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Vice de forme dans l'affaire du CPR et de Samir Ben Amor

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La justice tunisienne devait examiner mercredi 11 juin 2014 la plainte déposée au nom du CPR par l’avocat et dirigeant du parti Samir Ben Amor, contre deux leaders de Nidaa Tounes, la directrice et le rédacteur en chef du quotidien arabophone Al Chourouk.
C'est du moins ce que pensaient les accusés dans cette affaire faisant foi à la convocation qui leur est parvenue. Toutefois, en se présentant devant le tribunal, ces derniers n'ont pas vu leur affaire examinée. Ceci laisse à penser que la plainte n'a jamais été réellement déposée.
Cette plainte survient après les accusations émises par Nidaa Tounes et le journal précité, selon lesquelles le CPR était impliqué dans l’assassinat de Lotfi Nagdh.
Elle vise le secrétaire général de Nidaa Tounes, Taïeb Baccouche et Abdelaziz Kotti ainsi que la directrice et le rédacteur en chef adjoint d’Al Chourouk.
Le secrétaire général du CPR Imed Daïmi a déclaré lors du dépôt de la plainte espérer que « les accusations soient condamnées au pénal après avoir été condamnées politiquement ».
De son coté, le dirigeant de Nidaa Tounes Abdelaziz Kotti a souligné qu’il s’agissait là « tout au plus d’un coup de propagande politique d’un parti fini et politiquement en faillite ».
On notera qu’aucun autre recours n’est possible pour le CPR après cette déroute.
C'est du moins ce que pensaient les accusés dans cette affaire faisant foi à la convocation qui leur est parvenue. Toutefois, en se présentant devant le tribunal, ces derniers n'ont pas vu leur affaire examinée. Ceci laisse à penser que la plainte n'a jamais été réellement déposée.
Cette plainte survient après les accusations émises par Nidaa Tounes et le journal précité, selon lesquelles le CPR était impliqué dans l’assassinat de Lotfi Nagdh.
Elle vise le secrétaire général de Nidaa Tounes, Taïeb Baccouche et Abdelaziz Kotti ainsi que la directrice et le rédacteur en chef adjoint d’Al Chourouk.
Le secrétaire général du CPR Imed Daïmi a déclaré lors du dépôt de la plainte espérer que « les accusations soient condamnées au pénal après avoir été condamnées politiquement ».
De son coté, le dirigeant de Nidaa Tounes Abdelaziz Kotti a souligné qu’il s’agissait là « tout au plus d’un coup de propagande politique d’un parti fini et politiquement en faillite ».
On notera qu’aucun autre recours n’est possible pour le CPR après cette déroute.
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