
Le sujet de l’examen de dissertation du concours de fin d'études de l'enseignement de base (9ème) a fait couler beaucoup d’encre ce jeudi 2 juillet 2020.
Le sujet parle en effet de la fonction publique et du problème que rencontrent les Tunisiens avec l’administration, en particulier celui de l’absence des fonctionnaires qui quittent leurs postes avant l’heure légale.
« Vous vous êtes rendus à une administration pour extraire un papier et vous avez constaté que certains fonctionnaires ont quitté leurs postes avant l’heure légale, sauf que votre frère a justifié cela par la pression subie au travail et par les problèmes rencontrés dans la vie courante. Vous n’étiez pas d’accord et vous avez évoqué les répercussions négatives d’un tel comportement proposant des solutions pour infirmer ces excuses justement. Ecrivez la discussion que vous avez eue en insistant sur les arguments que vous avez présenté pour convaincre votre frère de votre point de vue » dit le sujet.
Les internautes, qui ont été nombreux à poster l’examen, ont salué la pertinence du sujet et son utilité pour lutter contre la corruption et le relâchement constaté dans de nombreuses administrations tunisiennes et qui exaspère souvent les citoyens.
D’autres, en revanche, n’ont pas du tout apprécié. Sur la page « Fonctionnaire public tunisien » les premiers concernés dénoncent l’implication du ministère de l’Education nationale « qui contribue à leur dénigrement », eux qui sont devenus sujet de « moqueries ». Commentaire qui a aussi beaucoup fait rire les internautes.
M.B.Z
Wathika se traduit par document et non papier.
L auteur a plutôt pensé son texte en argot tunisien.
Souvent on firnt ,: mchit nkharrej fi warka.
1 - on voit leur photos d'avatar.
2 - c'est du gribouillage dégueulasse
Il existe des outils que tout journal en ligne se doit de posséder pour flouter toute une partie d'une image.
Mais le plus important cest de citer comment la Tunisie sest vue obligée de s'endetter, eternellement, auprès des banques mondiales afin de parvenir, mensuellement, les salaires de ces recrutés privilégiés à avoir un salaire, un logement ( neuf) et un un véhicule ( neuf ) le tout à Tunis.
En somme les députés de nahdha sont la cause de ces malheurs irreversibles pour la Tunisie.
Toutefois ces nahdha, députés et non députés, promettaient ces recrutements fictifs et catastriphiques depuis 2011 et que le petrole ( winoo pétrole ) allait soi-disant tout compenser, puisque les compensations, qui se chiffraient à des milluers de milliards, étaient déjà régularisées et servies aux menbres mafieux de la secte de nahdha.
Et pour les rendre, il tarde un peu.