Communiqués
La CONECT, la CGTT et la SYNAGRI appellent à la liberté syndicale en Tunisie

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Les Organisations syndicales ouvrières et patronales réunies le 08 janvier 2014 à l’occasion de la conférence organisée par la CGTT « Confédération Générale Tunisienne du Travail » sur la liberté syndicale en Tunisie :
- Rappellent leur attachement total aux principes du pluralisme syndical qu’elles considèrent comme un important acquis de la Tunisie Nouvelle permettant l’enrichissement de l’action syndicale et d’éviter la marginalisation et l’exclusion
- Insistent sur la nécessité de prendre des mesures urgentes d’ordre juridique et pratique visant la consolidation du pluralisme syndical et l’association effective de l’ensemble des organisations syndicales aux concertations, négociations collectives, le dialogue et le contrat social notamment.
- Lancent un appel au Gouvernement et à toutes les parties concernées pour la consécration d’une approche de consensus autour des actions et initiatives à caractère économique et social et la fixation de critères objectifs et adaptés concernant la représentativité en se basant sur l’expertise du BIT et s’inspirant des expériences d’autres pays.
- Insistent sur la nécessité d’assurer le respect total de la liberté syndicale et d’éliminer tous les obstacles relatifs à la participation de l’ensemble des organisations syndicales et patronales existantes sans exclusion aucune aux concertations et décisions relatives à leurs domaines d’intervention et de bénéficier des mêmes conditions et dispositions de financement sans discrimination aucune entre les organisations concernées
- Expriment leur rejet total du contrat social signé en janvier 2013 dans des conditions confuses entre deux parties uniquement et insistent sur la nécessité d’élaborer un nouveau pacte social en étroite concertation entre toutes les parties concernées dans le cadre d’un consensus général.
Elles considèrent que l’inclusion dans la nouvelle constitution du contrat social dans sa forme actuelle vise à marginaliser et exclure les autres parties concernées.
Une telle procédure se traduirait par une grande rigidité et constituerait un obstacle certain à la nécessité d’assurer l’adaptation continue du pacte social aux des exigences de la situation économique et sociale du pays et son évolution.
- Rappellent leur attachement total aux principes du pluralisme syndical qu’elles considèrent comme un important acquis de la Tunisie Nouvelle permettant l’enrichissement de l’action syndicale et d’éviter la marginalisation et l’exclusion
- Insistent sur la nécessité de prendre des mesures urgentes d’ordre juridique et pratique visant la consolidation du pluralisme syndical et l’association effective de l’ensemble des organisations syndicales aux concertations, négociations collectives, le dialogue et le contrat social notamment.
- Lancent un appel au Gouvernement et à toutes les parties concernées pour la consécration d’une approche de consensus autour des actions et initiatives à caractère économique et social et la fixation de critères objectifs et adaptés concernant la représentativité en se basant sur l’expertise du BIT et s’inspirant des expériences d’autres pays.
- Insistent sur la nécessité d’assurer le respect total de la liberté syndicale et d’éliminer tous les obstacles relatifs à la participation de l’ensemble des organisations syndicales et patronales existantes sans exclusion aucune aux concertations et décisions relatives à leurs domaines d’intervention et de bénéficier des mêmes conditions et dispositions de financement sans discrimination aucune entre les organisations concernées
- Expriment leur rejet total du contrat social signé en janvier 2013 dans des conditions confuses entre deux parties uniquement et insistent sur la nécessité d’élaborer un nouveau pacte social en étroite concertation entre toutes les parties concernées dans le cadre d’un consensus général.
Elles considèrent que l’inclusion dans la nouvelle constitution du contrat social dans sa forme actuelle vise à marginaliser et exclure les autres parties concernées.
Une telle procédure se traduirait par une grande rigidité et constituerait un obstacle certain à la nécessité d’assurer l’adaptation continue du pacte social aux des exigences de la situation économique et sociale du pays et son évolution.
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