
Il s’appelle Mosbah Helali, il était PDG de la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede) et il a été limogé la semaine dernière. Quelques jours auparavant, il a été reçu par le président de la République qui l’a, visiblement, réprimandé à cause des multiples coupures d’eau observées ces derniers mois un peu partout sur le territoire de la République.
Le limogeage de Mosbah Helali interpelle, bien qu’il ne soit ni le premier, ni le dernier.
Ce monsieur a travaillé trente ans à la Sonede, il est reconnu en tant qu'expert international en matière d'eau et il a collaboré à plusieurs reprises avec des organisations internationales telles que la Banque mondiale. En un mot, ce monsieur est une haute compétence. Une grosse pointure formée par l’État, pendant des décennies, et dont le pays a plus que besoin. Combien d’experts comme lui avons-nous ? Très peu.
En dépit de son pédigrée, il a été limogé par un simple communiqué présidentiel humiliant publié sur Facebook.
Quelles sont les compétences de celui qui l’a limogé ? Incomparables. L’enseignant de droit Kaïs Saïed, devenu président puis putschiste, n’a même pas achevé son parcours universitaire. On ne lui connait pas de publication académique, ni de recherche approfondie en quoi que ce soit. Depuis son élection, il ne fait que répéter les mêmes phrases dans un arabe littéraire prosaïque sans profondeur aucune. Il n’a rien réalisé et n’a rien accompli, bien qu’il se soit arrogé les pleins pouvoirs.
En limogeant Mosbah Helali, Kaïs Saïed humilie publiquement un expert beaucoup plus grand que lui et commet une grosse injustice. Il n’est plus à une injustice près soit dit en passant. Il envoie surtout un très mauvais signal à toutes les hautes compétences de l’administration tunisienne.
Concernant l’injustice, Kaïs Saïed rend responsable le PDG de la Sonede des multiples coupures d’eau. Comme Business News l’a immédiatement relevé, le PDG de la Sonede ne saurait être responsable de ces coupures. En aucun cas.
Si le pays souffre de coupures d’eau, c’est à cause de plusieurs facteurs. Le premier de ces facteurs est la sècheresse qui a poussé le ministère de l'Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche à annoncer une batterie de décisions et de mesures relatives à la mise en place d’un système de roulement conjoncturel et une interdiction temporelle de certains usages de l’eau.
Dans son communiqué daté de vendredi 31 mars 2023, le ministère a interdit l’utilisation de l’eau potable, distribuée par la Sonede, pour l’agriculture, l’irrigation de zones vertes, pour le nettoyage des rues et des endroits publics et pour le lavage des véhicules.
Deuxième facteur, la capacité de nos barrages très mal entretenus. Troisième facteur, les déperditions d’eau. Les experts estiment que la Tunisie perd près de 40% de ses eaux à cause notamment des fuites dans les canalisations vétustes et des barrages mal entretenus.
Normalement, Kaïs Saïed devrait limoger le ministre de l’Agriculture et non le PDG de la Sonede. Sauf qu’il a déjà limogé le ministre de l’Agriculture le 30 janvier dernier et il n’a pas encore le courage nécessaire pour limoger son successeur, issu de l’armée. Cela dit, même le limogeage du ministre aurait été injuste, puisqu’on parle de problèmes dont un ministre ne saurait être coupable.
Le président de la République voulait juste un coup d’éclat populiste et un bouc émissaire et c’est là la raison du limogeage du PDG de la Sonede. C’est comme pour dire à la population, ce n’est pas l’État qui est responsable des coupures d’eau, c’est le PDG. Et, naturellement, la populace applaudit.
Non, monsieur le président, le PDG de la Sonede n’est pas responsable des coupures d’eau, ni le ministre que vous avez limogé en janvier, ni l’actuel ministre. Les responsables des coupures d’eau sont la sècheresse naturelle (décidée par Allah que vous évoquez dans tous vos discours), le réchauffement climatique et la défaillance de l’État que vous dirigez tout seul depuis deux ans !
C’est une nouvelle habitude qui s’installe chez le président de la République, celle de limoger à tout va de hauts fonctionnaires. Pour ces sept premiers mois de 2023, Kaïs Saïed a limogé une bonne vingtaine de hauts fonctionnaires dont sept ministres qu’il a lui-même nommés.
