
Le Journal Assabah a publié, dans sa une du jeudi 3 avril 2025, un avis qui n’a pas manqué de faire réagir les internautes.
Dans ce mot, le journal affirme qu’une source autorisée à la présidence de la République « a indiqué hier matin que la présidence avait demandé à contacter un responsable de Dar Assabah pour signaler une erreur dans la date de parution du journal d’hier. Au lieu d’indiquer le 3 Chawwal, le journal a été publié avec la date du 1er du même mois de l’an 1446 de l’Hégire ».
Le quotidien souligne que cette source a insisté sur l’importance d’une vérification rigoureuse et sur la nécessité de présenter des excuses aux lecteurs. « Chaque mot écrit et chaque signe imprimé doivent être scrupuleusement contrôlés. Une erreur de date, même anodine, pourrait induire les historiens en erreur et, avec le temps, devenir largement répandue bien que toujours fausse » a-t-il ajouté.
« Le journal Assabah, l’un des plus anciens de Tunisie, fait partie du patrimoine médiatique du pays. Le chef de l’État œuvre à son intégration rapide avec La Presse, afin de préserver ce pan de l’histoire nationale avec toute la rigueur nécessaire, tant dans la chronologie que dans le contenu » conclut Assabah.
Cette remarque a fait sourire des internautes qui ont estimé qu’il fallait être en proie à un ennui certain pour faire attention à ce genre de détails et leur accorder une telle importance.
M.B.Z

Combien de journalistes des circonstances de la dictature de Bourguiba et de Ben Ali, ont été virés vers la pauvreté, vers l'oublie et vers la nécessité humiliante. La nostalgie de leurs lecteurs ne les a aidés en rien du tout.
Nous disons en Tunisie au sujet de cette omission de la date de parution du journal Assabah:"ghalta fi Sourate Al-Massad ou Tabbèt yèdè Abi Lahab" en français:(une faute sans la moindre importance dans la Sourate au sujet du couple affreusement célèbre des Lahab, à l'image de notre couple Abbou).
Allah yostir Tounes.

