Dernières news
Les pertes de la Tunisie pourraient avoisiner 8 milliards de dollars selon Mohammed Ghannouchi
{legende_image}
Dans une interview accordée le lundi 7 février 2011 au Financial Times (FT), le Premier ministre tunisien, Mohamed Ghannouchi, estime que le coût financier subi par notre pays depuis le début de la révolution se situe entre 5 milliards et 8 milliards de dollars (entre 7 et 11 milliards de dinars tunisiens environ). Ces pertes sont dûs, selon lui, à plusieurs élèments :
“Les sociétés ont subi des pertes, car les usines ont été incendiées, certains employés ont été licenciés, certains produits n'ont pas été exportés, et les touristes ne sont pas arrivés."
Le gouvernement estime par exemple, toujours selon le FT, que le tourisme étranger a plongé de 40 pour cent pendant cette période, en termes d'arrivées et de recettes. Les infrastructures publiques, pour leur part, ont subi des dommages importants avec des dommages et des incendies causées à des postes de police, des postes de garde nationale, des administrations fiscales, des écoles etc.
Face à cette situation, Ghannouchi a déclaré, selon le Financial Times, que l'aide étrangère et les investissements sont nécessaires « pour protéger l'expérience tunisienne », insistant sur le fait que le coût de cette aide « serait vraiment très modeste par rapport à ce qui est en jeu ».
“Les sociétés ont subi des pertes, car les usines ont été incendiées, certains employés ont été licenciés, certains produits n'ont pas été exportés, et les touristes ne sont pas arrivés."
Le gouvernement estime par exemple, toujours selon le FT, que le tourisme étranger a plongé de 40 pour cent pendant cette période, en termes d'arrivées et de recettes. Les infrastructures publiques, pour leur part, ont subi des dommages importants avec des dommages et des incendies causées à des postes de police, des postes de garde nationale, des administrations fiscales, des écoles etc.
Face à cette situation, Ghannouchi a déclaré, selon le Financial Times, que l'aide étrangère et les investissements sont nécessaires « pour protéger l'expérience tunisienne », insistant sur le fait que le coût de cette aide « serait vraiment très modeste par rapport à ce qui est en jeu ».
Commentaires