Après avoir accusé l’opposition de tous les maux et de tous les complots et jeté en prison ses adversaires politiques, Kaïs Saïed se tourne vers les fonctionnaires. Kaïs Saïed se cache maintenant derrière eux pour justifier l’échec patent de l’État dans tous les domaines.
Il est en train de casser un autre pilier de l’État, l’administration.
On pourrait écrire des livres sur l’administration tunisienne, ses bêtises, sa bureaucratie, ses fonctionnaires paresseux, son archaïsme, son anachronisme, sa lenteur, son manque d’efficacité, etc. Sauf qu’on se doit d’admettre qu’en dépit de tous ces défauts, cette même administration tunisienne a su faire marcher le pays pendant les multiples transitions de ces douze dernières années.
On se doit, également, d’admettre qu’il existe de très hautes compétences dans cette administration, parmi les milliers de fonctionnaires paresseux. C’est grâce à elles que le pays a toujours fonctionné et fonctionne encore.
Il y a les limogeages justifiés de fonctionnaires qui n’auraient jamais dû être là où ils étaient. Le plus éclatant est celui de Fatma Yaâcoubi, membre de la commission de conciliation pénale, qui a fait miroiter au chef de l’État que sa commission allait obtenir quelque trente billions de dinars d’un repenti. Rappelons, au passage, que c’est Kaïs Saïed lui-même qui a nommé Mme Yaâcoubi.
Et il y a les limogeages injustes comme celui de Mosbah Helali. En limogeant ce type de personnes, Kaïs Saïed prive l’État de leur expertise et de leur expérience. Il les jette dans les bras du privé ou, pire, il les pousse à l’exil pour une carrière internationale qu’ils regrettent de ne pas avoir embrassé dès leur sortie d’école.
Dans la foulée, il envoie un très mauvais signal aux autres hautes compétences de l’État. Il leur retire tout esprit d’initiative, il leur fait peur, il leur casse toute volonté de bien faire. Il les pousse à réfléchir à quitter, à leur tour, l’État avant qu’ils n’en soient limogés.
Kaïs Saïed dit aux hautes compétences qui ont servi et servent l’État, que cet État est ingrat et qu’il peut humilier, voire jeter en prison, toute personne qui déplait au chef.
Cette stratégie des limogeages de personnes compétentes n’est pas nouvelle. Elle a commencé dès 2012 avec la sinistre troïka qui a humilié, à tout va, les anciens dirigeants qui ont occupé de hautes fonctions sous l’ancien régime. On a rapidement vu le résultat, la Tunisie n’a plus réussi à égaler ses chiffres de 2010.
Kaïs Saïed a beau dire qu’il est en train d’apporter du sang neuf et qu’il entend tourner la page de la noire décennie, il applique exactement la même stratégie. Il camoufle ses échecs en pointant du doigt des boucs émissaires qui n’ont fait que servir l’État du mieux qu’ils pouvaient.
À force de limogeages injustes, Kaïs Saïed ne va laisser dans l’État que des fonctionnaires incompétents et limités intellectuellement à l’instar de son gouverneur de Ben Arous ou encore de tous ces bureaucrates qu’on rencontre tous les jours quand on a le malheur d’affronter l’administration.
Kaïs Saïed partira un jour, c’est inévitable, c’est le sort de tous les présidents. Après lui, on va faire face à un vide incommensurable dans l’administration publique et, donc, de l’État. Le gap s’élargira encore davantage entre le public inefficace et le privé performant. Puisque le public n’appréciera pas ce gap, il fera tout pour tirer le privé encore plus vers le bas. Naturellement, dans la foulée, le gap s’élargira encore davantage entre la Tunisie et les autres pays.
Un État qui se respecte doit, en tout premier lieu, respecter ceux qui le servent. C’est comme ça que ça se passe dans les pays développés et les démocraties. Quand, par malheur, un fonctionnaire commet une faute, il est invité à démissionner discrètement et sa dignité est obligatoirement préservée. Jamais, au grand jamais, on n’humilie publiquement les serviteurs de l’État. Ceux qui procèdent à ce genre d’exercice humiliant sont soit incompétents, soit complexés. Ou les deux.
