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Tunisie – Adnane Mansar dit la chose et son contraire…

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Le porte parole officiel de la présidence de la République, Adnane Mansar a nié en bloc, selon notre confrère Le Maghreb (en langue arabe), qu’Hillary Clinton ait ordonné au président Moncef Marzouki, lors des attaques du 14 septembre 2012 contre l’ambassade américaine à Tunis, d’envoyer les gardes présidentiels pour assurer la sécurité de l’ambassade et que le président tunisien ait réagit sur le champ.
Une déclaration qui s’avère contradictoire avec celle donnée par M. Mansar lui-même au journal américain « TIME » dans l’article de Vivienne Walt, paru le 16 septembre 2012. « Le téléphone sonna au bureau du président Moncef Marzouki. C’était Hillary Clinton lui recommandant de sécuriser le camp américain », a-t-on entamé l’article de TIME.
Et d’ajouter : « Nous avons envoyé des centaines de gardes présidentiels avec beaucoup d’armes ».
Selon le même article, M. Mansar a ajouté : « nous avions vraiment très peur que ce qui s’est passé à Benghazi ne se reproduise à Tunis ». En référence aux deux appels tenus en ce vendredi 14 septembre 2012.
Une déclaration qui s’avère contradictoire avec celle donnée par M. Mansar lui-même au journal américain « TIME » dans l’article de Vivienne Walt, paru le 16 septembre 2012. « Le téléphone sonna au bureau du président Moncef Marzouki. C’était Hillary Clinton lui recommandant de sécuriser le camp américain », a-t-on entamé l’article de TIME.
Et d’ajouter : « Nous avons envoyé des centaines de gardes présidentiels avec beaucoup d’armes ».
Selon le même article, M. Mansar a ajouté : « nous avions vraiment très peur que ce qui s’est passé à Benghazi ne se reproduise à Tunis ». En référence aux deux appels tenus en ce vendredi 14 septembre 2012.
S.O.B.
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