
Des organismes nationaux et des associations ont publié ce jeudi 5 mars 2020 une pétition pour condamner les discours haineux entendus depuis quelques jours au Parlement et comportant notamment des accusations d'apostasie [takfir].
Les signataires ont condamné les agissements commis par des individus « appartenant à des ligues dissoutes » au sein même du parlement contre la Constitution qui interdit les discours haineux et les appels à la violence.
« Nous estimons que le silence de l’Etat ouvre la voie à de nouvelles effusions de sang et aux assassinats politiques commis sous couvert des mêmes discours et constitue un crime à l’encontre de la démocratie et de l’Etat de droit » précise le communiqué publié notamment pas le SNJT (Syndicat national des journalistes tunisiens).
Ils ont aussi appelé les appareils de l’Etat à prendre les mesures adéquates à l’encontre de tous ceux qui sont porteurs d’un discours takfiriste et à ne pas fermer les yeux sur un tel comportement dangereux qui menace l’intégrité physique des politiciens.
Cet appel vient suite à une vive polémique suscitée par les propos tenus par les députés Al Karama à l’encontre des députés du PDL (Parti destourien libre) et plus précisément contre la présidente du parti Abir Moussi.
On retrouve parmi les signataires l’UGTT, le SNJT, la LTDH ainsi que d’autres associations et des indépendants.
M.B.Z
Le philosophe tunisien Abdelwahab Meddeb l'a suffisamment démonté.
Un bien joli enfer.
On vous le laisse .On vous y laisse.
Ce sera sans nous.
La haine, le racisme, le takfirisme, les menaces, les insultes n'ont pas le droit de citer dans un PARLEMENT.
Un PARLEMENT c'est fait pour PARLER et pas pour condamner à mort.
Cet individu est celui qui a armé les terroristes qui se sont fait EXPLOSER COMME DES CHIENS devant l'ambassade américaine.
Cet individu épouse les thèses terroristes tout comme Ben Laden, Abou Iyad et autres vermines islamistes.
ALLAH AHAD ALLAH AHAD BEN ALI MA KIFOU HAD.
Hic
Qui sont fiers d'habiter Tunis en pensant que d'habiter Tunis est pour eux une révolution et une finalité.
Il n'a dailleurs aucun rôle à l'ARP sauf de ramasser l'argent du peuple, devenir propriétaire à...Tunis, de défendre ses intérêts personnels, et ceux de nahdha, et puis d'insulter la patriote Abir Moussi qui les a ridiculisés sans peur malgré leurs menaces et leurs violences de minables, d'ignorants et de sous-développés.
Dailleurs il n'y a aucune raison quils insistent à habiter Tunis et de denigrer et renier leur role consiste à s'occuper de leur region.
"Les révolutions sont toujours inaugurées par des naïfs,poursuivies par des intrigants et consommées par des scélérats",Paul Bourget.
En Tunisie,les scélérats tiennent le haut du pavé et nous sommes toujours à plat ventre.
Bien à vous.
Il y a eu un soulèvement en décembre 2010 qu'Il nous faudra en 2020 transformer en une révolution.
Les islamistes et leurs dérivés se sont emparés de ce soulèvement pour en faire une pseudo révolution. Nous payons le prix depuis 2011.
Il faut admettre que beaucoup ont rendu les armes avant combat, habités par la peur de subir le sort des Brahmi... etc.
La collaboration peut revêtir bien des aspects. Elle peut, comme c'est le cas, s'habiller de vertu en laissant le champ libre aux takfiristes, aux menteurs et trafiquants et se complaire dans l'inaction.
Ceux qui votent pour ces fascistes portent une responsabilité éminente, les politiques sans vertu et sans projet autre que celui de se servir ont la plus haute responsabilité dans ce qui a lieu.
Les jeunes qui se soulevèrent ont ouvert un chemin. D'autres, venus de je ne sais où, prirent la place en un tour de main, rompus aux coups et aux opérations de tripatouillage, ont vite fait voler en éclats les illusions comme l'espérance d'un temps nouveau.
Et, si d'aucuns font mine de s'étonner, il leur faut refaire la séquence et reconstituer le puzzle. Ils verraient assez vite comment et où l'évent à tourné.
Un membre éminent de Ennahdha déclare que son parti, dont il s'est retiré, agit comme il veut avec l'Etat.
C'est transparent.
Et, pourtant, certains trouvent les propos des quelques résistants, Abir et d'autres, excessifs ou scandaleux.
En France,le site sur lequel des pétitions peuvent être lancées a pour nom "change.org".Y a-t-il l'équivalent en Tunisie? Bonne soirée à toutes et tous.
Neuf très longues années de transition et la loi récente n'est pas encore appliquée !
En revanche, un fantôme d'une circulaire annulée remontant à 1980 fermant les restos cafés ramadan sera lui scrupuleusement appliqué.
ça veut dire quoi ETAT?
Si quelqu'un peut répondre ou voit dans la rue un signe de la présence de ce que vous appelez ETAT, qu'il nous le signale.
Merci peuple délaissé.