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Tunisie - Moncef Marzouki enfreint le silence électoral (vidéo)

Lors de son vote aujourd’hui, dimanche 21 décembre 2014, le candidat finaliste à la présidentielle, Moncef Marzouki, a enfreint le silence électoral. En effet, interrogé par des journalistes, à sa sortie du bureau de vote d’El Kantaoui à Sousse, Marzouki a profité de son auditoire pour laisser échapper un discours électoral.
Des messages, de nature à influencer le vote des Tunisiens en cette journée de deuxième tour du scrutin présidentiel sur le sol tunisien, qui ont été également diffusés via sa page Facebook par son équipe de campagne. On rappelle que le silence électoral, décrété depuis hier samedi, interdit aux finalistes d’émettre ce genre de messages de propagande électorale.
Des messages, de nature à influencer le vote des Tunisiens en cette journée de deuxième tour du scrutin présidentiel sur le sol tunisien, qui ont été également diffusés via sa page Facebook par son équipe de campagne. On rappelle que le silence électoral, décrété depuis hier samedi, interdit aux finalistes d’émettre ce genre de messages de propagande électorale.
S.T.
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Commentaires (23)
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@Abel Chater, les bavardages et les insultes
Observateur en Tunisie
| 21-12-2014 21:04
C'est bien vous, et non Business News (que vous consultez régulièrement pour parsemer vos commentaires haineux et fondamentalistes), que devrez bientôt vous arrêter devant la plus simple des évidences - la RÉALITÉ - c'est-à-dire la DÉFAITE de TARTOUR, un président incompétent, bavarde, insolent et -pour finir -psychopathe (trouble de la personnalité paranoïaque).
Après quoi nous savons déjà qu'il n'acceptera même pas sa défaite, jusqu'à sa "libération" dans une camisole, pour un transfert rapide de Carthage à la Manouba, destination hôpital Razi, moins confortable surement que la clinique St. Anne à Paris où il a été souvent pris en consultation psychiatrique....
Après quoi nous savons déjà qu'il n'acceptera même pas sa défaite, jusqu'à sa "libération" dans une camisole, pour un transfert rapide de Carthage à la Manouba, destination hôpital Razi, moins confortable surement que la clinique St. Anne à Paris où il a été souvent pris en consultation psychiatrique....
Business News ne s'arrête devant rien
Abel Chater
| 21-12-2014 17:48
Même à quelques heures de la fin du vote, Business News s'acharne contre Moncef Marzouki par tous les mensonges ne pouvant être imaginés que par des cas psychiques.
Attendons le résultat final des élections. Si le Président Moncef Marzouki était réélu pour les prochaines cinq années à venir, je serais le premier à l'exhorter à attaquer en justice tout mensonge, toute désinformation, toute diffamation et toute atteinte à sa dignité humaine.
Je pense que Business News en serait le porteur du flambeau des intrigants.
Attendons le résultat final des élections. Si le Président Moncef Marzouki était réélu pour les prochaines cinq années à venir, je serais le premier à l'exhorter à attaquer en justice tout mensonge, toute désinformation, toute diffamation et toute atteinte à sa dignité humaine.
Je pense que Business News en serait le porteur du flambeau des intrigants.
Les dernières heures.....Alea jacta est.....
je dis la vérité
| 21-12-2014 16:52
Alea jacta est.....
Le sort en est jeté, telle est la traduction littérale du latin, de la célèbre phrase prononcée par Jules César, traversant le pont de la rivière Rubicon, frontière entre la Gaule et l'Italie.
Jules César, voulait aller à Rome, à tout prix, et en armes. Il forçait le destin.
Notre électorat, conscient de ce qui l'attend, absout la fatalité et force le destin. La démocratie, lui appartient.
Notre électorat, ne veut pas de fatalité et de Président "dangereux", pour la stabilité du pays.
Il nous reste, entre nous et ce personnage "hors des temps", quelques heures....Ce n'est, déjà, pas beaucoup.....Pour sceller notre démocratie et nos libertés....
Alea jacta est.....
Le sort en est jeté, telle est la traduction littérale du latin, de la célèbre phrase prononcée par Jules César, traversant le pont de la rivière Rubicon, frontière entre la Gaule et l'Italie.
Jules César, voulait aller à Rome, à tout prix, et en armes. Il forçait le destin.
Notre électorat, conscient de ce qui l'attend, absout la fatalité et force le destin. La démocratie, lui appartient.
Notre électorat, ne veut pas de fatalité et de Président "dangereux", pour la stabilité du pays.
Il nous reste, entre nous et ce personnage "hors des temps", quelques heures....Ce n'est, déjà, pas beaucoup.....Pour sceller notre démocratie et nos libertés....
Alea jacta est.....