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Pour achever son aéroport tunisien, TAV lève 400 millions dâEUR(TM)euros de crédit syndiqué
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Des institutions financières multilatérales et bilatérales ainsi que des banques commerciales internationales de renom, viennent d’accorder à la TAV, promoteur turc de l’aéroport international d’Enfidha Zine El Abidine Ben Ali, environ 400 millions d’euros, en guise de prêt à long terme pour la finalisation de son projet dont le coût global s’élève à 560 millions d’euros.
Un prêt dont on n’apprendra rien, quand aux conditions de financement ni de remboursement, accord de confidentialité oblige.
La signature de la convention de financement de l’Aéroport Enfidha a été effectuée, aujourd’hui, vendredi 27 févier, au siège de la BAD.
Eu égard aux répercussions de la crise financière et économique internationale il a été impossible pour la TAV, promoteur du projet de l’Aéroport d’Enfidha, premier aéroport à gestion et exploitation privée dans le Maghreb, de lever des fonds sur le marché financier international.
Aussi, les bailleurs de fonds mondiaux ont-ils pris la relève pour accorder le financement nécessaire à la finalisation du projet. Celui-ci, dont les travaux sont à hauteur de 70% achevés, devrait ouvrir pour un essai, au mois d’août prochain.
Les bailleurs de fonds mondiaux témoignent par cet accord de financement de l’intérêt qu’il accorde au projet de développement d’infrastructure et de l’économie tunisienne.
Le montant global de l’accord de financement est d’environ 400 millions d’euros dont 70 millions d’euros accordés par la BAD, 70 millions d’euros, dispensés par la Banque Européenne d’Investissement (BEI), 30 Millions d’euros par la PROPARCO et 135 millions d’euros, consentis par la Société Financière Internationale (SFI). Quant au reste il est financé par les banques commerciales internationales dont l’OFFIDI, la Société Générale. A ces montants, il faudrait ajouter les 135 millions d’euros consentis par la TAV en tant qu’IDE.
Il est important de mentionner que le projet a été élu par la presse internationale en tant que projet de l’année en matière de transport aérien.
« Le projet d’Ennfidha a des particularités intéressantes, il est implanté au cœur d’une zone touristique, son financement est contre-cyclique, il intervient à un moment difficile et permet aux bailleurs de fonds de préparer l’après crise. C’est par ailleurs, un financement complexe qui met en phase plusieurs bailleurs de fonds multilatéraux, bilatéraux et des banques commerciales.
Inscrit dans les priorités du 11ème plan de développement de la Tunisie, le projet a créé 2200 emplois directs durant la phase de construction et en créera 1200 autres emplois directs durant l’exploitation et 10.000 emplois indirects.
Un prêt dont on n’apprendra rien, quand aux conditions de financement ni de remboursement, accord de confidentialité oblige.
La signature de la convention de financement de l’Aéroport Enfidha a été effectuée, aujourd’hui, vendredi 27 févier, au siège de la BAD.
Eu égard aux répercussions de la crise financière et économique internationale il a été impossible pour la TAV, promoteur du projet de l’Aéroport d’Enfidha, premier aéroport à gestion et exploitation privée dans le Maghreb, de lever des fonds sur le marché financier international.
Aussi, les bailleurs de fonds mondiaux ont-ils pris la relève pour accorder le financement nécessaire à la finalisation du projet. Celui-ci, dont les travaux sont à hauteur de 70% achevés, devrait ouvrir pour un essai, au mois d’août prochain.
Les bailleurs de fonds mondiaux témoignent par cet accord de financement de l’intérêt qu’il accorde au projet de développement d’infrastructure et de l’économie tunisienne.
Le montant global de l’accord de financement est d’environ 400 millions d’euros dont 70 millions d’euros accordés par la BAD, 70 millions d’euros, dispensés par la Banque Européenne d’Investissement (BEI), 30 Millions d’euros par la PROPARCO et 135 millions d’euros, consentis par la Société Financière Internationale (SFI). Quant au reste il est financé par les banques commerciales internationales dont l’OFFIDI, la Société Générale. A ces montants, il faudrait ajouter les 135 millions d’euros consentis par la TAV en tant qu’IDE.
Il est important de mentionner que le projet a été élu par la presse internationale en tant que projet de l’année en matière de transport aérien.
« Le projet d’Ennfidha a des particularités intéressantes, il est implanté au cœur d’une zone touristique, son financement est contre-cyclique, il intervient à un moment difficile et permet aux bailleurs de fonds de préparer l’après crise. C’est par ailleurs, un financement complexe qui met en phase plusieurs bailleurs de fonds multilatéraux, bilatéraux et des banques commerciales.
Inscrit dans les priorités du 11ème plan de développement de la Tunisie, le projet a créé 2200 emplois directs durant la phase de construction et en créera 1200 autres emplois directs durant l’exploitation et 10.000 emplois indirects.
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