
Adel Almi, président de l’Association centriste de la sensibilisation et de la réforme, revient sur les derniers événements ayant opposé salafistes et chiites dans les villes de Bizerte et de Gabès mais également sur ses propres déclarations, qualifiant ces derniers de « cancer à combattre ». Il affirme que les adeptes du chiisme « représentent un grand danger » contre lequel il faut lutter avec fermeté, certes, mais sans recours à la violence.
Présent sur les ondes d’Express Fm, mercredi 22 août 2012, Adel Almi affirme que le chiisme est « plus dangereux que le sionisme » et qu’il serait financé par sources importantes provenant de pays étrangers comme l’Iran, afin de servir leur stratégie en Tunisie.
Il soutient, également, que les préceptes du chiisme ne « peuvent être acceptés par la raison humaine », mais attirent aujourd’hui de plus en plus d’adeptes auprès de ceux qu’il qualifie de « simples d’esprit ».
Tout en affirmant « qu’il vaut mieux prévenir que guérir », M. Almi déclare que cette minorité est aujourd’hui en train de se propager rapidement. Il appelle à la création de « jardins d’enfants zeitouniens », étant donné que, selon ses déclarations, la Zeitouna est l’institution garante de la paix en Tunisie, et ce, afin d’éduquer les enfants dès leur jeune âge et d’éviter « la propagande chiite ».
