
Des dizaines réfugiés et demandeurs d'asile, dont des femmes et des enfants, se sont réunis dans « des conditions déplorables » devant le siège du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) aux Berges du lac, pour manifester contre la détérioration des services fournis, avec l'expulsion de centaines d’entre eux de centres d'accueil et leur privation des aides qui leur étaient fournies.
Dans une vidéo publiée par le chroniqueur de Mosaïque FM, Mustapha Garram, on voit quelques-uns debout vêtus de manteaux (dont des femmes et enfants) alors que le reste sont assis ou étendus à même le sol, drapés dans des couvertures, leurs valises et bagages à côté d’eux.
Le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) avait lancé dimanche 17 avril 2022 un appel à solidarité avec les manifestants.
Et d’expliquer que « cette manifestation est la continuation des protestations qui ont commencé depuis le mois de février en réaction de l'expulsion par le HCR d'une centaine de personnes réfugiées de leurs foyers et l'absence d'assistance de cette agence onusienne dont le mandat est pourtant d'assurer la protection des personnes en exil ».
L’ONG indique qu’à leurs demandes, le HCR répond par un silence méprisant et la perpétuation de ses politiques de rejet.
L’appel du FTDES était destiné aux Tunisiens qui souhaitent exprimer leur solidarité avec les réfugiés et demandeurs d'asile, en envoyant des produits de base (notamment des couverture, de l'eau, de la nourriture et des aliments pour enfants en bas âge...) et/ou en se joignant à leur manifestation devant les bureaux du HCR à partir du lundi 18 avril.
I.N

Il pourra expliquer au Tunisien que nous sommes souverains ( sans argent) . Nous pouvons par des lois régler les problèmes de famine et de misère de nos frères africains
Je voudrais en savoir plus sur votre situation, je travaille pour un journal tunisien et nous recherchons des personnes qui pourrait nous expliquer plus en détail la situation.
Contactez-moi dès que possible.
Bien à vous et à bientôt je l'espère.
Jean.
Cette sale nahdha n'a rien à perdre maintenant puisqu'il est petit à petit sur le point de perdre son banditisme vécu pendant dix ans et qui fut catastrophique pour l'économie tunisienne. Ils veulent trouver chaque jour des obstacles pour le gouvernement tunisien.
Ils s'affolent ne sachant plus quoi faire ces minables nahdha.
Des enquêtes s'imposent.