
Le président de la République, Kaïs Saïed a désigné, le 5 décembre 2021, par décret présidentiel, Ridha Gharsallaoui, en tant que consul de Tunisie à Paris.
Commissaire général de police de 1ère classe, Ridha Gharsallaoui, a été chargé de la direction du ministère de l’Intérieur, par Kaïs Saïed le 29 juillet 2021, soit quelques jours après les mesures exceptionnelles du 25-juillet. Il cède le poste à Ridha Charfeddine, désigné ministre de l’Intérieur dès l’installation du gouvernement Bouden.
Ridha Gharsallaoui a intégré la direction générale de la Sécurité du président de la République et des personnalités officielles en 1996 et a occupé plusieurs postes jusqu’à sa nomination en avril 2020 en tant que Conseiller auprès du président de la République chargé de la Sécurité nationale. Il est spécialisé, entre autres, dans le renseignement anti-terroriste.

Le consul Ridha Gharsallaoui, qui ne faisait que de s'autoproclamer ancien ministre de l'intérieur pour avoir une certaine autorité, alors qu'après quelque recherche il n'a été visiblement que chargé du ministère des affaire intérieur pendant à peine 2 mois. Cela est de l'abus de pouvoir. Il s'exprime avec énormément de vulgarité et d'arrogance.Il circulait au sein du consulat de maniere tres autoritaire comme ci nous étions dans un comissariat alors que nous somme de simple citoyen tunisien qui venont de loin pour remettre à jour nos documents.
Il m'a parlé de manière très désagréable et m'a fait sentir comme si ma demande était totalement insignifiante. Quand j'ai essayé de trouver une solution à ma requête et échanger avec lui pour comprendre, il n'a pas aimé et a appeler la sécurité pour me virer. De plus il ne s'exprime pas bien en français, ce qui remet en question sa compétence en tant que diplomate et représentant de la Tunisie.
C'est vraiment honteux d'en arriver la, la Tunisie ne peut pas se faire représenter par de tel énergumène. Honteux et très décu.
Ce sont des faits que j'atteste.
Par ailleurs, dire que le nouveau consul aurait pour tâche de surveiller les opposants, c'est une fable, une invention du même tonneau que celles coutumières des islamistes.
En fait d'opposants, quelques dizaines emmenés par un personnage sans épaisseur, Khlifi, qui voudrait se faire plus grand qu'il n'est.
Si ce tyoe était si attaché aux principes démocratiques, à la probité, il aurait dû s'en faire le défenseur lorsque Ennahdha et ses fantassins aujourd'hui pour partie en taule ou recherchés, faisaient régner un climat de violence, machiste et mentaient au pays.
Surtout, pourquoi toutes ces belles âmes ne disaient mot lorsque l'argent du pays était volé, l'économie massacrée et la terreur répandue qu'une justice soumise refusait de voir.
Alors, Saied ne vous lachera pas.
Nous, non plus.
Les menteurs, voleurs, amis et ordonnateurs de la terreur auront vécu dix ans dans une totale toute-puissance. Cette séquence est forclose.
Kais Saied craint les activités des opposants en France et veut les combattre avec les méthodes de l'état policier.
Au lieu de nommer des personnes avec un profil économique pour attirer les investisseurs, il nomme un consul pour rédiger des stoufidas.
Il ne faut pas oublier qu'il fut confié à un certain Bouchlaka qui a brillé par ses initiatives et laissé un souvenir inoubliable auprès de toutes les nations.
Ceux qui ont affaire à celui de Pantin, auront reconnu la perte irremplaçable.
excellent choix ... pour se débarrasser des manifestants anti dictateur .
Que cela soit à Tunis et non dans leur région du sud-est dans laquelle ils avaient pourtant des emplois avant 2011 et la possibilité d'y etre recrutés même après 2011, puisqu'il s'agit de toutes les façons de recrutements fictifs et pour la forme et ce rien que pour le salaire et le avantages "payés" par le FMI

