La coalition civile et les organisations de la société civile ont rendu public, vendredi 2 août 2024, un communiqué pour condamner et dénoncer le harcèlement judiciaire dont est victime la présidente de l'Instance Vérité et Dignité, Sihem Ben Sedrine, notamment à travers l’interdiction de voyage et les poursuites judiciaires, jusqu’à l’émission d’un mandat de dépôt.
Les signataires ont exprimé leur solidarité absolue et inconditionnelle avec Sihem Ben Sedrine, militante contre la dictature de Ben Ali, et demande d’arrêter immédiatement les poursuites "fallacieuses et vindicatives" à son encontre et de la libérer immédiatement, étant donné que ces poursuites violent clairement la loi de justice transitionnelle de 2013 dans son article 69.
Ils condamnent la poursuite par l’État, avec tous ses appareils, de la politique d’éradication des acquis de l’État et de négation de la justice pour les victimes, ainsi que de l’acharnement évident contre tous ceux qui ont travaillé pour tenir les bourreaux responsables, tandis que ceux qui ont volé, pillé, torturé et tué jouissent d’une impunité totale depuis des décennies.
Les signataires ont fait part de leur rejet de l’instrumentalisation de la justice à des fins électoralistes pour éliminer l’opposition et les voix critiques envers le pouvoir, ainsi que du harcèlement des défenseurs des droits humains, des présidents des anciennes instances indépendantes dans tous les domaines, et des acteurs de la société civile, politique et syndicale, "alors que la justice devrait être une autorité indépendante visant à poursuivre les bourreaux et les violateurs des droits humains".
Les associations et organisations signataires :
- La Ligue Tunisienne des Droits de l'Homme (LTDH)
- Le Forum Tunisien des Droits Économiques et Sociaux (FTDES)
- L'Association Tunisienne des Femmes Démocrates (ATFD)
- Le Réseau Tunisien pour la Justice Transitionnelle
- L’Association Beity
- Aswat Nissa
- L’Association Kalam
- L’Association Intersection pour les Droits et les Libertés
- L’Association Tunisienne de Défense des Libertés Individuelles (ADLI)
- L’Association Damj pour la Justice et l’Égalité
- L’Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT)
- No Peace Without Justice
- L’Institut International Novact pour la Non-Violence
- L’Association Karama pour les Droits et les Libertés
- L’Association Al-Bawsala
- Avocats Sans Frontières (ASF)
- Le Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie
- Le Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l'Homme en Tunisie (CRLDHT)
- L’Association Al-Khat
- L’Association Tunisienne des Droits et des Libertés
S.H
Elles ne représentent rien, absolument rien, hormis transmettre, via des moyens détournés et pernicieux, les ordres directs de leurs employeurs.
A ce jour, je n'ai quasiment jamais entendu parler de celles-ci.
Où étaient-elles, que faisaient-elles, avant ce jour ?
Cela demeure un mystère.
Qui finance ces structures
De quels effectifs disposent-elles
L'Etat doit mener de sérieuses enquêtes sur ces structures tendancieuses.
@Citoyen20:41
"Ont ils défendu toutes les victimes de cette dame"
Allah yarham wéldik pour votre lucidité.
@Ridha 14:34
"Cette traître devrait être jugé pour haute trahison "
Absolument d'accord avec vous.
Rappelons tout de même, ce que cette épicière des droits de l'homme, surnom attribué à SBS par le magazine Jeune Afrique, qu'elle fut à l'origine de l'exclusion arbitraire de plusieurs dizaines de cadres du ministère de l'Intérieur hautement qualifiés et de la libération en 2011, de plusieurs terroristes et dangereux criminels.
Elle mena personnellement, avec l'aide de l'autre traitre farhat Rajhi, une purge au sein de ce Ministère de tous les cadres compétents et patriotes, avec pour but d'anéantir totalement cette institution représentant les services secrets tunisiens.
A travers ces actes synchronisés, menés méthodiquement, la signature de puissances étrangères ne faisait plus aucun doute.
@Fethia 11:33
"puisqu'ils mangent tous de la même assiette"
Allah yarham wéldik.
De plus en plus de tunisiens le savent.
Le rappeler régulièrement, est une chose positive.
A terme, cela pourrait faire office de vaccin.
Que faudrait-il de plus pour cette Mata Hari tunisienne qui oeuvra de tout coeur contre son propre pays, pour qu'elle soit lauréate à la sanction la plus lourde que la justice puisse émettre. ?
Elle n'éprouva aucune pitié ni aucune compassion envers ces concitoyens.
La HAINE fut son cheval de bataille.
Que justice soit rendue.
Que Dieu fasse en sorte que notre NATION soit totalement expurgée de l'ensemble des métastases post-2011, le plus tôt possible.
Sa declaration du 27 février 2023 avec Malek Khaldi durant « La Matinale » sur CHEMS FM , et relayée par B.N , dans l'article de S.G ,publié le 27/02/2023 | 11:26 et dont le titre (TEXTO) :'Bassem Trifi : des juges subissent de grandes pressions de la part du pouvoir politique'
Bassem Trifi a indiqué (TEXTO de l'article de B.N) « Des juges d'instruction chargés de dossiers épineux, sensibles et liés à la politique ont affirmé à des avocats qu'ils subissaient de grandes pressions de la part du pouvoir politique.>>.