NB : L’ancien Premier ministre Rachid Sfar est décédé jeudi 20 juillet. Lors de ses funérailles, aucun officiel n’était présent. Par ailleurs, aucun hommage ne lui a été rendu, même pas via un communiqué publié sur l'une des pages officielles de l’État.



Vous n'avez pas le c'?ur à fêter la République ? A fêter l'ascension vertigineuse ? Je pense qu'il faut chercher soi-même les cadeaux et arrêter d'être sage et de montrer patte blanche pour avoir des cadeaux. Vous avez compris que la République ne sera plus fêtée?et que bientôt ça sera le califat? C'est vrai que le calife se trompe sur les versets coraniques et qu'il en rajoute. Mais ne vous inquiétez pas, il est devin, il y aura une année où il va récolter et vous presser plus qu'il ne le fait actuellement. C'est vache, non ? Il vous prend pour les vaches grasses de Joseph ? Non, il est désintéressé. Mais n'oubliez pas votre chanson sur les vaches qui dit " nari nari 3la ejlassi ba3 elbagra ou 5alla el3assi". Ne me dites pas qu'il les a vendues à Meloni. Non, il préfère mourir de faim que tendre la main aux étrangers pour garder les vaches.
Allez, gardez la banane, oui celle à 5 dinars le kilos. Moi je vais faire la queue pour le sucre, je dois faire un gâteau d'anniversaire.
Bonne fête les tunisiens.
Cependant, je pose une question à si Bahloul et je passe : la responsabilité relative à la perte d'eau ( fuite ) estimée à 30 % un chiffre relativement haut , incombe à qui
Pourquoi le PDG de SONEDE a été limogé, face à un bilan positif de son boulot ? Il n'y a pas une grosse dette publique résultant de SONEDE, à ma connaissance.
La dette publique résultant de STEG, par contre, on peut l'analyser : 8.000.000 TND, dette étatique où le PDG n'est pas résponsable, 94.000 TND, dette des industriels - et ça on peut l'accepter au nom du développement du privé, mais ce qui n'est pas acceptable ce sont les 65.000.000 TND des dettes des clients résidentiels. Le PDG là est bien responsable de cette gestion désastreuse des dettes résidentiels, sauf s'il peut démontrer qu'il y a eu une volonté politique derrière ça, émanant du parlament ou du gouvernement.
De la même façon, les citoyens tunisiens ont le droit de savoir pourquoi le photovoltaïque a été toujours boycotté par la STEG, une entreprise publique qui n'a pas seulement démontré aucun signe d'amélioration, mais elle continue de saigner le pays avec ses boycotts et sa masse salariale démesurée, ce qui nous colle au sous-développement à perpétuité !!!
MacGyver n'est pas nécéssaire, Monsieur. Un minimum de rationalité et d'honnêteté intellectuelle vous seront suffisantes.
Elle compte également plein de racailles, de bras cassés, de fainéants et de corrompus à tous les étages de la société qui détruisent tout ce qu'ils trouvent sur leur passage et bloquent toute entreprise de développement à l'avenir.
En principe la solution aux problèmes de développement est l'affaire du peuple dans son ensemble; guidé et éclairé par une élite digne de ce nom.
D'où la question qui se pose avec acuité:
Est-ce qu'avec la culture et les mentalités qui prédominent depuis 2011 au sein de la société tunisienne, ce peuple, partant du simple ouvrier jusqu'au haut responsable à la tête de l'Etat, est en mesure de sortir du bourbier dans lequel il s'est enlisé ?
That's the question et à mon avis ce n'est pas possible pour le moment car ça sera une affaire de générations et ce, compte tenu du chaos culturel qui caractérise la présente population tunisienne.
Au bout de 6 ans a la tête d'une des plus grosses entreprises publiques, on ne demande plus une deuxième chance et on demande pas à être traité comme un cas social.
Soit tu as un bilan qui te défend et des projets pour l'avenir soit tu laisse la place a un autre.
