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Le projet de loi sur la confiscation civile sera soumis à la présidence du gouvernement, le lundi 18 avril
17/04/2016 | 11:40
1 min
Le projet de loi sur la confiscation civile sera soumis à la présidence du gouvernement, le lundi 18 avril

Le projet de loi sur la confiscation civile sera soumis lundi 18 avril à la présidence du gouvernement, a affirmé, hier, samedi 16 avril 2016, le ministre des Domaines de l'Etat et des Affaires foncières, Hatem El Euchi.

 

« Ce projet sera conforme aux standards internationaux et viendra conforter les efforts déployés pour récupérer les fonds spoliés et placés à l'étranger », a-t-il expliqué. Hatem El Euchi intervenait au cours d'une rencontre organisée à Tunis par l'association de l'initiative nationale de lutte contre la corruption et la restitution des fonds spoliés.

 

« Ce projet de loi remplacera le décret-loi relatif à la confiscation qui a montré ses limites au niveau de l'application », a relevé le ministre. Selon lui, la lutte contre la corruption « revêt désormais une valeur constitutionnelle », rappelant que la Constitution de 2014 a consacré la lutte contre la corruption et les principes de la gouvernance, de la transparence et de l'égalité. Le ministre des Domaines de l'Etat a mis en évidence le rôle de la société civile, en tant que force de pression sur certaines parties étrangères et en tant qu'élément de soutien au gouvernement, dans la lutte contre la corruption et la restitution des fonds spoliés.

 

S.H (Avec TAP)

 

17/04/2016 | 11:40
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Commentaires (1)

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The Mirror
| 17-04-2016 11:59
Les documents de Panama Papers sont clairs, nets et précis : Mohsen Marzouk, Rached Ghanouchi, Lotfi Zitoun, Rafik Abdessalem et Samir Abdelli, pour ne citer que ceux-là, figurent bien dans la liste fournie par Panama Papers sur les malfrats tunisiens.
La question de tout citoyen tunisien est simple : quand l'Etat tunisien va-t-il enfin, assumer ses devoirs envers son peuple, en examinant les dossiers des inculpés susmentionnés. Qu'ils soient jugés afin que la vérité éclate, afin que le tunisien retrouve confiance en son pays, afin que d'autres malfrats tirent la leçon, afin que moi, citoyen tunisien, je recouvre ma dignité bafouée par Mohsen Marzouk, Rached Ghanouchi, Lotfi Zitoun, Rafik Abdessalem et Samir Abdelli. Pour le moment, le silence du Gouvernement est un silence complice, jusqu'à preuve du contraire.