
Le candidat potentiel à la présidentielle d’octobre, Imed Daïmi, a réagi, lundi 19 août 2024, au jugement prononcé par Tribunal administratif qui a rejeté aujourd’hui, pour vice de forme, son recours concernant la décision de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
« Aucun responsable n’a le courage ni la crédibilité de nous dire publiquement qu’il s’agit d’instructions politiques. Aucun n’a le courage de nous dire qu’on perd notre temps et que nos candidatures n’auraient jamais été retenues », a déclaré Imed Daïmi dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux.
Il a affirmé qu’il poursuivra sa bataille légale jusqu’à en épuiser tous les recours, appelant ses soutiens et les volontaires à ne pas se décourager et poursuivre leurs actions pour éclairer les citoyens et « diffuser l’espoir en attendant le lancement de la campagne électorale ».
Le Tribunal administratif a rendu, aujourd’hui, le prononcé des jugements pour les deux derniers recours, sur un total de sept recours, déposés dans le cadre du contentieux des candidatures à l'élection présidentielle, et ont statué sur leur rejet. Les deux jugements en question concernent Imed Daïmi et Bechir Aouani.
Le tribunal a également indiqué que la première phase du contentieux électoral s'est achevée par le rejet de tous les recours, soulignant qu'il avait commencé, depuis dimanche 18 août 2024, à communiquer aux parties des copies des jugements établis en vue du lancement de la deuxième phase du contentieux devant l'assemblée plénière juridictionnelle, qui s'est engagée à examiner en appel les recours susmentionnés.
L’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) a déclaré, pour sa part, que tous les recours enregistrés ont été rejetés en première instance, soit quatre rejets des recours sur la forme et trois rejets des recours sur le fond.
La même source a également affirmé que le Tribunal administratif, avec son autorité pour enquêter sur le litige électoral, a autorisé les magistrats à se rendre dans les bureaux de l’Isie pour examiner et calculer les parrainages des citoyens rejetés. Le tribunal a, par conséquent, vérifié la validité des motifs adoptés par l’instance électorale pour rejeter les parrainages, et a conclu que le travail de l’Isie à cet égard était dans les règles.
M.B.Z
Les Tunisiens ne supportent plus qu'on parle des Nahdhaouïs et de leur suite.
Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA
Tu penses que ça n'arrive toujours qu'aux autres?
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Qu'il ait un milligramme de courage pour faire face à la justice de la Tunisie.
Mais comme j'ai vu ,auparavant, la photo de l'article .UNE TETE D'UN GRAND COMEDIEN INTERNATIONAL.
SVP B.N une recommandation : ne publiez plus des articles sur des FUYARDS DE LA JUSTICE. Par respect à la TUNISIE ET AUX TUNISIENS.