Mais en Tunisie on te demandera de limoger un ministre qui est la depuis 6mois...
je n'ai jamais vu un seul pigiste parmi vous éclairer vos lecteurs sur les mutations qui s'opèrent dans le monde: Brics , le nouvel ordre mondial; la dédolarisation du monde , la nouvelle monnaie la nouvelle banque de développement dans le monde le deficit colossal des USA et ses conséquences pour le monde; les raisons de l'inflation,les taux d'inerets, les deficits de la balance de paiement, la dette extérieure, le deficiit budgétaires, la valeur de la monnaie la faiblesse du pouvoir d'achat quelles perspectives etc.... rien de tout ça c'est pourtant des sujeyts de business apparemment vous nous parlez de grands économistes hors pairs dites vous on ne les voit pas
tous vous etes omnibulés par KS des articles à répetition de la rhétorique et de la bavasse qui finissent par vous discréditer aux yeux de ceux qui un tant soit peu ont cru à un moment donné que vous etes des journalistes de valeur
mais comme vous etes payés juste pour dicréditer un homme pour ce qu'il est , ce qu'il fait et meme pour ce qu'il ne fait pas je vous comprends il faut bien vivre meme au détriment de sa conscience chez BN c'est du business
il est vrai qu'il ya des sujets d'actualité brulants pour le devenir du pays et du monde mais vos mandants ne vous paieraient pas pour toute reflexion intellectuelle portant sur ces sujets
ce n'est pas le citoyen averti responsable et conscient qui les interesse
le président d'un grand pays etait un cireur de bottes BN il n'a rien publié ni fait des recherches pourtant il conduit don pays avec abnégation
je suis un paysan ignard qui à force a fini par comprendre que votre journal n'est pas fait pour le genre de paysan que je suis
il est fait pour caresser dans le sens du poil vos maitres ceux qui vous payent à la pige et jubilent devant tant d'écrits sans valeur ni portée que vous nous présentez comme des grands incontournables SVP BN l'humlité est une vertu
de tout ça faut il en rire faut il en pleurer
j'espère que vous aurez l'honnetete intellectuelle de publier ce commentaire
ce dont je doute fort car la vérité n'est pas toujours bonne à dire
Répondez sincèrement à ces questions et vous pourrez ensuite émettre un avis sur BN. KS veut s'attaquer aux problèmes du monde sans chercher à explorer nos problèmes, bien évidemment à la lumière de ce qui se passe dans le monde. C'est le même tour de passe passe que vous essayez de nous faire. Les règles de la vie démocratique ont été dénaturées, il faut l'admettre car comme vous êtes capable de voir la beauté dans les choses, vous devez être capable d'apercevoir la laideur. S'attaquer à celui qui a biaisé la vie politique et le débat doit être prioritaire avant de reprendre le cours démocratique. Le citoyen averti responsable doit connaître ses priorités et protéger ses droits et libertés. Et rassurez vous, personne n'est à la solde de personne. Sauf les cireurs de chaussures peut-être. Alors, de grâce, évitez de détourner les regards sur les vraies problèmes en prétextant la réflexion et la beauté qu'on a du mal à voir malgré toute la bonne volonté.
LA DIAGONALE DU FOU
Ecrit par A4 - Tunis, le 16 Juillet 2023
Comme sur un banal échiquier
Où pions, tours et reines se côtoient
Il y a de quoi être inquiet
Quand un fou se prend pour le roi
Un fou instable qui s'agite
Qui s'excite à mort, se déchaîne
Ne connaissant pas de limites
Ne nous épargnant aucune peine
Un fou qui devient fou à lier
Qui se croît au dessus de tout
Pour occuper seul l'échiquier
Et être l'unique manitou
Un fou au regard arrogant
Prisonnier de sa diagonale
Qui voudrait bien en zigzagant
Nous cacher sa haine viscérale
Et le voilà qui se défoule
Qu'il écrase tout sur son chemin
Qu'il entre en transe, qu'il perd la boule
Qu'il s'en prend aux pions blancs et bruns
Et c'est la diagonale du fou
Qui s'allonge et qui s'étire
Sans barrière ni garde-fou
Pour atteindre le délire
C'est une diagonale immense
Qui se fracasse sur les bords
Qui ne connait aucun bon sens
Aucun regret, aucun remords
Une diagonale infernale
Où il n'y a que des cases noires
Où des tactiques prises pour géniales
Nous plongeront dans du brouillard
Mais à la tombée de la nuit
Notre fou se brisera le bec
Et on ne retiendra de lui
Que c'était le roi des échecs !
