
Le porte-parole de la présidence de la République, Moez Sinaoui, est revenu le 31 décembre 2015, dans une interview accordée à RTCI, sur la récente visite du président de la République, Béji Caïd Essebsi en Arabie Saoudite, les 22 et 23 décembre courant.
Il a précisé que cette visite s’inscrit dans le cadre de la relance et du redéploiement de la politique étrangère de la Tunisie soulignant que c’est la première visite politique qui a lieu en Arabie Saoudite depuis 27 ans et qu’il s’agit d’une première étape dans la reprise des relations bilatérales, qui n’étaient pas au beau fixe.
Moez Sinaoui a précisé que cette visite n’est pas une visite protocolaire ou de courtoisie et que les accords de coopération qui ont été signés entre les deux pays seront suivis par des mesures effectives. Le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel Jbir accompagné d’une délégation, est d’ailleurs arrivé en Tunisie pour suivre l’évolution des mesures décidées par l’Arabie Saoudite pour soutenir la Tunisie dans plusieurs domaines et étudier les opportunités d’investissement.
Le porte-parole de la présidence a évoqué la coalition islamique contre le terrorisme en précisant que la Tunisie, qui est membre de la coalition internationale, coopèrera en matière d’échange de renseignements et sur le plan logistique mais n’interviendra pas militairement en dehors de ses frontières. Il a ajouté que le président de la République tente de rétablir les constantes de la politique étrangère en Tunisie qui a toujours su, du temps de Bourguiba, entretenir les meilleures relations avec tous les pays amis.
Quant à la présence de l’ancien président de la République déchu, Zine El Abidine Ben Ali, sur le sol saoudien et si le sujet a été évoqué lors de la visite de Béji Caïd Essebsi, Moez Sinaoui a simplement rétorqué que cela n’était pas à l’ordre du jour.
M.B.Z
Commentaires (8)
Commenter@Nabila benGhachem
@CHDOULA..
@Sadoc Knani
Balivernes...
N'importe quoi
À partir du moment où nous avons signé le pacte de coalition présitée par l'AS toutes les portes se sont ouvertes comme par hasard.
En plus il nous fait rigoler Ce débutant en langue de bois en affirmant que le sujet "Bein Ali" n'était pas à l'ordre du jour.
Les Wahabites et leur amitié
Tout le monde sait qu'elle est le père du terrorisme et veut le hegonisme sur les états où vivent des musulmans-ainsi comme Erdogan.
Il n'y a aucune amitié de la côté de l'Arabie saoudite - il s'agit de la volntée de pouvoir et d'influence sur la politique par dépendance financielle!!!
JOHN WAYNE-ALERTE ROUGE: LA CIA RENDRA PUBLIC LES DOSSIERS DU COUP D'ETAT DE CARTHAGE DU 14 JANVIER 2011 !
Des informations exclusives ont rejoint ma vétuste base anticolonialiste et anti-traitres Tunisiens du Bardo.
Et elles sont de taille.
Lors de son discours du 18 Décembre 2015 prononcé à la veille du début de ses vacances à Hawaï, Le Président Américain Barack Obama a défendu vigoureusement l'implication des Etats Unis dans ce que l'on appelle aujourd'hui le Printemps Arabe.
Ce discours a été prononcé sur un fond de défensive et de monologue car Barack Obama y a justifié ses interventions qui ont mené aux changements actuels et aux tragédies qui frappent le Moyen Orient.
Le Président Américain y a par exemple rejeté toute hypothèse impliquant les Etats Unis comme ayant joué un rôle principal dans ces révolutions qui ont frappé le monde Arabe.
Ce discours d'Obama a été accueilli avec un fort criticisme par de nombreux agents de la CIA qui affirment que ce sont les Etats Unis qui ont orchestré un coup d'état en Tunisie avec l'intention de détruire les régimes autoritaires comme ceux de Ben Ali, de Kadhafi, de Moubarak, et de Bashar Al Assad.
Mais il y a mieux :
De nombreux membres actuels du Gouvernement Américain y compris des officiers d'armée et des agents de la CIA, veulent rendre public la stratégie secrète d'Obama qui a visé la destruction de tels régimes avec comme but ultime l'avènement de gouvernements gérés par les frères musulmans, vus comme des alliés loyaux des Etats Unis à travers l'histoire.
Je suis le premier au monde a avoir dévoilé a ce peuple de gueux que sont les Tunisiens, l'existence d'un complot impliquant des hauts gradés de l'armée, commandité par la CIA et ses agents en poste à l'ambassade des Etats Unis à Tunis, et qui a vu le départ du Président Ben Ali poussé à l'exil par la menace des tanks de l'armée Nationale.
La révolution Tunisienne n'était qu'une révolte populaire dont le moteur idéologique a été les Wikileaks diffusés et traduits par la chaine Al Jazira.
Cette révolution a vu la création d'un gouvernement par intérim de traitres qui a emprisonné les hauts cadres de Ben Ali dans un programme de Débénalisation de la Tunisie similaire a la debaathification de Paul Bremer en Irak.
Ce même gouvernement par intérim a coopéré militairement avec l'OTAN dans son plan de destruction de la Nation Libyenne et de l'assassinat de son leader Kadhafi.
Elle a, comme demandé par Washington, vu un avènement irréversible des islamistes Tunisiens et qui ont participé à la destruction de la Syrie en encourageant l'envoi de djihadistes Tunisiens vers la Libye et la Turquie.
La révolution Tunisienne a mis en évidence les tares d'un pseudo-peuple dépourvu de toute dignité et de patriotisme.
La Tunisie est aujourd'hui gérée par des beurres n'ayant pour la Nation Tunisienne que haine et rancune, des islamistes Tunisiens à la solde du Qatar et de la CIA, et des pseudo-laïques qui vénèrent les sionistes et les néo-conservateurs d'Europe et d'Amérique.
La Tunisie ne peut être sauvée que par une insurrection nationaliste qui verra les forces de l'ordre prendre le pouvoir et imposer la loi martiale dans le cadre d'une guerre totale contre le terrorisme et ses idéologues islamistes Tunisiens.
L'année 2016 est l'année de l'assaut final contre une Nation Tunisienne exsangue et affaiblie.
Sauf un nouveau 7 Novembre, la Tunisie succombera a ses blessures infligées par un peuple de traitres n'ayant en lui aucune dignité ni honneur.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.