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A la recherche du portail de la Documentation tunisienne
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Rafaâ Dkhil, ministre de la communication et des relations avec la chambre des députés et la chambre des conseillers, a donné mardi 19 mai, le coup d'envoi du "portail de la documentation" du Centre de la documentation nationale (CDN).
Le ministre a souligné, à cette occasion, que cette importante réalisation est de nature à offrir une information moderne et riche sur l'histoire et les acquis de la Tunisie, dans tous les domaines, et contribue à faire connaître le capital de documents disponible au CDN, sous forme de bases de données faciles d'accès à distance pour les journalistes, les communicateurs, les documentalistes, les chercheurs et autres bénéficiaires.
Le portail, a ajouté le ministre, qui sera régulièrement alimenté pour répondre aux besoins et aux attentes de la grande famille de l'information, vient compléter les efforts déployés par les autres structures médiatiques, dès lors qu'il offrira, dans un premier temps, plus de 220 mille articles documentés traitant de toutes les questions qui se posent aux plans national et international.
Ce portail documentaire, a-t-il indiqué, contribuera à faciliter la recherche et l'accès à l'information, en présentant un produit journalistique riche et varié qui reflète le bond qualitatif que connaît le secteur, étant donné qu'il constitue un appui à l'élan réformateur et au processus de développement que vit le pays.
Il a, dans ce cadre, appelé les médias nationaux à occuper la place qui leur revient dans le paysage mondialisé de la communication, à la faveur des réformes et potentialités mises en place en leur faveur.
Le discours de Rafaâ Dkhil, que nous reproduisons à partir d’une dépêche de la Tap, met l’eau à la bouche et incite à visiter ce portail. Le ministre ne nous a pas habitués à l’exagération, d’où l’intérêt certain de ce portail. Seulement voilà, la dépêche de l’agence de presse tunisienne ne donne aucune indication sur l’adresse internet de ce site pour qu’on puisse le visiter.
Le CDN n’a pas, non plus, jugé utile de le référencer sur internet pour que ce portail soit visible sur les moteurs de recherche tels Google ou Yahoo. Enfin, on s’interroge pourquoi la presse tunisienne n’a pas été conviée à la manifestation, alors qu’elle est l’un des destinataires principaux de ce portail.
Nous espérons que le CDN et sa direction prennent en considération ces remarques pour que son œuvre prenne toute la dimension qu’elle mérite.
Le ministre a souligné, à cette occasion, que cette importante réalisation est de nature à offrir une information moderne et riche sur l'histoire et les acquis de la Tunisie, dans tous les domaines, et contribue à faire connaître le capital de documents disponible au CDN, sous forme de bases de données faciles d'accès à distance pour les journalistes, les communicateurs, les documentalistes, les chercheurs et autres bénéficiaires.
Le portail, a ajouté le ministre, qui sera régulièrement alimenté pour répondre aux besoins et aux attentes de la grande famille de l'information, vient compléter les efforts déployés par les autres structures médiatiques, dès lors qu'il offrira, dans un premier temps, plus de 220 mille articles documentés traitant de toutes les questions qui se posent aux plans national et international.
Ce portail documentaire, a-t-il indiqué, contribuera à faciliter la recherche et l'accès à l'information, en présentant un produit journalistique riche et varié qui reflète le bond qualitatif que connaît le secteur, étant donné qu'il constitue un appui à l'élan réformateur et au processus de développement que vit le pays.
Il a, dans ce cadre, appelé les médias nationaux à occuper la place qui leur revient dans le paysage mondialisé de la communication, à la faveur des réformes et potentialités mises en place en leur faveur.
Le discours de Rafaâ Dkhil, que nous reproduisons à partir d’une dépêche de la Tap, met l’eau à la bouche et incite à visiter ce portail. Le ministre ne nous a pas habitués à l’exagération, d’où l’intérêt certain de ce portail. Seulement voilà, la dépêche de l’agence de presse tunisienne ne donne aucune indication sur l’adresse internet de ce site pour qu’on puisse le visiter.
Le CDN n’a pas, non plus, jugé utile de le référencer sur internet pour que ce portail soit visible sur les moteurs de recherche tels Google ou Yahoo. Enfin, on s’interroge pourquoi la presse tunisienne n’a pas été conviée à la manifestation, alors qu’elle est l’un des destinataires principaux de ce portail.
Nous espérons que le CDN et sa direction prennent en considération ces remarques pour que son œuvre prenne toute la dimension qu’elle mérite.
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