QUESTION : doit il etre poursuivi?.
FAIT N°2
Le communiqué conjoint signé par la ligue TRIFIENNE et autres 'associations' publié le 25 Fevrier 2023 ,et dont le titre TEXTO du site de la ligue:
'Communiqué conjoint: La Tunise ne sera pas fasciste comme le veut le Président de la République'
(Donc d'après le communiqué le PRESIDENT veut UNE TUNISIE FASCSTE!!!!)
QUESTION : Les signataires du communiqué doivent ils pousuivis?.
AFFAIRE N°3
'Bassem Trifi refuse d'être auditionné par la brigade nationale de lutte contre le terrorisme'
(A titre de renseignement) Article de B.N du 28/04/2023 | 08:23
Question : Un avocat pourrait il refuser une demande d'audition, A TITRE DE RENSEIGNEMENT (ALA SABIL AL ISTERCHED), et non en tant que témoin ou suspect auprés d'une brigade de lutte contre le terrorisme qui exerce sous l'ordre du parquet.
LES REPONSES DANS UNE SEMAINE, UN MOIS , OU UN AN .
Merci les traîtres, les vendus, les corrompus, les Nahdhaouis et les autres
Il n'y avait aucune erreur sur leur compte.
Ne nous voilons pas la face et appelons un chat, un chat.
Nous savons tous, pour qui bossent, ces inquantifiables façades qui n'existent que dans les bananas républic, et par qui ils sont financés. !!!
Pour se rendre utiles et justifier leur existence, ils pourraient peut-être essayer d'utiliser leur notoriété pour atténuer un massacre de masse, qui perdure depuis plus de neuf mois, se passant, pas vraiment très loin de chez nous.
A+
Je retiens plus la dernière hypothèse, car les associations tunisiennes connaissent bien cette vipère de Ben Sedrine et ses abus contre l'état et les Tunisiens quand ses amis se sont emparés du pouvoir, au nom de la pseudo révolution.
ici terre de islam.
Je pense que Nizar Bahloul n'est pas du côté de nos gouvernants actuels et qu'il est impartial dans le jugement de ce dossier. Lisez donc sa rubrique parue hier dans Business news et vous aurez une petite idée de ce que madame Ben Sendrine a ou aurait fait à la Tunisie ( laissons la justice trancher).
Et trêves de balivernes, ce n'est pas parce qu'on était contre les "Ben Ali" qu'on devrait se permettre tous les écarts. Que ces organisations sachent que même Ben Sendrine est justiciable.
A-t-elle rameutée sa meute avant son arrestation ?
Que savent ces organisations sur le fond de l'affaire ?
Quand le parquet présentera l'acte d'accusation, Madame Ben .S , et toutes ses organisations auront l'occasion de présenter la preuve du contraire s'ils pourraient ? C'est à ce moment là et pas avant qu'ils pourront se permettre de( crier au loup) . Laissons la justice faire son travail sans intimidation.
des voleus dans un meme sac
je noircis les casiers N3 des des moins connus.
le laisse aboyer les inconnus ....
qui suis-je ?
A la vue de la liste des signataires qui désapprouvent son incarcération, on est en droit de savoir qui dit vrai et qui dit faux sur le sujet.
Et combien de camions a t on lui envoyé pour l'arreter. Peut etre au nombre de camions qu'elle avait envoyé pour prendre les archives du palais présidentiel.
Et il y a des IDEO-politiciens qui dénoncent son incarcération. Mais combien ils sont IDEO.
Ou les organisations contre le système ?
Cependant, et quels que seraient les mérites et les trajectoires, cette dame semble avoir commis des fautes, des manquements dont il n'est pas sur que ce ne soient pas des délits, voire des crimes.
Faux en écriture publique pour avoir rédigé trois versions d'un rapport sans l'aval, et même contre selon la plaignante, d'une instance qui devait veiller à rétablir la Vérité sinon la dignité.
Recevoir une partie en conflit, et valoriser sa version des faits contre l'Etat, sans en aviser les autres parties ni ses collègues de cette institution dont à la charge en qualité de présidente c'est avoir choisi délibérément son parti en outrepassant ses prérogatives, et sans respect pour le mandat qui lui a été confié .....
Alors, bien sûr, certains viennent a6 son secours et c'est naturel.
Il.serait plus juste et digne de ces organisations de laisser les juges et les enquêteurs faire leur travail.
Respecter la vérité des faits, pas nous avancer des déclarations de principes dont chacun sait que bien souvent ne résistent pas à l'épreuve des faits.
Donc, madame Ben Sedrine a des droits, celui de se défendre, d'être assistée dans cette tâche, l'Etat aussi qui devait débourser des milliards à l'homme font madame à pris le parti de son.plein gré et seule.
Le tribunal tranchera.
Ou alors, il y aurait plusieurs types de justice, et selon le statut, la fonction du justiciable, on traitera.
Des missions aussi importantes et aussi graves pour l'état, ils s'attendent à quoi. Un jour ou l'autre ils vont être jugé dans tous les cas.
C'est un Etat (la Tunisie) avec toutes ces institutions, l'avenir de tout un peuple, ce n'est pas "rizg elwalid"jouet
Car à un certain moment, il y aura plus de gens en prison que de gens en "liberté" ... provisoire !!!