J'espère qu'ils le regrettent actuellement .
Un grand Monsieur.
Condoléances a sa femme, ses filles et sa famille politique .
Ahmed Brahim ancien secrétaire général d’El Massar et ancien député vient de décéder ce jeudi 14 avril 2016. Paix à son âme !
Né le 14 juin 1946 à Zarzis, a été premier secrétaire du mouvement Ettajdid et a été le candidat de son mouvement à l'élection présidentielle tunisienne de 2009, sous la bannière de l'Initiative nationale pour la démocratie et le progrès (INDP), d’après sa biographie officielle.
Professeur de français à l'université de Tunis I à la retraite, spécialiste de linguistique comparée, il a été brièvement ministre de l'Enseignement supérieur dans le gouvernement de transition formé par Mohamed Ghannouchi en 2011.
Au milieu des années 1960, il a adhéré au Parti communiste tunisien (PCT), dont il est élu membre du comité central en 1981 puis membre du bureau politique en 1987.
En 1993, au dixième congrès du PCT, il figure parmi les fondateurs du mouvement Ettajdid, rassemblement de militants progressistes aux orientations intellectuelles et politiques diverses.
En vue de l'élection présidentielle de 2009, il a été officiellement investi candidat le 22 mars 2009. Il a affirmé alors s'engager « dans une véritable compétition pour s'opposer fermement, d'égal à égal, au candidat du pouvoir ». Au terme du scrutin, il arrive finalement en dernière position avec 1,57 % des suffrages exprimés.
Il a été élu membre de l'Assemblée Nationale Constituante dans la circonscription de Tunis 2. Le 1er avril 2012, il a pris la tête d'un nouveau parti, la Voie démocratique et sociale, dans lequel le mouvement Ettajdid est intégré.
Ahmed Brahim s’est dit favorable à l'émergence d'un « État démocratique moderne et laïque », exige une réforme « radicale » du système électoral, réclame également la libération de « tous ceux qui ont été jugés pour leurs opinions ».
Toute l’équipe de notre journal est attristée par cette terrible nouvelle et présente ses sincères condoléances à la famille Brahim et à toute la grande famille d’El Massar. Ce décès est une perte pour la Tunisie.
Ahmed Brahim ancien secrétaire général d’El Massar et ancien député vient de décéder ce jeudi 14 avril 2016. Paix à son âme !
Né le 14 juin 1946 à Zarzis, a été premier secrétaire du mouvement Ettajdid et a été le candidat de son mouvement à l'élection présidentielle tunisienne de 2009, sous la bannière de l'Initiative nationale pour la démocratie et le progrès (INDP), d’après sa biographie officielle.
Professeur de français à l'université de Tunis I à la retraite, spécialiste de linguistique comparée, il a été brièvement ministre de l'Enseignement supérieur dans le gouvernement de transition formé par Mohamed Ghannouchi en 2011.
Au milieu des années 1960, il a adhéré au Parti communiste tunisien (PCT), dont il est élu membre du comité central en 1981 puis membre du bureau politique en 1987.
En 1993, au dixième congrès du PCT, il figure parmi les fondateurs du mouvement Ettajdid, rassemblement de militants progressistes aux orientations intellectuelles et politiques diverses.
En vue de l'élection présidentielle de 2009, il a été officiellement investi candidat le 22 mars 2009. Il a affirmé alors s'engager « dans une véritable compétition pour s'opposer fermement, d'égal à égal, au candidat du pouvoir ». Au terme du scrutin, il arrive finalement en dernière position avec 1,57 % des suffrages exprimés.
Il a été élu membre de l'Assemblée Nationale Constituante dans la circonscription de Tunis 2. Le 1er avril 2012, il a pris la tête d'un nouveau parti, la Voie démocratique et sociale, dans lequel le mouvement Ettajdid est intégré.
Ahmed Brahim s’est dit favorable à l'émergence d'un « État démocratique moderne et laïque », exige une réforme « radicale » du système électoral, réclame également la libération de « tous ceux qui ont été jugés pour leurs opinions ».
Toute l’équipe de notre journal est attristée par cette terrible nouvelle et présente ses sincères condoléances à la famille Brahim et à toute la grande famille d’El Massar. Ce décès est une perte pour la Tunisie.