
Le congrès d’Ennahdha a été marqué par plusieurs absences, dont notamment celles du chef du gouvernement, Habib Essid et des premiers représentants des grandes organisations nationales, UTICA, UGTT, Ordre des avocats et LTDH, à savoir Wided Bouchamaoui, Houcine Abassi, Mohamed Fadhel Mahfoudh et Abdessattar Ben Moussa.
Autres absences de taille, celles de l’ancien président de la République, Moncef Marzouki hier le plus grand allié d’Ennahdha, ainsi que son cercle rapproché d’Irada réputés pour leur proximité avec le parti islamiste, à savoir Imed Daïmi et Salim Ben Hamidène, mais également Adnène Mansar et Tarek Kahlaoui.
Autres partis proches des islamistes qui ont brillé par l’absence de leurs premiers représentants, Ridha Belhadj de Hizb Ettahrir et Ryadh Chaïbi de Binaa.
Les absences ont également touché les partis dits de gauche dont notamment les premiers classés à l’ARP après le duo Nidaa-Ennahdha, à savoir Mohsen Marzouk, Hamma Hammami et Slim Riahi représentants d’Al Horra, du Front populaire et de l’Union patriotique libre. Slim Riahi a pourtant eu un tête-à-tête la semaine dernière avec Rached Ghannouchi.
Les absences touchent également des membres dirigeants d’Ennahdha et cela dénote vraisemblablement des conflits internes aigus au sein du parti. On relève notamment celles de Samir Dilou et Ameur Laârayedh.
R.B.H.
Commentaires (13)
Commenter@Frédo
eux qui ont brûlé vif un Tunisien
Congrès hors norme, min ayna lakom hatha
BCE, pas à sa place
BCE a la mémoire courte, en oubliant que Ghannouchi disait que Nida Tounès est plus dangereux pour la Tunisie que les salafistes.
RBH ya Nabbar !!!
Ce qui est clair dans ce congrès d'Ennahdha, c'est que l'intérêt s'est focalisé sur la présence du président de la République Béji Caïd Essebsi, pour tout le poids politique qu'il représente en tant que fondateur de Nidaa Tounes, qui dispose actuellement du pouvoir de nommer le premier ministre et de nommer le président du parlement (ARP).
Il se trouve "comme par hasard", que la présence du président Béji Caïd Essebsi, ne corresponde nullement à la présence de plusieurs personnalités politiques hostiles au caractère abusif, injuste et inéquitable, par lequel Béji Caïd Essebsi s'empara du pouvoir législatif et présidentiel à la fois. Ne fut-ce les circonstances spécialement délicates, en adéquation à la volonté des manipulateurs étrangers de la Tunisie, Mohsen Marzouk et Chafik Sarsar seraient aujourd'hui sous verrous, pour abus de confiance et trahison contre la transition démocratique de la Tunisie.
Donc, comme la présence du président Béji Caïd Essebsi est de grande importance pour Ennahdha, ce dernier doit se désister de beaucoup d'autres personnalités politiques, impossible à installer leurs fauteuils à côté du président Béji Caïd Essebsi. C'est un peu comme dans une cérémonie de mariage, aucun ne doit avoir un fauteuil plus beau et mieux installé que celui des mariés.
A ta place, j'aurais évoqué les grandes personnalités présentes, qui nous laissent bouche bée pour tout le respect dont jouit le parti d'Ennahdha même de ses propres opposants. Personnellement, je suis étonné de voir plus de représentants du premier rang de Nidaa Tounes, que ceux présents dans les multiples congrès de ce Nidaa Tounes lui-même.
Donc mon cher RBH, parle-nous de la partie remplie à 90% du verre. L'autre 10% de vide, est adaptée à toutes les circonstances de ce monde.
Y-a "Queque" chose !
La catastrophe si tous étaient présents
« BEN ALI DEGAGE » PEUPLE DE GUEUX ?
Dans le cas d'Enahdha, il s'agit de l'Islam, secte qui a vu les tribus les plus sanguinaires et les plus cruelles prendre les villes de la Mecque et de Médine au début du siècle car aidées par la technologie militaire de Londres et de son empire, et cela afin d'y établir un Vatican de l'Islam qui devait rependre son obscurantisme, sa pédophilie, son matérialisme odieux, son intolérance, et son sous-développement intellectuel à travers le monde.
Suite aux prises de ces deux villes qui furent réellement Saintes du temps du Prophète Mohamed, la tribu des Ibn Saoud et leurs Ikhwan sauvages, procédèrent a plus d'un million de décapitations et de mutilations de membres afin de donner l'exemple et de s'imposer.
Il s'agissait en effet d'une transaction en pétrodollars qui garantirait à toutes les générations descendantes de cette tribu d'animaux humains, y compris des princesses qui aujourd'hui vivent des vies homosexuelles à huis clos avec des domestiques d'Asie, une richesse incommensurable sur des siècles.
La version de l'Islam actuelle oscille entre décapiter des êtres humains machinalement pour des délits, et procéder à des orgies dans des Palais à Marbella tout en priant Allah de bénir les fesses blanches des prostituées de l'Europe de l'Est importées par des aéronefs aux frais de ces Etats bédouins dégoutants.
L'Islam tel que disséminé par les banques islamiques Saoudiennes et Qataris et leurs hauts cadres sionistes qui ont fait les plus grandes universités américaines comme Harvard, sera derrière une confrontation nucléaire entre des grandes puissances comme les Etats Unis et leurs sionisme aveugle puisé de la Bible et de ses psaumes arriérés, et des pays aux peuples humbles mais puissants intellectuellement comme la Russie et la Chine.
L'Islam est aujourd'hui un mouvement à combattre.
Les Tunisiens et tous les êtres humains dignes doivent boycotter cette religion au profit d'une laïcité et surtout d'un Nationalisme puissant et aveugle.
Car après tout la Nation moderne de Bourguiba et de Ben Ali était elle aussi un miracle Divin.
Mais encore fallait-il que les Tunisiens, peuple bas, stupide, et colonisé, le réalise.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Mise à jour de la liste des absents
Mais est ce le plus important de cet événement ??!!