Des publications largement relayées sur les réseaux sociaux affirment que le pôle judiciaire économique et financier en Tunisie aurait décidé de suspendre les pensions des anciens présidents Fouad Mebazaa, Mohamed Ennaceur et Moncef Marzouki. Selon le contenu de ces rumeurs, cette décision s’appuierait sur une interprétation de la Constitution, laquelle limiterait l’attribution de pensions aux seuls présidents élus directement par le peuple.
Après vérification, il apparaît qu’aucune déclaration officielle n’a été publiée par les institutions compétentes. Ni le ministère de la Justice, ni le pôle judiciaire économique et financier, ni les médias crédibles en Tunisie n’ont mentionné une telle mesure. Cette absence de confirmation indique clairement qu’il s’agit d’une rumeur infondée.
Par ailleurs, la prétendue compétence du pôle judiciaire économique et financier dans cette affaire est erronée. Ce pôle est chargé d’enquêter sur les crimes économiques et financiers, tels que la corruption et le blanchiment d’argent, et n’a aucun pouvoir pour décider de la suspension des pensions des anciens présidents. Une telle décision relèverait exclusivement des autorités administratives ou législatives compétentes, comme la présidence de la République ou l’Assemblée des représentants du peuple.
S’agissant des pensions des anciens présidents, elles sont encadrées par des lois adoptées à différentes périodes. Fouad Mebazaa, qui a assuré l’intérim de la présidence en 2011, bénéficie de dispositions légales spécifiques à cette période. Mohamed Ennaceur, également président par intérim après le décès de Béji Caïd Essebsi, est soumis à des règles distinctes des mandats présidentiels ordinaires. Quant à Moncef Marzouki, élu par l’Assemblée constituante en 2011, il bénéficie des dispositions en vigueur à l’époque. L’idée que sa pension serait illégale repose sur une opinion non étayée par une quelconque décision judiciaire.
En conclusion, cette information est infondée et relève de la désinformation.
R.A.
Le pouvoir n' est pas donné a quiconque les élections ne pourra pas garantir un dirigeant valable pour guider un état convenablement au contraire dès fois certains élus sont à L origine de la disparition de L '?tat qu ils gèrent par manque de sagesse et L absence des conseillers à la hauteur et surtout lorsque qu il s agit D une personnalité assoiffée de pouvoir qui préfère son intérêt personnel que L intérêt de son peuple mais ce n' est pas chez certains présidents comme Ben Ali qui avait désisté du pouvoir volontaire pour sauver son honneur en laissons un histoire bien propre.Rarement ou un président se retire du pouvoir volontairement et surtout s il juge en soi même qu il pourra être L origine de la disparition de L '?tat de L existence.Par mes respects le président Kais Sayed a intérêt s approcher des anciens personnalités D état pour qu ils L orienter afin qu il ne commis D erreur involontaire ou par ignorance les fausses malentendus existent entre Monsef Merzougui et lui pourront influer négativement sur la bonne gérance de L état .Nos regrets D avoir un '?tat comme la Tunisie est dans une situation en marche arrière ces derniers années un '?tat qui été mieux classé malgré le peu de ressources avec les bonnes relations avec le pays situé à levé du soleil attention mieux D éviter toutes genre de conflit avec le peuple Libyens ou les Tunisiens sont les mieux favorisés dans l'emploi la seul pays où le peuple et ses dirigeants qui support les Tunisiens je me demande pourquoi la création f s conflits territoriaux étant donné les Tunisiens sont les mieux traiter sur le sol Tunisiens et surtout quant L amiral Haftar dominera le pouvoir a cent pour cent à c moment pas de problème ni avec lui ni avec son fils .
Une eau souillée, pleine de bactérie, engendre à terme des maladies graves...
Ces gens ne doivent plus rien toucher.
Il ne faut pas oublier que K.S. a hérité d'une situation catastrophique laissée par Bien Ali et aggravée par la secte islamiste en un temps éclair. Il ne faut pas désespérer, tout passe et ne restent que les traces.
Des ignorants de "Guèfla etsir".
Allah yosrir Tounes.
Il me semblait, qu'à un moment donné, du fait de ses inquantifiables délations, pour la plupart, faites, à partir de l'étranger, il avait été question de lui suspendre le versement de sa "rente" !
Vérifiez bien, je crois qu'il ne touche plus rien.
Rassurez-moi !
Cordialement