C'est la première fois que je n'ai aucune goutte d'eau chez moi même avec l'aide d'une motopompe....'?'?'?'?'
Le gouvernement Bouden a fait deux ans maintenant. C'est le gouvernement qui a duré le plus depuis 2011. Certains gouvernements de Ghannouchi n'ont duré qu'à peine deux mois.
N gouvernement qui dure est symbole de STABILITE et de COHERENCE dans son équipe,
PURGE:
Le Président Said devrait procéder à des coups de balais dans l'administration. Celle-ci regorge de bras cassés et de traîtres qui ont été nommés par Ghannouchi dans des postes de responsabilité, uniquement pour servir Ennahdha. Ces gens-là doivent être écartés pour les mettre hors-état de nuire.
Il est donc normal de constater durant les deux années de « 25 juillet », une stabilité dans la formation du gouvernement, et des limogeages visant des khouanjia, des incompétents et des 12,5 juillet, c'est-à-dire 25 juillet le jour et khouanji la nuit.
Je me limite à lire la chronique, émettre un avis, commenter suivant ce que j'estime, et ne reste qu'un avis respectifs aux autres.
Donc je constate, la tracée est respectée, c'est un droit néanmoins, et certainement qui différe de la mienne.
La subjectivité demeure, et même elle prend une tournure, que je qualifierais de grave, insultante même.
Je cite quelques passages de cette chronique, *(Il est en train de casser un autre pilier de l'?tat, l'administration)
**(En limogeant Mosbah Helali, Kaïs Saïed humilie publiquement un expert beaucoup plus GRAND que lui et commet une grosse injustice. Il n'est plus à une injustice près soit dit en passant. Il envoie surtout un très mauvais signal à toutes les hautes compétences de l'administration tunisienne.)
***('? force de limogeages injustes, Kaïs Saïed ne va laisser dans l'?tat que des fonctionnaires incompétents et limités intellectuellement à l'instar de son gouverneur de Ben Arous ou encore de tous ces bureaucrates qu'on rencontre tous les jours quand on a le malheur d'affronter l'administration.)
Et d'autres invectives, et mise en accusation évidente patente la capacité de KAIS SAÏED de pouvoir gouverner, une autre insulte qui s'ajoute aux autres précédentes, la POPULACE, après MANGEURS DE FOIN, et ceux qui ont perdus leurs dignité et leurs honneurs.
Ainsi sont traités les aficiadianos
Kais Saïed, peut s'en glorifier.
BN a bien pris une décision autre que bien beaucoup, de ces 70% qui faisaient toujours confiance à leur PUTSCHISTE !
DISONS QUE LA SUBJECTIVIT'? EST PARTAG'?E ! ! !
Il faut écrire en étant moins émotif l'ami, parce que là, ton texte il pique les yeux et on y comprend rien, y'a l'air que ce soit une sorte de longue complainte : ouinnnnn, pourquoi vous n'aimez pas notre sidi.
Toi qui n'est qu'un sujet soumis de sa majesté kais premier dit l'alien de Carthage, il serait temps de mûrir et de devenir un citoyen respectable ? Tu ne croit pas ?
Ps : ton pseudo te va à merveille.
Ce n'est pas de sa faute s'il ne pleut pas et si ies clients ne payent pas leurs factures, à commencer par l'etat.
Les travaux nécessaires coûtent cher, et face à la pénurie il faut fermer le robinet!
sonede, steg, TA .... sans concurrence.
that's the problem !!
Je propose aux pdg des autre entre pub de mettre les clés sou selle avant d'être humilier je sais que c'est trop sentimental mais quand on passe à côté des vraies solutions que reste t il
Un fonctionnaire BHIM... comme j'en discutais svec le colonel...
Vous voulez un conseil: CHANGER DE PEUPLE, AU LIEU DE CHANGER DE DIRIGEANTS.
Moi je n'irai pas jusqu'à vous dire de changer de métier, sic, c'est moi qui change de journal, allez...
Un détail qui a son importance : il semble que les factures de la Sonede soient largement impayées, ce qui n'arrange rien!