix jusqu'à ce jour.
Soit l'embrasement d'un marécage de produit inflammable qu'on veut eteindre par le souffle du vent ; ce qui est contradictoire et impossible.
Ya wildi il faut des experts en économie et non ce tâtonnement et cet agissement au pif et au bonheur la chance ! Comme ceux qui existaient les années 60 et 70.
Yezzi mi essaben elma ( l'eau ) âl harika.
Il y en assez de verser l'eau sur l'incendie ; cela risque de se raviver.
Ce serait donc trop tard pour prendre les bonnes mesures, réaliser les réformes indispensables pour redresser le pays. Ca fait peur!
Aucune compétence particulière n'est exigé , et au diable les équilibres financiers de ces entreprises .
Pour payer tout ce beau monde , on ira jusqu'à les couler elles-mêmes !
Le président , vient donc par sa signature , de confirmer qu'il ne connait strictement rien au rouages de l'état et au système économicofinancier du pays !
Et qui plus est , il n'y a personne autour de lui pour tirer le signal d'alarme et lui expliquer les conséquences de ses actes ! Avec quoi l'état compte-t-il payer ces gens ?
On en a vraiment marre de ces incompetents! on en a marre de payer pour leur incompetence!
Quand allons nous voter pour de vraies competences qui vont réformer et faire evoluer ce pays dans le 21 eme siècle
Vous oubliez le ministère des Affaires Religieuses , quelque dix neuf mille fonctionnaires ,les plus productifs comme tout le monde sait , mal doté et en sous effectif permanent .
La Tunisie compte une population équivalente à celle de L Grèce avec une fonction publique de plus du double . 350 000 pour les Hellènes , 750 000 pour nous , mais ce n'est visiblement pas suffisant .
Je connais des administrations où chaque agent est flanqué de son double-potiche ,se demandant ce qu'il fait là sinon gâcher un décor suffisamment laid , compter les mouches et émarger à un budget gravement bancal .
J'imagine la tête de nos responsables auprès des bailleurs de fonds internationaux qui nous maintiennent la tête hors de l'eau et auprès de qui nous avons pris l'engagement contraire .
Je ne nie pas le drame du chômage , mais mon sentiment est que ces crédits dépensés en pure perte seraient mieux utilisés accordés à des taux bas sinon nuls pour la réalisation de projets individuels .Economiquement retable mais pas politiquement .
Ainsi va La Tunisie ... à sa perte .
Il ne faut donc pas s'attendre à ce qu'il devienne un génie de l'économie.
Mais bon, la politique a ses raisons, en tous cas c'est reculer pour mieux sauter, dans 6 mois la situation sera toujours aussi catastrophique...
Un président maladroit, dépassé par les événements, trop endoctriné, ne sachant pas l'intérêt réel du pays.
Un président élu par accident pire que le marzouki, qui dit tout et son contraire !
Niveau cent en populisme idiot
Et quelle est la valeur de leurs diplômes après tout ce temps au chômage ?
Il aurait mieux valu mettre à contribution financière toutes les écoles et facultés qui ont décerné ces diplômes pour une mise à niveau avant tout recrutement qui va noyer les services publiques de "bras cassés".
Après les 200.000 recrutés par la troïka au sortir des prisons voilà que Kais Saied confirme et signe un acte populiste. Enfin, il devrait ordonner de faire une liste des sociétés nationales toutes florissantes dont Tunis Air entre autre pour les recruter et ordonner aux étrangers de payer la facture.
Tunisair
Sonde
Steg
Agil
SNCF
STB
BNA
BH...